Melody en sous-sol
8 janvier 2025Depuis quelques semaines, nous sommes hébergés, Daniel, mon petit copain et moi-même, chez Fred, un ami. Nous emménageons à Bordeaux ! On ne trouve rien à louer, j’en profite pour lancer un appel aux interstron.ruistes ! Peut être l’occasion de partager une histoire de sexe amateur. Bref, nous rentrions d’une soirée bien arrosée. Ma mini-jupe en tartan et mon string à pois n’avaient pas manqué de troubler follement mon mec, qui, dès le pas de la porte franchi, m’a offert un pelotage en règle de mes seins, de mon cul et de ma chatte. Moi aussi, j’étais excitée et l’envie de sexe taraudait mon bas-ventre.
After fellation et voyeurisme
J’ai sorti la bite de mon homme, il bandait déjà dur le petit sagouin, je l’ai pris en bouche pour le sucer très lentement, comme il aime, léchant délicatement le dessous de sa hampe très large.
« Eh bien, on ne s’ennuie pas ici à ce que je vois ! » Je suis devenue rouge comme une tomate. C’était Fred, que nous avions réveillé, et qui nous reluquait du bout du couloir de l’entrée ! « Ne vous en faites pas pour moi, en revanche, ça fait longtemps que je n’ai pas tiré mon coup, je peux vous regarder un peu ? Je vous entends tous les soirs et je me branle, mais vous mater en vrai, c’est encore mieux !»
Affreusement gênée au départ, j’ai senti ma chatte couler sur la moquette lorsque j’ai vu Fred sortir son portable pour nous prendre en photo ! Mon fiancé était visiblement aussi partant que moi, donc je suis retournée à ma fellation en mordillant son gland, sourire aux lèvres.
Nous étions lancés dans un porno amateur ! Pas le temps pour un cunni, j’ai humecté mes doigts et me suis appliqué un peu de salive sur mon abricot déjà trempé. J’ai recommencé l’opération sur le bout de Daniel et je l’ai chevauché directement. Il a écarté le pan de ma culotte pour dégager mon sillon et mon anus, j’ai entendu un « waouh ! » enthousiaste derrière moi. J’ai tourné la tête, Fred avait sorti son sexe de son caleçon, sa queue était énorme, j’en ai bavé d’envie tellement elle était grosse et épaisse.
Partie épiée et double éjaculation
Mais pas le temps de m’appesantir, les coups de piston de mon homme étaient lancés et je commençais à ressentir les premières vagues de chaleur qui inondaient mon corps. Après ce premier round d’observation, je me suis mise en levrette, montrant au maximum ma raie pour notre cochon d’hébergeur qui ne ratait pas une miette du spectacle, continuant de nous photographier tout en manipulant son gigantesque chibre de sa main libre. Il me chauffait terriblement avec sa branlette, j’avais une envie folle de le sucer, de le sentir en moi, mais Fred était tout à son affaire et me limait de plus en plus fort. Tout mon sexe était gonflé et j’ai senti le tsunami arriver, il m’a submergée d’un coup.
Mon string nous gênait et notre hôte m’a demandé s’il pouvait voir mes nichons. Alors j’ai fini par me déshabiller quasi intégralement et je me suis allongée sur le dos. J’ai relevé mes jambes pour laisser à Fred l’opportunité de réaliser quelques gros plans de ma fouffe et Daniel est revenu à la charge, sa queue a investi mon petit corridor de bonheur et il m’a lutinée jusqu’à l’extase !
Ses va-et-vient intenses se sont trouvés renforcés par le pincement de mon clitoris. Son pouce et son index sont venus précisément se placer de chaque côté de ma perle et il m’a branlé cette bite miniature jusqu’à ce que je hurle de plaisir. Il sait vraiment y faire et connaît mon corps et mes désirs par cœur.
Fred a demandé si je pouvais chevaucher mon amant, autant demander à un chat s’il veut du lait, c’est très clairement une de mes positions préférées. J’ai donc enjambé les cuisses masculines et me suis empalée sur la colonne divinement bandée, face à lui. Mon sexe était serré tel un étau autour de la hampe et je prenais un malin plaisir à exhiber toute mon anatomie aux deux mâles présents.
Daniel se laissait faire, trop heureux de cette baise sans effort de sa part, quant à Fred, il nous filmait désormais, le visage rubicond, tout comme le bout de sa tige. J’ai caressé les couilles sous mon cul et notre photographe s’est rapproché de moi. J’ai tendu la main pour soupeser les siennes, la tentation était trop forte et il a éjaculé d’un coup, quatre grandes rasades de foutre sont sorties de son méat et ont maculé ma cuisse. J’ai adoré cette sensation de chaleur et les gouttelettes de sperme qui ont embrasé mon épiderme là où elles se sont posées.
C’est drôle, de voir cette éjaculation, cela a déclenché celle de mon homme, mon vagin s’est sans doute contracté, la pression supplémentaire a envoyé un signal à la bite qu’il accueillait tout au fond de son cocon. Une secousse, une légère crispation de la mâchoire, la crème a entouré la hampe et dessiné une couronne blanche qui doucement a coulé jusqu’à mon cul.
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