Lascive petite Laure

La rédaction 11 mars 2021

Jean, 36 ans, rencontre une nana sexy de 25 ans lors d’un salon professionnel. Il nous raconte les avantages à etre commercial.

Bonjour cher magazine. Moi, c’est Jean, un commercial de 36 ans un peu coquin, j’avoue je vais vous raconter mon histoire de sexe.

Dans mon boulot, il y a beaucoup de déplacement, et c’est l’occasion de trouver des conquêtes bien croustillantes, sans prise de tête. Tout ce qu’il me faut quoi ! Mais alors là, les amis, je suis tombé sur une pépite. La petite Laure avait 25 ans, un corps mignon et toutes les qualités requises pour faire une bonne cochonne. Cette nana transpirait le cul. Ça lui suintait de partout.

Tout a commencé à un salon professionnel vers Aix-en-Provence. Elle tenait un stand vantant les mérites des boissons organiques, biologiques et équitables. Les hommes y allaient surtout pour se rincer l’œil et goûter les bonnes bières pas très fortes de nos terroirs. Elle était très souriante, faussement naïve, salement gaulée et sapée comme une bobo lascive. Son jean taille basse lui tombait sur les hanches, et quand elle se baissait pour attraper un article, on voyait largement sa culotte transparente. Ensuite, elle se retournait, toute contente, comme si de rien n’était, et on avait droit à un joli décolleté bien mis en valeur… Ce qui fait toujours plaisir pendant les mois d’hiver où on voit si peu de chair. Bref, tous les mecs étaient amoureux.

J’ai passé tellement de temps à son stand que j’ai raté la moitié de mes rendez-vous de la journée, mais bon, ça valait le coup. On s’est donné rendez-vous le soir en ville, au café de la mairie. Je l’attendais en terrasse où j’enchaînais les clopes, persuadé qu’elle ne viendrait pas. Il commençait à faire bien frisquet quand elle s’est enfin pointée comme une fleur, tout sourire. « T’es déjà là ! » m’a-t-elle taquiné. Elle était comme ça, la petite Laure. Ensuite, elle m’a sorti une expression de jeunes (ce que je n’ai compris que plus tard en cherchant ce qu’elle m’avait dit sur le Web !), elle a lâché en se marrant :

« Enlève ta culotte, c’est moi qui pilote. ». Bon, j’étais en boxer sous mon jean, mais je me suis quand même laissé piloter. On a avalé un remontant, et elle a voulu partir. J’ai suivi. « Elle est où ta caisse ? Tu me plais. Viens. ».

Sur le parking derrière la mairie, j’ai à peine eu le temps de monter en voiture ! Elle s’est désapée rapido. Elle a enlevé le haut. Elle ne portait rien dessous la coquine. Elle s’est collée à moi, et nos langues se sont mélangées. On a arraché nos vêtements. J’ai enfin pu lui retirer cette petite culotte qui m’avait nargué tout l’après-midi. Ses seins pointus gigotaient dans tous les sens, bien fermes et excitants. Elle a voulu que je la photographie pendant qu’elle me chevauchait. Je n’avais rien contre, mais je ne voulais pas qu’on voie ma tronche.

Quand j’ai été tout nu, elle m’a poussé au fond de la banquette arrière et m’est montée dessus à la cosaque. Une vraie guerrière, putain, quelle gonze ! Elle a choppé ma queue fermement et se l’est collée dans l’oignon en forçant. Elle a soupiré, gémi, c’était super excitant. Elle était trempée dedans. Elle me filait des sacrés coups de reins en s’enfilant sur moi. Elle me baisait à fond. Mon piston était en feu, et je sentais les amortisseurs de mon véhicule de fonction qui prenaient cher ! Son petit pendentif dansait devant mes yeux au rythme de notre chevauchée fantastique. À un moment, elle a commencé à me caresser les couilles par-derrière. J’ai senti que j’allais vite cracher. Je lui ai dit. Elle s’est écriée : « Nan, nan bouge pas, attends ! ».

Elle s’est retirée, s’est affalée sur la banquette et m’a supplié de lui gicler dessus. « Balance-moi tout, mon gros pirate poilu ! ». Je ne me suis pas privé ! Elle a tout bien étalé sur ses seins, et je l’ai finie en la branlant. J’ai presque réussi à lui entrer mon poing entier dans la chatte. Elle a joui en tremblant. J’ai tiré un plaid sur nos corps nus, et on est restés comme ça à somnoler pendant une petite demi-heure. Ensuite, elle s’est essuyée, m’a fait un petit bisou et m’a juste chuchoté en souriant : « À l’année prochaine, mon nounours. ». Elle a enfilé deux ou trois vêtements et elle est partie. Comme ça. Heureusement, j’ai gardé les photos pour me palucher en repensant à cette belle partie de baise. Du coup, maintenant, j’ai gardé l’habitude de photographier mes partenaires qui le veulent bien… Je vous mets quelques clichés, chers amis ! Au plaisir !

(Photo à la une : Getty Images)

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