Une mission spéciale ramonage
16 août 2021
Je travaille comme femme de ménage à Arles. Mon boss a plusieurs appartements, qu’il loue à la semaine. C’est un bon business et je suis bien payée. Par contre, ce Monsieur aime bien me mettre la pression et débarque souvent à l’improviste pour contrôler mon travail. Au début, ça me saoulait grave, et puis c’est devenu un jeu. Il venait, il me regardait nettoyer et moi, je faisais ma petite coquine. Je rigolais, je tortillais du cul devant lui, parfois même, je venais en tenue sexy. J’ai remarqué qu’il se pointait de plus en plus régulièrement et ça m’excitait grave. Je m’appelle Noura, j’ai 26 ans et voici ma torride histoire de cul.
Une mission nettoyage
Un jour que je m’étais habillée sexy, avec des bas et de la lingerie affriolante, Monsieur a débarqué. J’étais très chaude parce que je n’avais pas baisé depuis plusieurs semaines. Je me suis dit que, peut-être, il y aurait moyen de faire passer l’envie… On a parlé vite fait tous les deux, puis je suis allée faire la chambre.
Mon boss s’est assis dans un fauteuil et m’a regardée faire. Plus les minutes passaient, plus j’avais chaud (on était en juin et ça tapait, dehors). Il l’a vu et m’a dit : « Noura, vous devriez vous découvrir un peu ! ». Tu parles ! Évidemment, j’ai fait ce qu’il disait ! J’ai fini en soutif, allongée sur le lit, pendant que Monsieur se tapait une belle queue.
Malheureusement, ce jour-là, on n’est pas allés plus loin. Mais avant de partir, il m’a dit : « J’ai une mission, demain. L’appart’ de la rue X qui vient d’être booké. Rendez-vous là-bas à 14 h. ». Autant dire que j’étais vraiment très impatiente…
De fond en comble
Le lendemain, j’étais au rendez-vous à l’heure fixée. Et cette fois, j’étais bien décidée à passer à l’acte. Pour être sûre que mon patron craque, j’ai enlevé ma jupe et j’ai attendu à quatre pattes sur le lit. Heureusement, mon boss n’était pas en retard. Quand il est entré dans la chambre, le fait de me voir dans cette position l’a excité comme jamais !
Il s’est avancé vers moi et a grogné : « Mais, Noura, tu me fais quoi, là ? ». Mais pas la peine de faire le surpris, vu que trois secondes après, il avait enlevé son pantalon et me mettait sa bite toute dure devant le visage.
C’était si bon, de la prendre en bouche ! Elle était large comme j’aime, une belle saucisse rien que pour moi. Je mouillais grave quand il m’a dit : « J’ai envie de te baiser ! ». Je ne me suis pas faite prier. Allez, hop ! À quatre pattes, à lui mettre mon petit string sous le nez. Il a bien joué avec la ficelle, puis il a décidé de me prendre le minou.
Le problème, c’est que j’étais une vraie fontaine et que je ne le sentais pas assez. Alors j’ai remué un peu du cul pour qu’il comprenne. Je l’ai entendu faire : « Ah, c’est ça que tu veux ? Que je te sodomise comme une chienne ? ». J’ai gémi tellement ça m’a excitée qu’il me parle mal comme ça.
Quand j’ai eu le gland de mon boss sur l’oignon, j’ai fermé les yeux. Je ne suis pas très habituée à l’anal, même si j’adore ça, et j’avais un peu peur d’avoir mal. Mais j’avais tellement mouillé sur sa bite qu’il a pu me fourrer sans souci. Pour ça, il m’a choppée par les épaules et il est rentré doucement, puis il s’est mis à accélérer.
J’ai tellement kiffé ! Au bout de deux minutes, c’est carrément parti en gros ramonage de cul. Mon patron me bourrait tellement que ma tête bougeait dans tous les sens ! À un moment, il a fini par dire : « Je vais gicler, t’es prête ? ». Alors j’ai contracté l’anus et il est venu d’un coup, en poussant des grognements de cochon.
Moi, je n’avais pas fini, alors je me suis désenfilée et retournée vers lui. Il était comme un ouf quand j’ai foutu sa bite toute spermée dans ma bouche, en me caressant la chatte et le cul en même temps. Je me rappelle encore comme j’étais ouverte, avec le cul qui débordait de foutre chaud. J’ai joui deux minutes après tellement c’était bon. C’était la première fois qu’il m’a mis son sperme dans tous les trous. Mais pas la dernière, je peux vous le dire !
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