Un mousquetaire qui distribue !

La rédaction 12 juillet 2021
Un mousquetaire qui distribue ! histoire de sexe

Je m’appelle Polo, j’ai 46 ans et aujourd’hui je vous raconte mon histoire de sexe. Je travaillais dans une société très stricte sur la sécurité. On bossait sous l’oeil des caméras. Les services étaient divisés en quatre : le premier était constitué de trois hommes et du chef d’agence qui géraient le flux des véhicules et des marchandises. Le deuxième service était en grande partie composé de femmes qui préparaient et vérifiaient les marchandises. Il n’y avait qu’une porte sécurisée qui séparait les deux services ; et les autres étaient des équipes d’hommes qui ne faisaient qu’entrer et sortir de l’agence.

Dans les vestiaires

Moi et un de mes collègues avions pour habitude de plaisanter avec certaines filles qui passaient par le sas d’entrée. On leur disait qu’un jour, on leur ferait un contrôle de petite culotte pour voir s’il y en avait une, et dans quel état elle se trouverait. On balançait nos bêtises toujours aux mêmes filles. Mais un jour, Anne (dont j’ai changé le prénom) nous a répondu qu’elle allait nous prendre au mot. Je lui ai dit que c’était quand elle voulait, du moment qu’elle nous présentait un string sexy sous une minijupe, avec des bas en dentelle… Et que le soutif soit raccord, bien sûr ! Elle nous a rétorqué, d’un air coquin : « Oh! Oh ! » Le midi, j’étais en train de manger avec les femmes quand, à un moment donné, je me suis retrouvé tout seul avec Anne dans le réfectoire. Elle m’a demandé si c’était moi qui ouvrirais l’agence le samedi suivant (je précise que le samedi matin, les femmes travaillaient en effectif réduit). Je lui ai répondu par l’affirmative, alors elle m’a fait comprendre que j’allais avoir une surprise et que je pourrais m’en servir si je me montrais à la hauteur de mes dires.

Le samedi, j’ai ouvert l’agence selon la procédure habituelle et j’ai fait partir trois véhicules avec leurs marchandises. Ensuite, j’ai fait tout mon travail pour être sûr d’avoir « les mains libres » à l’instant T. J’étais seul depuis plus d’une heure quand les filles sont arrivées. En plus, c’était la fine équipe qu’on aimait bien embêter, mon collègue et moi, au sujet du contrôle des petites culottes. Je leur ai ouvert la porte du sas, j’ai dit bonjour et j’ai sorti ma phrase habituelle… Elles m’ont répondu que je n’étais pas capable de venir dans le vestiaire pour le faire. Je les ai prévenues qu’il ne fallait pas me le proposer deux fois. Alors, Anne m’a relancé en demandant l’approbation des autres. J’ai laissé mon poste vacant et je les ai suivies dans le vestiaire. J’avais remarqué qu’elles étaient toutes en jupe. Mais je me suis approché d’Anne en premier, puisqu’elle m’avait défié. Là, devant les autres, j’ai soulevé sa jupette et j’ai constaté qu’elle avait une chatte fortement poilue.

Cela remontait jusqu’au niveau de son anus sous son string blanc en dentelle, tout trempé de mouille (Anne est une très belle brune). J’ai fait le tour de toutes les miss présentes et j’ai eu des surprises : des chattes rasées pour l’occasion, certaines épilées du matin ou en ticket de métro… Avec ou sans sous-vêtements. Ensuite, les coquines ont poussé le vice jusqu’à me faire comparer leurs dons pour la taille du bambou ! Elles m’ont sucé l’une après l’autre, et c’est Anne qui m’a fini. Elle a pris tout mon sperme dans sa bouche, me l’a montré et l’a avalé d’un trait. Avant de quitter le vestiaire, elle a ajouté qu’elle m’autorisait à la sauter quand l’envie m’en prendrait, de la façon qui me plairait, et dans n’importe quel orifice ! Ça me paraissait pas mal du tout…

Dans le bureau du chef

Une heure plus tard, elle est venue taper à la porte de mon bureau. Elle est entrée avec mon café. Elle m’a annoncé qu’elle était mon dessert et qu’elle avait enlevé son string. Je l’ai invitée à passer dans le bureau du chef, de façon à sortir du champ des caméras de surveillance. Quand je suis entré à mon tour dans le bureau, elle avait déjà retiré tous ses vêtements, si bien que je n’ai même pas eu le temps de « contrôler » son absence de string. Je me suis approché et je lui ai demandé si elle savait ce qu’elle faisait. Elle m’a simplement répondu : « Tais-toi et baise-moi, j’ai la chatte en feu et le cul qui brûle. »

Sur ces mots, je ne pouvais faire qu’une chose : sortir ma lance à incendie et éteindre le feu qui la consumait. Je peux vous jurer qu’elle était chaude et trempée, ce jour-là. Je l’ai baisée quatre fois, et elle est repartie chez elle avec la chatte et le cul complètement défoncés. Je lui ai mis le trou de balle en chou-fleur. On a même été repérés en train de baiser par d’autres femmes. Elles sont venues jeter un oeil ! Ça a eu l’air de les chauffer, les cochonnes.

A partir de ce jour, et jusqu’à ma mutation dans une autre antenne, j’ai baisé Anne, je l’ai sodomisée et j’ai fait d’elle ce que j’ai voulu. Je lui ai même demandé de s’épiler complètement la chatte et l’anus pour venir au travail sans sous-vêtements. Elle s’est toujours pliée à mes moindres désirs sans dire un mot. Le meilleur moment restera mon dernier jour dans cette agence. Toutes les filles de la « fine équipe » m’ont fait une grosse surprise. Le chef était absent, et mon collègue marchait dans la combine. Le midi, il m’a conseillé d’aller manger une dernière fois avec les nanas. Quand je suis arrivé dans le réfectoire… Waouh ! Elles étaient toutes là. Sauf qu’elles étaient toutes nues ! Même pas un bout de tissu pour cacher quoi que ce soit ! Et nous avons tous mangé en tenue d’Adam et Ève. Quant à mon dessert de départ, elles m’avaient prévu une sacrée partie fine ! Je pouvais les caresser, les doigter, me faire sucer, etc. Je pouvais aussi tremper mon spaghetti enveloppé dans leur chatte et les sodomiser les unes après les autres.

Et tout cela en respectant l’hygiène, car Anne avait pensé à acheter une grosse boîte de capotes. Avec certaines, je n’avais droit qu’à un aller-retour au fond de la chatte ou du cul, mais c’était quand même super ! Elles ont dit à Anne qu’un coup de bite ne leur ferait pas de mal et surtout, sur le lieu de travail. Depuis cette aventure, j’en ai eu d’autres…

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