Partenaire particulière

La rédaction 5 juin 2025

Amina, 36 ans, a un mari qui la laisse insatisfaite sexuellement. Elle écrit une lettre à son amant, qui lui, excelle au lit !

Amina nous raconte son histoire de sexe amateur avec son amant, bien plus doué au lit que son mari !

Un mari nul au lit

Mon trésor, mon chéri, ma bite d’acier,

Que n’ai-je pu m’ennuyer avant ta rencontre ! Un mari peu porté sur la chose, réglé comme une pendule, le sexe c’est le samedi après-midi, et encore, les jours où il n’y a pas de match à la télé. Dix minutes à s’agiter sur moi, sans cunni, sans caresses, mécanique, il trique, me nique et … c’est fini !

Clinique jusque dans le timing ! Il va dans la salle de bain, se lave et me laisse pantelante, nue dans le lit en compagnie de mes désirs inassouvis.

Alors que toi, tu m’attends en bas de l’immeuble, je sors « faire des courses » et à peine montée dans la voiture, je prends ta belle bite en bouche. J’aime te sucer ainsi, au vu de toutes et tous et au risque de nous faire surprendre. Pendant ce temps, tu te contorsionnes pour me doigter, la chatte, le cul, tout y passe pour mon plus grand plaisir.

On va soit chez toi, soit à l’hôtel, je te fais la surprise de ma tenue intime, bas blancs, ensemble de lingerie noire, brassière fluo, tu me dis tout aimer sur moi. Je t’offre souvent un strip-tease pendant lequel tu te masturbes pour m’exciter encore plus, tu sors ton appareil photo et là je fonds.

Ta voix de baryton me demande de prendre des poses suggestives, très suggestives, puis carrément pornos ! J’adore voir ton regard fiévreux se délecter de mes charmes, j’écarte les fesses, je te dévoile absolument tout, de ma chatte baveuse de désir à mon anus dont tu peux jouir éperdument, quand tu le veux.

Un amant très doué

Tout est à toi, mes seins opulents aux tétons dressés, mon cul voluptueux, mon clitoris érigé, ma fente trempée de mouille…

Tu glisses ta tête entre mes cuisses et tu me lèches comme personne. Ta langue est implacable et tourne autour de mon bourgeon, s’insinue dans ma grotte charnelle, descend pour goûter le musc poivré de mon œillet.

Au début j’avais un peu honte de te laisser faire tout cela en pleine lumière, désormais, je relève les jambes, te demande de me prendre en photo sous toutes les coutures avant d’avaler ton beau chibre et laper tes couilles velues à souhait.

Souvent nous finissons en soixante-neuf, je pompe ton gros dard tandis que tu me fouilles de ton appendice et de tes doigts. C’est dans un de ces instants d’extase que tu m’as révélée entièrement, en faisant couler la fontaine que recèle mon coquillage secret.

Dieu que c’est bon quand tes phalanges s’agitent ainsi en moi et que je sens gronder ce gargouillis orgasmique au fond de ma chatte ! J’inonde ton visage et les draps tout en essayant de continuer ma fellation … 

Enfin, tu me possèdes, tu es insatiable, infatigable, comme j’en avais tant rêvé. Tu me prends en missionnaire, en levrette, parfois même debout, tu me baises encore et encore, déclenchant les orgasmes les plus fous qu’il m’ait été donné de vivre.

Ça monte crescendo, je sens le plaisir enfler en moi telle une boule de feu, je te vois aux aguets, attentif, et, dès que tu entrevois le point de bascule, tu enfonces un jouet ou deux de tes doigts dans mon petit trou du cul que tu as réussi à apprivoiser.

Jouir où tu le désires

Moi qui ne voulais pas entendre parler de quelque introduction anale que ce soit, je me découvre une sodomie accomplie ! J’aime que tu me ramones l’œillet … ton « p’tit fripé » comme tu l’appelles.

D’ailleurs, en écrivant ces lignes, je me touche le clito et l’entrée du vagin, trempé, et je frôle les contours que tu m’as offert et qui se trouve présentement bien au chaud entre mes fesses. Et oui, dans quelques heures, je vais te rejoindre, et tu m’as demandé de préparer le terrain.

Tu verras, tu vas pouvoir m’enculer jusqu’à la garde sans même avoir besoin de lubrifier le passage.

Et comme à chaque fois, que nous soyons dans un cocon ou bien en extérieur, tu vas me donner ton foutre ! Que j’aime ton sperme mon amour. J’ai envie de le sentir couler dans ma gorge, de le goûter avec délice, il est si bon, si onctueux, si chaud.

Tu pourras jouir où tu le désires, dans mon trou serré, dans ma chatte tout ouverte, au fond de ma bouche gourmande ou sur mes seins, mon visage ou bien encore mes fesses. De toute façon, tu sais que je n’en perdrai pas une goutte, dussé-je lécher mon épaule, comme cette fois où tu n’avais pu retenir ton éjaculation et où ton foutre m’avait aspergé de ma petite motte jusqu’à mon cou.

Je vais me préparer. J’ai une surprise pour toi, ma culotte est fendue, les bonnets du soutien-gorge assorti, idem et j’ai un nouveau jouet que tu vas pouvoir utiliser avec ! Le dîner risque d’être … tortueux !

Surtout si tu me demandes, une fois de plus, d’ôter mon string en plein milieu du repas … et du restaurant !

Vite, j’ai hâte !

Ta petite salope d’amour.

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