Lila en fleur

La rédaction 22 novembre 2019

Max, 41 ans

Ma femme et moi aimons bien mettre par écrit les temps forts de notre vie sexuelle. Nous tenons une espèce de journal de bord de notre sexualité, dans lequel nous notons nos impressions, nos fantasmes, nos désirs, nos aventures et les photos qui vont avec. Voilà un petit extrait que nous désirions partager avec tous les interstron.ruistes.

Ce jour-là, j’étais particulièrement excité car Lila, mon épouse, avait mis des bas très seyants qui soulignaient parfaitement ses cuisses. Je l’avais remarqué lorsque la coquine avait fait exprès de relever légèrement sa jupe pendant que je la regardais. Elle sait que cette vision me fait souvent partir en vrille. À tel point que je me suis jeté à ses pieds pour lui demander l’autorisation de la toucher. Je la contemplais, le visage contre ses genoux et je relevais la tête pour mater sous sa jupe ses formes sensuelles et son corps ravissant. 

Elle s’est déshabillée alors que j’étais toujours agenouillé près d’elle, captivé. Puis elle m’a ordonné de me dévêtir à mon tour, ce que je me suis empressé de faire. Je me suis retrouvé sur la moquette de la chambre, nu comme un ver, la tête à la hauteur de son sexe charmant. Lila m’a alors intimé l’ordre de la lécher. Je me suis tout de suite exécuté car j’adore ça, disparaître entre ses cuisses pour la faire gémir et s’abandonner sous mes coups de langue bien placés. 

Elle a posé une main autoritaire sur ma tête pour me guider dans mon cunni. « Plus à gauche… Moins fort… Oui comme ça, là », commentait-elle. Je me laissais porter par sa voix suave, à mesure que ma salive se mêlait à sa mouille dans un bain de luxure qui m’excitait de plus en plus. À force de patience et de léchage, je l’ai fait jouir comme ça, debout, sa main en train de me tenir par les cheveux, sa chatte dégoulinant de plaisir sur mon visage… C’était divin. Elle s’est alors agenouillée sur la moquette pour se mettre à me pomper et à me satisfaire à son tour. Sa bouche délicieuse agaçait mon gland avec précision, elle savait exactement où diriger sa caresse pour me rendre fou — c’est l’avantage de bien se connaître. Sa langue se déportait parfois sur mes couilles pour les soupeser et les envelopper de sa chaleur humide.

Elle prenait le bout de ma queue dans sa bouche, suçotait son extrémité, puis d’un coup, sans prévenir, me faisait une gorge profonde avec une douceur infinie et sans jamais me blesser ni commettre de maladresse. Ma queue disparaissait alors dans son gosier, un plaisir intense à la fois physique, visuel et cérébral. À cette caresse vertigineuse succédait sa main qui me branlait énergiquement entre deux succions.

Puis Lila s’est allongée sur le canapé, offerte. Elle voulait que je la pénètre et j’en avais moi aussi furieusement envie. Mais je me suis mis d’abord à jouer avec son clito. Je l’ai caressé tout en me laissant à nouveau guider par elle, jusqu’à ce qu’elle soupire de satisfaction et de plaisir sous la pression de mon doigt.

Enfin, je me suis approché d’elle pour la pénétrer. C’était chose aisée, car elle était inondée de mouille et de salive. Elle m’a attrapé par les fesses avec autorité pour accompagner mon mouvement et pour que nos deux sexes s’emboîtent parfaitement l’un dans l’autre. Quel délice ! Quel laisser-aller ! Nos corps collants de la sueur et de l’excitation se reconnaissaient et communiaient ensemble. Lila n’a eu aucun mal à jouir une deuxième fois, chose à laquelle elle parvient en serrant fort son périnée autour de ma bite pendant que je la pénètre lentement, lentement. C’est elle qui dirige la sensation et se mène à l’extase en accompagnant la percée délicate, tout sauf brutale, de ma queue. La voyant jouir à nouveau, je me suis autorisé à éjaculer en elle, un orgasme qui a duré de longues secondes tant il fut fort… Ce moment est un beau souvenir de complicité qui, j’espère, vous aura ravis autant que nous.

(Image à la une : Getty Images)

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« J’ai ouvert la bouche et j’ai saisi son pénis entre mes lèvres. Prenant soin de ne pas le mordre, j’ai entamé un va-et-vient. Etonnamment, j’ai pris du plaisir à sucer cette bite inconnue. » Corinne

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