Cocu « vraiment » content

La rédaction 31 mai 2021

En bon candauliste, Daniel, 57 ans adore voire sa femme en plein ébats avec un autre, pour le plus grand plaisir de ses pupilles !

Il y a peu de temps, j’ai eu la surprise du siècle. Angélique, mon épouse et moi vivons dans le sud de la France. Nous avons une villa avec jardin et aussi un petit cabanon que nous louons à un vieux célibataire. Retraité comme moi de la Marine nationale, Jean est un solitaire très discret. Nous n’hésitons pas à lui demander des petits services lorsque nous partons en vacances quelques jours : arroser, fermer et ouvrir les volets ou encore ramasser le courrier… C’est dans ce contexte que j’ai eu un petit soupçon et depuis j’ai découvert plein de choses sur lui ! Je vous raconte dans cette histoire de sexe. 

En revenant de vacances à Pâques, quand j’ai ouvert mon secrétaire, j’ai eu l’impression que mon album photo « spécial » avait changé de place. C’est l’album où je garde toutes les photos érotiques de mon épouse au temps de notre période exhib’… Et du coup, j’ai commencé à pister notre voyeur de locataire. De temps à autre, je le repérais en train de mater les fesses de ma femme par son volet entrouvert quand elle étendait sa lessive en T-shirt. Des fois, en allant rentrer la poubelle, je le voyais rester au fond de l’allée, sachant que mon épouse pliait son linge en string sur la terrasse (chaleur oblige). D’un autre côté, je trouvais que ma femme s’habillait de moins en moins pour sortir dans le jardin ou même pour aller faire une machine à laver dans la buanderie (où se situent la douche et le WC de Jean).

Et puis, il y a eu ce jour où je suis tombé sur le cul. Ma femme était dans la buanderie, un matin vers huit heures et moi, dans le fond du jardin, quand j’ai vu Jean aller prendre sa douche. Il est entré dans la buanderie et a fermé la porte… Intrigué, je n’avais pas vu sortir ma femme. J’ai foncé dans la maison voir si Ange était là : introuvable. Je suis ressorti dans le jardin et me suis planqué derrière un arbre bien en face de la porte de la buanderie. Depuis ce poste d’observation, j’ai pu observer mon épouse ressortir quelques minutes après.

Inutile de vous dire que j’étais dans un état d’excitation très avancé. J’ai décidé de la pister elle aussi. Je l’ai rejointe dans la maison et, feignant l’envie de m’amuser un peu, je lui ai caressé les fesses sous son t-shirt. Elle avait le cul nu. Elle m’a demandé ce qui m’arrivait. Pour toute réponse, je lui ai sorti ma queue gonflée à exploser. Comme elle n’est pas contre des caresses buccales, elle m’a gobé pour une pipe d’enfer, pendant que moi, je l’imaginais en train de sucer le voisin. Je n’ai pas osé lui demander ce qu’elle avait fabriqué avec Jean dans la buanderie, mais sa chatte mouillait beaucoup. Il ne m’a pas fallu longtemps pour lui éjaculer dans la bouche.

La situation me plaisait beaucoup, en réalité. Je les épiais tous les jours et je m’apercevais que ma femme se faisait souvent caresser quand elle allait lui porter ses courses ou son linge propre. Je l’entrevoyais de temps en temps par la fenêtre tendre ses fesses nues vers sa main, demander la caresse. Ensuite, il y a eu cette nuit où mon épouse, souvent victime d’insomnie, est allée s’installer dans le canapé du salon pour regarder la télé. Je me suis levé sans bruit après elle et doucement, je suis allé vers le salon : personne. Jetant un coup d’oeil au jardin, j’ai vu de la lumière dans le petit cabanon. Discrètement, pieds nus, je me suis dirigé vers le volet entrouvert et là, surprise… Jean était allongé à poil sur son lit et ma femme était à quatre pattes entre ses jambes en train de sucer sa longue bite. Je n’en croyais pas mes yeux, mon épouse pompait la queue d’un autre mec et je commençais à bander.

Jean l’a prise par les épaules et l’a fait se mettre en 69. Par l’entrebâillement du volet je voyais la chatte de ma femme en face de moi avec la tête du mec enfoui dans sa raie des fesses. Il la léchait, la doigtait avec plusieurs doigts, la sodomisait avec son pouce et sa langue et moi, je bandais comme un âne. Je me tripotais le gourdin et j’ai failli éjaculer quand j’ai vu Jean la retourner pour l’empaler sur sa longue queue. Mine de rien, je matais ma petite femme se faire démonter la chatte par un sexe étranger. Je n’en pouvais plus, je ne savais plus quoi faire, les déranger ou garder le secret pour profiter d’autres nuits de spectacle. Je continuais à mater ma femme aller et venir sur cette queue, quand tout à coup, elle a poussé un gémissement : Jean lui taraudait le trou du cul avec deux doigts, et tout cela à quelques centimètres de mes yeux. Jean lui a caressé les seins en lui demandant quelque chose à l’oreille.

J’ai vu ma petite Ange faire oui de la tête en souriant. Ma femme s’est positionnée en levrette et là, j’ai vu à la lumière de la table de nuit une belle queue bien droite et bien raide entrer dans son trou du cul. Jean enculait mon épouse sous mes yeux. Quand elle a crié son plaisir, j’ai éjaculé en même temps que lui… Moi sur le mur du cabanon, et Jean dans le cul de ma femme !

J’ai vite regagné le lit conjugal en me promettant de les surveiller de plus en plus souvent. Le spectacle m’avait plus émoustillé que rendu jaloux. Depuis, mon épouse se partage entre lui et moi pour mon grand bonheur de mari voyeur. Elle ne m’a encore rien dit, alors je continue de la mater en train de me faire cocu avec le voisin et avec grand plaisir.

(Photo à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé, vous aimerez aussi…

Un locataire très discret

Cocu mais content !

Le facteur

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  • Pia vital

    Ce récit est très bien écrit, avec les détails vécu, j ai beaucoup aimé, j aimerais vivre ce genre de situation en tant que locataire.

interstron.ru