La femme du boucher
4 novembre 2019Alizée, 18 ans
Je m’appelle Alizée et j’ai 18 ans. Je vais vous raconter un souvenir un peu dingue qui hante mes nombreuses séquences de masturbation dans ma chambre.
C’était l’an dernier, je revenais d’un séjour linguistique de deux semaines en Angleterre. Sur place, j’avais rencontré John, un garçon trop cool. Nous étions sortis ensemble et, assez rapidement, nous sommes passés à la vitesse supérieure. Un désir très fort m’avait conduite à coucher avec lui. Tout était allé très vite. Sa queue chaude et douce dans mon sexe trempé m’avait donné des orgasmes qui m’avaient laissée complètement H.S.
Un soir, en rentrant du pub, nous avions longuement fait l’amour. En plein milieu de nos ébats, il était allé chercher une courgette, avait déroulé un préservatif dessus et il m’avait pénétrée avec pendant qu’il léchait mon clito en feu. À sa demande, je m’étais masturbée devant lui avec ce gode végétal, tout en me touchant le bouton de l’autre main. John, subjugué, s’était branlé en même temps. Les orgasmes forts et multiples s’étaient succédé, et je m’étais promis de recommencer à la maison.
Mais en fait, j’ai pu revivre cette expérience à une autre occasion. Ça s’est passé chez F., une amie de ma mère qui vivait à la campagne et chez qui nous allions souvent le week-end. Elle ne semblait pas avoir d’homme dans sa vie. Comment faisait-elle pour gérer cette situation ? J’avais bien entendu certains soirs des respirations accélérées et des plaintes étouffées. J’en avais déduit qu’elle se masturbait, mais je savais que cela ne remplaçait pas une bonne pénétration.
Ce samedi-là, ma mère était absente, mais elle devait nous rejoindre le dimanche matin. Pendant le déjeuner, F. m’avait paru nerveuse. Elle avait tenté de téléphoner à quelqu’un deux fois, sans succès. Attendait-elle de la visite ? Afin d’en savoir plus, je lui ai dit que j’allais rendre visite à une de mes copines qui habitait à l’autre bout du village. Elle a eu l’air soulagé. J’ai pris mon vélo et je suis sortie. Silencieusement, j’ai fait le tour de la maison et je suis rerentrée par la porte du jardin. F. était dans la salle de bain. J’ai grimpé au premier étage de la remise située dans la cour juste en face de la maison. Au milieu des pommes et des légumes, je n’ai pas eu longtemps à attendre pour comprendre.
Anne, la femme du boucher, a sonné à la porte avec un panier. J’ai pensé qu’elle faisait une livraison. J’ai été scotchée quand je l’ai vue se coller contre l’amie de ma mère, dans le vestibule, alors que la porte n’était pas encore fermée ! Elles s’enlaçaient et s’embrassaient avec passion. La porte s’est refermée et elles sont montées à l’étage, dans la chambre de F.
La bouchère la pelotait, massait ses seins, son cul, sa chatte… La totale ! F. semblait se laisser faire avec délice. J’étais littéralement en feu et en eau. Instinctivement, j’ai commencé à me caresser à travers le slip.
Allongée sur le dos, Anne tortillait son corps potelé. La langue de F. entre ses cuisses la titillait avec ardeur alors que ses doigts fouillaient son vagin. Mes deux mains s’occupaient de ma chatte, et le spectacle de la jouissance d’Anne complètement offerte, béante, bouche ouverte, m’a procuré un orgasme intense.
J’étais debout, jambes tremblantes, lorsque j’ai vu Anne « renvoyer l’ascenseur » à l’amie de ma mère. Elle a sorti de son panier un gode de belle dimension. F. s’est allongée sur le dos et se l’est introduit doucement et longuement, à fond.
Elle se faisait lécher par Anne qui faisait aller à venir le gode avec des mouvements rotatifs. Son corps entier ondulait, elle ballottait sa tête de droite à gauche au rythme de son plaisir. Elle se massait frénétiquement les seins, puis tirait sur ses bouts de plus en plus fort. Soudain, son corps entier s’est cambré. Elle a pris à deux mains la tête d’Anne pour comprimer sa bouche contre son sexe. C’était dingue !
De mon côté, j’avais saisi une carotte que je faisais aller et venir dans mon sexe chaud et trempé. J’avais sorti mes seins de mon soutif et je les massais en me pinçant les bouts. J’ai eu deux orgasmes, mais le plus fort est venu quand j’ai vu jouir l’amie de ma mère. Un plaisir fou a irradié toutes mes zones sensibles.
Le soir, pendant le repas, F. m’a dit que j’avais l’air fatigué. Je lui ai répondu que c’était le vélo et qu’elle aussi semblait un peu fatiguée. Elle n’a rien répondu, mais elle a eu un grand sourire, les yeux dans le vague.
(Image à la une : Getty Images)
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