Histoire d’eau

La rédaction 8 juillet 2019

Sofia, 21 ans, étudiante, Tours.

J’ai 21 ans et je vis encore chez ma mère, à Tours. Pas vraiment fun, surtout que j’aime bien m’amuser avec les garçons et que je n’ai pas trop d’intimité dans notre petite maison. Je compense en vacances, pendant les semaines où je squatte chez des copines.

Je pensais justement aller chez mon amie Katia pour la Toussaint dernière, mais ma mère m’a coincée. Elle avait gagné à un jeu en ligne, et le prix ressemblait à mon pire cauchemar : une semaine pour deux en thalasso, à nous faire masser avec des algues qui puent et du gros sel. Ma mère, par contre, était ravie. Malgré mon envie de lui dire non, je l’ai suivie pour ne pas lui faire de peine.

Arrivées au centre, j’ai cru être en enfer. Des piscines remplies de types chauves, des douches à jet qui arrachent la peau et une chambre tellement petite qu’on aurait dit une cellule de Fleury-Mérogis… J’ai passé trois jours au fond du trou à compter les mecs que j’aurais pu m’envoyer si j’avais eu notre baraque à Tours pour moi toute seule. Alors que tout le monde se baladait en peignoir, je prenais plaisir à parader en robe et talons hauts. Cette idée m’a rendue chaude comme une baraque à frites, et je me suis mise à mater ce qui pourrait bien me satisfaire, y compris un vieux moins moche que les autres ou la nana de la cantine qui avait des nibards encore plus gros que les miens. C’est finalement dans une cabine de massage que j’ai fini par trouver mon bonheur.

Marc, le masseur de la cabine 12, était bien mon genre. Grand, bien taillé, j’ai craqué direct pour ses yeux noisette et son air sûr de lui. Quand il a refermé la porte, j’ai su qu’on allait passer un moment chaud et humide… Et pas à cause du bain à remous ! Il m’a demandé de me désaper, et je n’ai pas pu m’empêcher de le chambrer : « Tu es aussi cash avec les vioques ? En plus, je préféres garder mes habits, c’est plus excitant ! ». Il a rigolé et m’a dit de passer mon maillot. J’ai de nouveau attaqué : « C’est con, je ne l’ai pas », et j’ai passé ma langue sur mes lèvres, façon salope. Marc a capté ce que je voulais. Il s’est approché, a enlevé ma robe et m’a poussée doucement vers la baignoire qui glougloutait. Toujours provoc, je suis rentrée en collants dans l’eau, tout en regardant Marc droit dans les yeux.

La flotte était brûlante, l’air moite, et la queue de mon nouveau pote très, très gonflée. Il l’avait sortie sans hésitation et déjà je voyais le bout rougir sous l’effet de la branlette. J’ai plongé la tête sous l’eau, les remous rendant la scène floue et un peu irréelle. Quand je suis remontée à la surface, j’ai pris une gorgée d’air, la bouche grande ouverte. Marc, appuyé sur le bord de la baignoire, a naturellement trouvé sa place et a fourré son bout entre mes lèvres.

Un goût salé s’est fait sentir sur ma langue. Je me suis demandée si son foutre aurait la même saveur, avant de me concentrer sur mes gestes. Il se foutait apparemment que je lui lèche les couilles mais se montrait très réceptif quand je lui aspirais le gland bien fort. Il râlait davantage et s’enfonçait plus loin, si bien que je devais contrôler ma respiration. Je ne voulais pas finir noyée au fond du bain ! Au bout de quelques minutes, il a d’ailleurs enlevé la bonde et a vidé les deux tiers de l’eau. Je me suis alors retrouvée entièrement exposée à ses ardeurs…

Marc s’est mis au-dessus de moi et, en se baissant au max, a frotté son sexe sur mon visage en me murmurant que j’étais vraiment une belle suceuse. Je le savais déjà mais le compliment m’a quand même fait plaisir. J’ai rouvert le bec pour le remercier. Marc est descendu encore un peu plus vers moi, se mettant presque à genoux. J’avais maintenant sa bite si loin dans le gosier que j’avais l’impression qu’il me titillait la luette avec son gland !

J’ai commencé à avoir mal au dos et j’ai fait mine de sortir. Marc m’a aidée et a séché mon corps avec une serviette, tout en profitant de la situation pour me sucer les tétons et embrasser mon con à travers mes collants. Quand j’ai été un peu réchauffée, je me suis allongée sur la table de massage et j’ai frotté mes nichons de mes mains, histoire de lui indiquer qu’il pouvait lâcher sa purée dessus s’il le souhaitait. Mais c’était bien ma bouche qui l’excitait le plus…

Jamais je n’avais entendu des grognements pareils. Au-dessus de mes lèvres, Marc tirait tellement sur son noeud et gémissait si fort que j’ai cru que les gens des autres cabines allaient rappliquer. Je me suis mise à fantasmer : et si d’autres mecs débarquaient et décidaient eux aussi de me faire prendre une douche de sperme ? J’ai glissé ma main droite sous mon collant pour m’enfoncer un doigt dans la vulve, tout en me frottant le clito de la main gauche.

Voyant ça, Marc a poussé un cri rauque et a déchargé tout son foutre sur ma gueule. J’ai tiré la langue pour en recueillir un maximum et j’ai avalé avec bonheur. J’ai joui tout en déglutissant, les yeux collés par le sperme, la chatte inondée d’excitation.

J’ai eu droit à d’autres escapades avec Marc : cunni dans le sauna, sodo dans ma chambre et même une petite triplette avec son collègue Étienne dans la salle de sport. Mais ça, mes coquins d’Union, ça sera dans un prochain courrier !

(Photo à la une : Getty Images)

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