Les plaisirs libertins
3 décembre 2024David, 27 ans de Paris raconte sa découverte des plaisirs libertins parisiens. il fait la rencontre d’une belle marocaine très ouverte et très chaude.

Les Jeux Olympiques, quelle merveille ! Parisien, j’ai pu fréquenter le club France au pavillon de la Villette tous les soirs. Un véritable nid à filles de tous les pays du monde ! Je vous raconte tout dans cette histoire de sexe amateur. Je vous présente donc, avec son accord, la plus coquine et même la plus cochonne de toutes, Naïma. Cette jeune fille suivait la délégation marocaine et nous avons tout de suite senti qu’il se passait quelque chose entre nous.
Une sacrée suceuse
Une fois chez moi, j’en ai eu confirmation. Elle m’a surpris en m’ordonnant de la déshabiller, m’aidant, en tortillant du cul, à retirer sa culotte jaune canari pour m’offrir sa chatte épilée et déjà baveuse de mouille. C’est elle encore qui m’a demandé de la prendre en photo. J’ai dégainé mon portable et je l’ai regardée venir à mes pieds à quatre pattes pour se saisir de mon pénis flasque et le porter à ses lèvres. Quelle merveilleuse suceuse. Elle enrobait ma queue de salive et aspirait cette dernière, rafraîchissant par la même mon gland. De fait, je n’ai pas tardé à bander dur comme fer. Une fois en totale érection, Naïma a continué à me pomper le dard et à se l’enfoncer loin dans la bouche, une gorge profonde d’enfer qui m’a excité à mort. J’ai pris ses cheveux dans ma main et j’ai accompagné ses mouvements tout en dégrafant son soutien-gorge, ultime rempart de sa pudeur.
Désormais entièrement nue, elle s’est déchaînée, écartant ses cuisses afin de me montrer sa jolie moule toute lisse et son petit trou, se caressant avant de m’attirer entre ses jambes, sensuelle, féline. Je l’ai rejointe avec empressement, lui calant ma langue directement sur sa fente et son clito. C’est exactement ce qu’elle attendait. Volubile dans son plaisir, elle exprimait clairement ce dont elle avait envie, le rythme que je devais adopter et l’endroit précis à cibler. Son jus était un véritable délice, un goût de miel épicé qui nappait ma gorge. Je l’ai dégusté jusqu’à ce que le corps de Naïma s’arque sous l’effet de l’orgasme. Les tremblements qui parcouraient sa silhouette se sont progressivement calmés et ses hanches ont commencé à onduler, appel muet à d’autres jeux. Ma queue était de plus en plus gonflée et se relevait par saccades. Le signal était limpide, elle avait envie de se glisser dans le fourreau de Naïma qui, clairement, n’attendait que cela.
Prise par les deux trous
Cette dernière s’est proposée d’abord en missionnaire, position que j’adore, car j’aime voir l’effet que mes coups de reins ont sur mon amante. Les yeux dans les yeux, on peut réaliser pleinement si on est sur la bonne voie et adapter sa puissance pour accompagner la montée vers le nirvana. La technique a fonctionné une fois de plus, quelques coups de boutoir plus tard et Naïma repartait au paradis en criant à plein poumon.
Et de nouveau elle s’est reprise et m’a demandé de venir en amazone sur moi, bien calée à califourchon au-dessus de ma bite dressée. Elle se l’est enfilée sans même la guider avec les mains. Son minou était spongieux et serré, elle a absorbé la longueur entière de mon sexe puis s’est mise à imprimer des mouvements concentriques à ses reins. Cette sensation sur toute la longueur de ma hampe, je ne suis pas près de l’oublier, une vraie magicienne ! Dans le même temps, elle appuyait fortement son pubis contre le mien, je sentais même son clitoris bandé à mort qui ripait contre ma peau. J’ai glissé mes mains sur ses fesses et ai senti comme une invitation. Mon majeur est parti explorer son petit trou, trempé. Il s’est laissé embrocher sans broncher, à tel point que j’ai rajouté mon index et mon annulaire. Mon amante avait le cul dilaté, tout ouvert, mais elle continuait son numéro de houla-hop tout en me chevauchant, trio gagnant, car elle s’est envolée pour son troisième orgasme. Cette fille était une source ininterrompue de jouissance.
Je l’ai alors basculée sur le côté, elle s’est d’elle-même offerte en levrette, son fessier et ses reins étaient faits pour cette position. Cambrée fortement, elle a écarté ses globes charnus révélant une fente rougie et gonflée ainsi qu’un anus épilé et tout à fait disposé à être sollicité de nouveau. Avec un certain sadisme, je l’avoue, j’ai promené mon gland d’un orifice à l’autre, le faisant pénétrer jusqu’à la couronne pour mieux me retirer, une fois dans le trou d’en haut, une fois dans le trou d’en bas. Je ne m’étais pas trompé, comme beaucoup de beurettes, Naïma aimait la sodomie. Je me suis donc fait plaisir en l’enculant. Elle a joui analement et m’a demandé de lui cracher mon jus sur le visage. Elle a avalé la moitié de mon foutre avant de courir sous la douche.
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