La rentrée des classes

La rédaction 11 juin 2021

Lors de sa première année d’étude Laurène, 26 ans fait la connaissance d’Émile, qui saura lui enlever sa solitude de la rentrée.

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Je me souviens de la rentrée des classes comme de grands moments de solitude. Sauf peut-être celle de ma première année de fac, que j’ai eu envie de vous raconter. Je venais d’arriver à Paris depuis ma petite ville de province et j’étais assez angoissée de démarrer cette nouvelle vie qui s’offrait à moi. Le jour de mon arrivée parmi les nouveaux élèves, une présentation des lieux était prévue et nous avions une sorte de guide de deuxième année pour nous mener dans les locaux et nous accueillir. Le nôtre était un garçon brun au regard doux et aux taches de rousseur attachantes. Voici mon histoire porno. 

Il s’appelait Émile et il m’a tout de suite plu. Pendant qu’il nous montrait les salles de cours, la cafétéria et le petit jardin derrière le bâtiment principal, je ne pouvais pas m’empêcher de le fixer. J’avais déjà un copain à l’époque, mais la perspective de la vie parisienne éveillait mes sens et me donnait des envies d’aventures. Émile a vu que je le regardais, car je ne m’en cachais pas, et il s’est approché de moi pour faire connaissance. « Comment tu trouves les lieux ? ». J’ai un peu rougi. « C’est très beau, je me réjouis des deux années à venir. » Il a souri et a poursuivi la visite en me faisant des commentaires personnalisés à mi-voix, me racontant des anecdotes et des histoires qui me faisaient rire. 

Le petit groupe a déjeuné dans le jardin et j’en ai profité pour continuer à lui parler en m’asseyant près de lui. Je n’avais pas envie de le lâcher, quitte à paraître insistante. La journée s’est poursuivie ainsi, à se regarder par en dessous et à se sourire timidement. Quand la visite s’est terminée, il m’a proposée d’aller boire un café dans le quartier latin, pas loin de l’école. Sa chambre de bonne était à deux pas du bistrot et je ne sais plus trop comment nous nous y sommes retrouvés, mais cela paraissait tout à fait naturel. Sa copine devait le rejoindre un peu plus tard.

Le temps était donc compté et les circonstances, associées à l’exaltation de la découverte de ma fac, m’ont poussée à plus d’audace que je m’en croyais capable. « Il faut donc nous dépêcher », ai-je dit. Émile s’est approché de moi et je ne m’étais pas trompée concernant notre attirance : lui aussi avait envie de me toucher. On s’est embrassés et j’ai senti sa langue se blottir contre la mienne. J’étais enfin étudiante, libre, en jupe et avec un nouveau sac, et un sex-appeal dont je ressentais toute la puissance dans les rues de Paris, sous les regards des hommes et des autres étudiants. Émile a promené ses mains sous ma jupe fluide et j’ai senti la chaleur de ses paumes moites sur mes cuisses. 

Je l’ai embrassé encore plus profondément en cambrant le bassin pour lui faire comprendre que je voulais sentir cette main plus intimement. Ses doigts ont grimpé le long de mes jambes et sont venus se poser sur ma culotte. Ils ont frotté mon clitoris à travers la dentelle et j’ai senti ce doux frottement qui me faisait mouiller et me donnait chaud dans le creux de mes cuisses. Je me sentais bander comme un mec, j’étais arquée dans mon désir pour lui, prête à me faire assaillir. Émile a retiré mon tee-shirt pour caresser mes seins. 

Il y avait une forme de maladresse et d’empressement dans ses gestes, car la peur que sa copine nous surprenne devait le prendre au ventre. La douceur de sa peau sur mes hanches, mes tétons, mon ventre, me faisait frissonner et m’ouvrir comme une plante carnivore : je voulais qu’il plonge en moi et le dévorer. J’ai posé les fesses au bord de son lit et j’ai déboutonné son pantalon pour le branler. Sa bite avait chaud elle aussi et elle glissait dans ma main charmée. J’étais toujours dans ma petite jupe mais torse nu, et mon amant a retiré ma culotte.

Il s’est mis, debout au bord du lit, pour frotter sa queue nue contre ma chatte trempée. J’ai continué à bouger le bassin pour m’exciter et pour l’avaler. Son sexe a disparu en moi et je l’ai senti s’insérer agréablement dans mon fourreau. J’ai joué avec mon périnée, que j’ai très tonique, pour attraper sa queue en la serrant puis la desserrant, m’auto-excitant en même temps. Ses à-coups me donnaient des sensations très agréables dans le sexe, c’étaient des poussées érotiques puissantes qui me faisaient gémir. 

La bouche entrouverte, avec l’air du jeune étudiant poétique qu’il était, j’ai senti qu’il ne tiendrait pas longtemps avec les mouvements de mon sexe qui l’enserrait comme un serpent s’enroulerait autour de lui. J’ai alors commencé à me branler en même temps pour ne pas rester sur ma faim et j’étais si excitée que ce titillement entêtant m’a amenée au bord de l’orgasme en même temps que je tenais sa queue de plus en plus fort dans ma minette.

Je me suis faite jouir en même temps que lui et nous avons gueulé ensemble, tous mouillés et pressés d’éprouver ce plaisir interdit dans le secret de cette petite chambre. Nous nous sommes encore embrassés et rhabillés en nous promettant de nous revoir. Dans la rue, encore moite de l’amour, j’ai croisé une jolie fille et j’ai imaginé avec plaisir qu’elle était sa copine et qu’il mettrait peut-être son sexe, tout chaud de moi, dans cette femme.

(Photo à la une : Getty Images)

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