Omission impossible

Olivier, mon meilleur ami, est un métronome, maestro de l’organisation, il n’oublie jamais une date, un rendez-vous, encore moins un anniversaire. Aussi, lorsque le 15 mai dernier, il n’a pas semblé plus préoccupé que cela de me fêter le mien, j’ai trouvé cela étrange. Nous avons dîné dans une petite brasserie à côté de chez lui en compagnie de Morgane, son épouse … mais rien, pas de cadeau, pas de gâteau, pas de bougies. J’avoue que j’étais un peu décontenancé, pour ne pas dire déçu et c’est à reculons que j’ai accepté son invitation pour un ultime verre de rhum à leur hôtel. Je vous raconte tout dans cette histoire de sexe amateur.

Dessert adultère

À peine le pas de la porte franchi, j’ai compris que quelque chose clochait, les lumières de l’appartement étaient déjà allumées, une ambiance tamisée nous attendait, une bouteille de champagne dans un sceau sur la table basse du salon. Un tonitruant « Joyeux anniversaire » a éclaté derrière moi et lorsque je me suis retourné, j’ai découvert Morgane à moitié nue, sa petite robe bleue roulée sur le ventre, laissant ses seins somptueux à ma vue, ainsi que son string minimaliste en dentelle.

« Voilà ton cadeau mon vieux ! » J’étais scotché ! Morgane est une femme magnifique et j’ai rêvé plus d’une fois de la posséder. Elle s’est approchée de moi et m’a déshabillé, elle a abaissé sa culotte et a saisi ma main pour la poser sur son sexe lisse. J’ai bandé dans la seconde. Olivier s’est mis en retrait et nous a pris en photo en regardant son épouse commencer à me sucer. Agenouillée sur un tabouret, elle me pompait profondément en s’aidant de sa paume sur mes cuisses pour enfoncer encore un peu plus mon dard au fond de sa gorge. J’ai fini par la priver de mon pieu et l’ai contournée pour venir la lécher. Son sillon sentait bon le désir et sa chatte était déjà trempée, elle s’est ouverte au maximum pour que je puisse enfouir ma langue dans tous ses orifices et taquiner son clitoris en érection.

Elle m’excitait dur avec ses socquettes blanches aux pieds et sa cambrure indécente qui me dévoilait tout de son anatomie la plus intime. Nous avons ensuite gagné le lit et j’ai repris mon cunnilingus. J’adore bouffer l’abricot d’une femme et celui de Morgane était particulièrement délicieux. Elle a joui sous mes effets de langue et de doigts, ses grands compas ramenés très haut me donnant un accès total à son vagin comme à son anus.

Prise par les deux trous devant son mari

Je lui ai laissé le temps de redescendre doucement tout en caressant ses seins, deux véritables œuvres d’art, fermes avec des tétons érigés et sensibles. C’est elle qui a appelé mes pénétrations de ses vœux. Son corps est clairement fait pour les délices du coït. Elle a de nouveau levé au-dessus d’elle ses belles gambettes et a écarté ses nymphes avec ses doigts, décapuchonnant son clitoris au passage. Je n’ai eu qu’à poser mon gland à l’entrée de la grotte rose et humide, et à la première pression de mes reins, mon pieu s’est enfoncé dans le crémeux de sa caverne en un éclair. Morgane avait une cyprine très fluide qui lubrifiait merveilleusement son conduit. Elle a réclamé que je la prenne fort, m’assurant qu’elle aimait le sexe sauvage.

Je me suis appliqué à la satisfaire, lui labourant le bas ventre de coups de boutoir féroces et de plus en plus puissants. Elle me fixait droit dans les yeux et, parfois, regardait Olivier qui continuait de nous photographier. Loin de me perturber, cette exhibition sexuelle, qui était une première pour moi, m’excitait au-delà des mots. Morgane a eu plusieurs orgasmes assez rapprochés, l’un d’eux, très fort, est survenu alors qu’elle me chevauchait. Elle s’est déchaînée sur ma bite dressée, balançant sa chevelure blonde en tous sens et me donnant ses mamelons à mordiller et à pincer.

Olivier, au bout du lit, ne ratait rien du spectacle et, désormais, se branlait en matant la croupe de sa femme. Il a éjaculé en quelques va-et-vient et Morgane m’a abandonné quelques instants pour aller lécher le foutre gluant de son mari, il en avait jusque sur le ventre. Lorsqu’elle est revenue sur le lit, c’est en levrette qu’elle s’est offerte à moi. Le temps que je me lève pour la contourner, elle s’était fourré deux doigts dans le cul ! Les surprises continuaient de pleuvoir. Quand j’ai approché mon vit, elle s’en est emparé et l’a guidé tout naturellement vers son petit trou. Je l’ai enculée aussi facilement que je l’avais pénétrée vaginalement, son anus hyperlaxe se refermant sur ma queue dès que je la lui mettais au fond.

J’ai finalement giclé dans sa bouche et sur sa poitrine. Comme avec olivier, elle a pris soin de récolter mon sperme et a tout avalé.

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