Elle n’avait pas 20 ans…
19 février 2020Charles, 52 ans
Récemment, j’ai vécu une histoire dont j’avoue avoir encore honte aujourd’hui. Je ne sais pas vraiment à qui me confier, j’ai peur que les gens me prennent pour un pervers, mais je sais qu’ici, dans les lignes de ce magazine, cela paraîtra presque « normal ».
J’en viens à mon histoire. J’ai des très bons amis qui habitent, assez loin, à Grenoble. J’essaie de les voir tous les 2, 3 ans, mais c’est assez difficile, nous avons tous des vies très chargées.
Un soir de février, j’ai quand même trouvé le temps de m’y rendre en train, et de profiter du paysage enneigé de la province en cette période hivernale. J’ai vu les 2 enfants, Sophie et Louis, grandir. Sophie est l’aînée, elle venait de fêter récemment ses 18 ans. D’habitude, les mômes se barrent une fois le dîner fini et nous sortons nos cartes à jouer « peu recommandables », mais cette fois-ci, Sophie a tenu à rester avec nous, nous raconter ses folles aventures en études supérieures. C’est la première année qu’elle quittait le cocon familial, elle étudiait les langues mortes dans une université de banlieue parisienne, et sa vie étudiante semblait trépidante. En tout cas, c’est comme ça qu’elle nous le rendait. Quelque part, j’étais un peu jaloux de mon couple d’amis. Je n’ai jamais eu d’enfants, mais j’aurai rêvé avoir une fille comme Sophie, aussi drôle et belle à la fois.
Au fur et à mesure que la soirée avançait, nos verres se vidaient à une vitesse incroyable et ma vessie était sur le point d’imploser. Sur le chemin retour des toilettes, j’ai croisé Sophie, partie chercher « je-ne-sais-quoi » dans sa chambre (avec le recul, j’ai presque l’impression que c’était un prétexte). Elle m’a demandé tout naturellement : « Tu veux visiter ma chambre ? Mes parents ont tout vidé depuis que je suis partie, c’est lugubre à souhait ! »
Quand je suis entré, évidemment j’ai vu une chambre avec quelques meubles, mais rien de vraiment « lugubre». « Tu vois même ce lit-là, il n’a plus rien d’accueillant » Elle a dit ça en s’affalant dessus comme si elle était un peu bourrée. Je voyais très bien où elle voulait en venir, à cet âge-là, on a les hormones qui nous travaillent à fond, mais j’avais très peur que mes amis me surprennent ! Ils ne voudraient plus jamais me voir, c’est sûr. « Bon si ça ne te dérange pas ? Je dois me changer… » Sophie était donc bel et bien bourrée. Elle a commencé à entamer un show érotique super sensuel. Trop tard, elle m’avait attrapé dans ses filets, je ne pouvais plus m’en échapper.
Elle avait un corps de dingue, hyper musclé. C’était vraiment devenu une belle femme. « Je vais me caresser, si tu veux, ça reste entre nous… Mes parents n’ont pas besoin de savoir… » Il faut que je me retienne de la baiser ! Me suis-je dis en mon for intérieur, même si c’est difficile, il faut que je me retienne de la baiser ! Je me suis contenté de la regarder de loin, juste la mater se toucher à poil sur son lit, la main devant mon entrejambe pour cacher cette érection très gênante. « Je peux prendre des photos ? » lui ai-je demandé timidement.
Je savais bien que je les supprimerai en rentrant à la maison (pas question que ma femme tombe dessus), mais je me suis dit que cela égayera magnifiquement mon voyage retour. Elle a hoché la tête et s’est mise à mimer des positions cochonnes hyper pornographiques.Pas de doute, elle devait bien en avoir visionné 2 ou 3 pour se comporter comme ça. Ma bite me torturait derrière mon pantalon, mes couilles devenaient douloureuses, mais je tenais bon !
« Le café est servi ! » La voix de la mère de Sophie a raisonné dans toute la maison. Intérieurement, j’ai soupiré de soulagement, quelques minutes de plus auraient pu m’être fatales. Sophie est restée dans sa chambre, prétextant un devoir à terminer. Heureusement, je n’aurai su où me mettre si elle s’était jointe à nous. Je suis descendu retrouver mes amis, ravi, en pensant à la branlette mémorable que je m’offrirai sur le chemin du retour…
(Image à la une : Getty Images)
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