Souvenirs brûlants

La rédaction 30 juillet 2019

V., Isère.

L’autre jour, j’ai fait du tri dans mes vieux agendas. Le 21 mai 2003, j’ai noté : « Séminaire hot. » Souvenir d’une partie de jambes en l’air mémorable.

J’étais partie deux jours. J’espérais bien trouver un mec pour baiser, car mon mari ne me satisfaisait pas. J’ai eu la surprise de tomber sur un ex… Enfin, c’était surtout le type qui m’avait fait avoir une promotion. En le voyant, je m’en suis souvenu. Souvenir d’une baise en trois minutes chrono debout en levrette contre le burlingue. Souvenir d’un gros pieu dans mon vagin. Souvenir d’un orgasme intense et de son jus qui coule le long de mes cuisses.

Directement je l’ai allumé, et le soir même on a fini ensemble au lit. Oh, il se rappelait bien de sa « petite salope ». C’était bon de le retrouver. Sucer son gros machin m’a obligée à écarter les lèvres en grand. J’ai aussi dû faire le grand écart pour qu’il puisse le carrer dans ma chatte brûlante. J’ai eu un orgasme d’enfer. Les choses se sont compliquées ensuite quand il a insisté pour m’enculer. J’étais un peu réticente, mais j’en avais envie en même temps… J’ai fini par céder, bien sûr. Souvenir de ma promotion !

Il m’a bien lubrifiée avec ma mouille et sa salive. Il a fini par y arriver, centimètre par centimètre, tout son gourdin s’est enfoncé dans mon rectum. J’en avais déjà pris des bites dans mon petit trou, mais celle-ci, je l’ai sentie passer. J’ai cru qu’il me coupait en deux ! Ma rondelle allait exploser, j’en étais sûre. Ce type, si distingué, me traitait comme une vulgaire fille de joie. Il y avait un miroir en face du lit qui me renvoyait l’image d’une salope, les yeux révulsés, la bouche tordue par un rictus de douleur, les seins ballottant en cadence. Puis, ça a été l’accalmie quand il a inondé mon boyau. Mélange de plaisir et de douleur.

Au petit matin, j’avais encore l’anus tout cassé, et, lui, il voulait recommencer ! À la place, je lui ai fait une pipe magistrale et j’ai tout avalé. Il fallait que je sauve ma rondelle ! Depuis ce jour, j’ai eu bien d’autres queues dans le cul, et les mecs me disent toujours que je suis superdilatée, on m’appelle « le garage à bites » !

(Photo à la une : Getty Images)

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A domicile ou à l’hôtel ces soubrettes peu farouches vont faire briller l’argenterie de ces messieurs avant de se faire astiquer par tous les orifices…


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