Karatéchatte (par Pierre)
18 novembre 2019Pierre, 39 ans
Avant toute chose, je tiens à vous remercier car c’est un peu grâce à l’équipe d’interstron.ru que je vis mon fantasme depuis plusieurs mois. Je m’en explique, et c’est l’objet de mon courrier. J’ai toujours eu un gros faible pour les femmes qui pratiquent des arts martiaux. Allez savoir pourquoi… Un petit goût pour la domination, peut-être ?
Adolescent, je bandais déjà pour Mme Peel, les Drôles de Dames et toutes celles qui portaient des kimonos ou qui pouvaient mettre des roustes à des grands gaillards avec leurs pieds et leurs petites mains. Mon goût appuyé pour les pieds vient sûrement de là également. Je me constituais aussi des cahiers de collage avec des photos de fesses et de combattantes en kimonos, découpées dans les magazines de sport. Aujourd’hui, je peux surfer sur un certain nombre de sites internet qui me font dire que je ne suis pas le seul dans mon cas : « Judo défense, budo girl, lusa entertainment, feet heat, bring it on sisters… » Un vrai régal.
Donc, j’en reviens à vous. Lecteur assidu du magazine interstron.ru depuis plus de dix ans, quel ne fut pas mon plaisir de lire, il y a deux ou trois ans, le courrier de « Judochatte« . J’aurais donné cher pour prendre la place du petit veinard entre les mains des deux copines ceintures noires et lubriques. C’est en relisant ces courriers que je me suis dit qu’à 39 ans, il était temps de me prendre en main (ou le contraire d’ailleurs) et d’arrêter de me comporter comme un ado complexé sur ce sujet.
J’en ai parlé à ma copine de l’époque, je lui ai montré mes cahiers et vos courriers et je lui ai proposé d’aller nous inscrire tous les deux dans un dojo. Elle s’est foutue de moi en me disant d’aller voir un psy. Je l’ai plantée aussi sec en la quittant pour aller m’acheter un kimono et m’inscrire au club de judo le plus proche. Le premier essai ne fut pas très concluant… Il y avait peu de filles et les quelques-unes présentes étaient plutôt du genre baraquées, sans seins et pas féminines pour deux sous. En revanche, j’ai adoré l’ambiance, les bruits de chutes qui résonnaient, l’odeur flottante entre la transpiration et les pieds, évoquant l’intimité… Il ne manquait que les filles !
Trois cours plus tard, j’étais inscrit dans un autre club de judo où là, par contre, j’aurais bien fait mon affaire. Une petite blondinette, la poupée parfaite d’une vingtaine d’années, ceinture marron, m’a envoyé balader (et pas que sur le tatami) en me disant d’aller jouer avec les gens de mon âge. Je me suis alors rabattu sur une quadra coupée au carré, genre mère de famille rangée, à qui il ne manquait qu’un serre-tête noir assorti à sa ceinture. Entre ma branche pas très fine et une érection que je ne cherchais pas à dissimuler, elle m’a bientôt fait comprendre qu’il fallait mieux que je passe mon chemin, et fissa !
De plus, comme toutes les nanas paraissaient copines (prévisible), j’ai bien été obligé de changer d’air. Pour la troisième fois en moins de deux mois, je suis allé m’inscrire en décidant cette fois de m’essayer au karaté. Échaudé par la précédente expérience, je me suis dit qu’il fallait y aller mollo mon Pierrot, pour ne pas limiter mes expériences à l’inscription. D’autant que c’était la fête la moitié des pratiquants étaient des pratiquantes. J’étais bien décidé à mettre dans mon lit celle qui me mettrait par terre. Le destin a frappé lorsque le professeur m’a désigné une partenaire expérimentée avec de soi-disant vertus pédagogiques : taille moyenne 1m75, pas trop de poitrine, des ongles de pieds vernis (important) et une queue de cheval qui dodelinait derrière sa tête. C’est vrai que dit comme ça, cela fait carrément examen médical, mais c’est un peu ce que j’ai fait. Je me la suis joué timide et sérieux, essayant tant bien que mal de dissimuler la poutre que j’avais entre les jambes.
Les cours suivants, je lui ai demandé si ça ne la dérangeait pas que nous travaillions ensemble. Puis, c’est devenu une habitude et, en deux mois, nous nous faisions la bise (alors que je n’en pouvais déjà plus). De temps en temps, nous buvions un verre après l’entraînement, quand elle ne partait pas avec ses copines. Puis, l’été est arrivé et j’ai rongé mon frein pendant deux mois d’avoir été si timoré. Alors que je m’étais fait des plans d’ado mal dégrossi, je me suis fait cueillir à la rentrée, pour mon plus grand bonheur.
Lors de l’entraînement de reprise en septembre, je n’avais pas débandé depuis le début du cours. Alors que nous travaillions le coup de pied de face et sa parade, je l’ai attaquée, elle m’a bloqué, a fauché ma jambe d’appui et, alors que je tombais sur le sol, elle m’a fini par une attaque du poing aux parties. Lorsqu’elle a poussé son cri d’attaque (le kaïclont je ne cesse de me délecter), son poing était à touche-touche avec le tissu de mon pantalon de kimono… Ce dernier ne masquait plus grand-chose de mon engin qui était prêt à exploser. Surprise ! Elle a saisi mon membre à travers la lourde toile tout en me lâchant discrètement : « Alors, toujours la superforme, même après les vacances ! » Je ne respirais plus, j’étais rouge écarlate et j’avais l’impression que le monde entier m’avait vu éjaculer dans mon kimono ! Elle s’est replacée tranquillement pour reprendre l’exercice et m’a regardé avec malice, vraisemblablement très contente et très fière de son coup.
Après cela, je l’ai bien entendu invitée à boire un coup. Elle a accepté sans se faire prier. Nous nous sommes assis, et elle m’a demandé si ça allait mieux. J’ai d’abord rougi, puis nous avons fait des blagues… De fil en aiguille, elle m’a raconté que ses parents l’avaient inscrite au judo pour lui apprendre à se défendre. Cela lui avait déjà été utile face à un agresseur, mais pas pour « se protéger » des garçons, car c’était lors de déplacements en compétition qu’elle avait perdu sa virginité à 16 ans, connu sa première partie à trois à 17, voire plus encore à 18… Ensuite, ça a été la fac de droit, puis l’école d’officier de Police. Elle avait finalement quitté la Police mais pas le karaté. De mon côté, je lui ai presque tout raconté, sauf les cahiers de collage…
En rentrant chez moi, un mail m’attendait : « Fais de beaux rêves » avec une pièce jointe, une photo qui montrait une vue plongeante sur une veste de kimono franchement ouverte et qui ne tenait plus que par sa ceinture noire, laissant libre une jolie poitrine que je n’avais pas remarquée jusqu’ici dans un soutif noir très sexy, en dentelle. Le pantalon avait laissé la place à un joli petit slip assorti. Le message précisait : « Pour une soirée solitaire, dispo demain ? Passe me prendre à 20h 00 à cette adresse. » J’ai seulement répondu : « Merci et à demain ! »
Je me suis présenté à l’heure pétante, avec un bouquet de fleurs. Elle m’a dit qu’elle trouvait ça chou. Elle était très excitante dans son tailleur, chemisier très décolleté et limite transparent. Ses escarpins la mettaient à ma taille. Au resto, elle m’a avoué qu’elle s’était caressée en pensant à son mail et à moi. La discussion a vite tourné autour des arts martiaux. Mon goût un peu bizarre ne la choquait pas. Lorsque je lui ai dit que je n’avais jamais remarqué sa jolie poitrine au dojo, elle m’a expliqué que les soutiens-gorge de sport n’étaient pas très flatteurs mais protégeaient bien et qu’elle ne voulait pas abîmer son 90C. Pour illustrer, elle a placé les mains sous ses seins qu’elle a approchés de mon visage pour les mettrè en valeur. Au même moment, j’ai senti un pied venir fouiller entre mes jambes pour vérifier si j’avais la forme. Elle n’a pas été déçue.
Après dîner, nous avons pris un verre chez elle. Electro en bruit de fond, lumière douce… Je me suis approché d’elle par-derrière alors qu’elle allumait des bougies. La prenant par la taille, je suis venu me coller à elle pour plaquer mon membre entre ses fesses et lui saisir les seins que j’ai fait jaillir de son chemisier. Elle s’est retournée et m’a embrassé à pleine bouche en prenant mon visage entre ses mains. Les miennes jouaient avec ses seins. Soudain, elle m’a saisi par le revers de ma veste et a pivoté sur elle-même pour me projeter au sol ! La dernière chose que j’ai vue : elle faisait glisser sa jupe le long de ses jambes et écartait la ficelle de son string. Elle est alors venue placer ses escarpins de part et d’autre de ma tête et s’est accroupie. J’ai senti son minou m’effleurer le visage, lui donnant un coup de langue chaque fois que je pouvais. Puis, la pression s’est accentuée sur ma figure son sexe me massait le visage ou plutôt se massait sur moi. Elle a fini par en jouir en criant, on aurait dit son Kaï.
Sans plus de transition, elle est restée à califourchon sur moi et a sorti mon membre qu’elle a englouti profondément dans sa bouche. Ses mouvements étaient longs et la pression de sa bouche puissante, j’ai même cru à un moment qu’elle me mordait. La meilleure fellation de ma vie ! Lorsque j’ai éjaculé, elle m’a gardé dans sa bouche en aspirant fort, j’ai eu l’impression qu’elle m’arrachait mon sperme. Elle m’a laissé anéanti par terre pour aller enfin nous servir ce dernier verre en m’informant « J’espère que tu aimes la chatte, parce que si tu veux que ton trip miss Bruce Lee s’inscrive dans la durée, tu vas en bouffer un maximum ! » J’ai adoré cette déclaration. J’étais prêt à en prendre pour vingt ans sans remise de peine…
Depuis, c’est l’extase. Outre de bonnes séances de pénétrations, je lui broute la chatte une à deux fois par jour. Ses besoins m’impressionnent. Pour ma part, elle répond à mes fantasmes martiaux à la carte, sans se poser de questions et en y trouvant souvent un certain plaisir. Elle réalise des katas entièrement nue où je vais même jusqu’à me masturber devant elle, des séances d’entraînement en sous-vêtements sexy… Bref, des années de fantasmes qui se réalisent enfin ! Je ne peux pas encore vous envoyer de photos, elle ne sait pas que je vous écris. J’espère qu’en me lisant dans un prochain numéro, elle acceptera. Si c’est le cas mon amour, sache que je n’aurais jamais cru avoir la chance de pouvoir te rencontrer. Te brouter est un régal chaque fois renouvelé. Je serais prêt à aller te chercher jusqu’au bout de la terre. Encore merci à interstron.ru et à bientôt.
PS: merci à la judochatte et à sa copine Olga pour leurs beaux courriers…
[ndlr : ne manquez pas le récit de la charmante Aude, la compagne de Pierre, dans ce même numéro.]
(Image à la une : Getty Images)
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« Elle m’avait toujours plu, je devais bien le reconnaître, mais les histoires avec les clientes, je savais très bien comment ça se terminait. En plus, je ne tenais pas particulièrement à me traîner une réputation de baiseur de belles oisives.«
« Les gens prennent des vacances l’été, moi je travaille dur. J’ai monté ma boîte d’entretien des piscines et je passe tout juillet et août à aller chez des gens pour nettoyer les conneries qu’ils font dans leur maison de vacances. » Pascal
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lsc
Excitant, cette histoire. Particulièrement lorsqu’elle frottr sa petite chatte sur ton visage…