Piégée par ma belle-fille !

La rédaction 13 juillet 2020

Vera, 50 ans, se fait surprendre par sa belle-fille en train de se masturber qui va devenir sa maîtresse et lui faire découvrir une nouvelle sexualité.

Bonjour, je m’appelle Véra, j’ai la cinquantaine, physique normal, 1,68 m, tour de poitrine 90C, des fesses pas trop mal. Voici mon histoire de sexe : mon mari n’a jamais été trop porté sur le sexe. Moi, pas plus que cela, mais bon, j’aime ça quand même. En vieillissant, j’avais de plus en plus envie. Un jour que je me trouvais dans une maison de la presse, je suis tombée sur votre magazine qui a des photos de couverture assez suggestives. C’était il y a un an et demi déjà. J’ai donc acheté mon premier interstron.ru et je suis rentrée à la maison. Je l’ai déballé et je me souviens qu’à la première lecture, je me suis masturbée jusqu’à me faire jouir. Tous les récits m’excitaient. Je découvrais toutes les pratiques, pimentées par vos belles photos et vos récits croustillants. Que ce soit le candaulisme, les rapports sexy et la sodomie que je ne connaissais pas…

Mais un jour, je me suis fait surprendre dans ma lecture par ma belle-fille. La femme de mon fils, Ilana, a la trentaine, c’est une grande brune très belle. J’étais tranquille dans ma chambre, il était autour de 14 h, et je lisais interstron.ru allongée sur mon lit, à moitié dévêtue en me caressant la chatte et en suçant un gode. Je lisais l’histoire d’une relation entre femmes et ça m’excitait, alors je commençais à m’enfoncer le gode dans la minette, allongée sur le dos, les cuisses écartées, les yeux fermés, et je gémissais. Tout à coup, j’ai senti une autre main tenir la mienne sur le gode et le pousser dans ma fente. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu Ilana plantée au-dessus de moi.

« Alors, on s’amuse bien, belle-maman ? On est une grosse cochonne à ce que je vois ! ». Je me suis relevée, hyper gênée. Rien que d’y penser, mon écriture déraille. « Euh non, Ilana, excuse-moi. » « Ah, en plus vous avez de sacrées lectures et vous aimez les histoires entre femmes ! » « Euh non, pas spécialement. » Elle me maintenait assise sur le lit. J’essayais de cacher ma chatte et mes seins, mais elle me faisait ôter mes mains et prenait un ton autoritaire. « Qu’est-ce qu’il dirait Claude [mon mari], s’il savait tout ça ? » « Non, non, pitié, ne dis rien, je ferai ce que tu veux », ai-je supplié.

« J’espère bien. D’ailleurs, continue ce que tu faisais, c’est un ordre. Jouis ! ». Voyant que j’hésitais, elle a pris le gode et m’a fait mettre sur le dos pour me l’enfoncer tout en le remuant très fort.

Je ne sais pas si c’était le ton où les mots qu’elle prononçait, mais je me suis mise à remuer mon bassin vers le gode en gémissant. « Tu vois, je t’ai dit, une vraie garce comme toi, c’est fait pour jouir ! », a-t-elle triomphé alors que j’avais un orgasme très fort et me mettais à crier. Quand je me suis remise de mes émotions, Ilana était assise sur le bord du lit et me regardait.

« - Alors, ça fait longtemps que tu te branles comme ça ? .

– Depuis un an et demi. Tu sais, je ne fais rien de mal, je n’ai jamais trompé Claude, mais j’en avais besoin , ai-je répondu.

– Oh, tu as des gros besoins, on va s’en occuper, ne t’inquiète pas.

– Pas un mot, hein, dis ? .

–  Tu m’as dit que tu ferais tout ce que je veux. Bon, rendez-vous demain, même heure, même lieu, OK ?.

- Euh, oui. À demain. »

Toute la nuit, je repensais à elle, à ce qui allait bien pouvoir se passer le lendemain. À 14 h, j’étais dans ma chambre en pantacourt et chemisier. J’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir, puis un bruit dans les escaliers. Mon cœur battait. Elle est entrée, habillée d’un jean moulant, et d’un tee-shirt tout aussi moulant et sans soutien-gorge, si bien que je voyais ses tétons pointés. « Bonjour belle Véra. Mais, tu n’es toujours pas à poil ? Allez, enlève-moi tout ça. » J’enlevais mon chemisier et mon pantacourt. Je gardais ma culotte et mon soutien-gorge. « Tout, j’ai dit. » J’enlevais tout. Elle s’est assise sur le bord du lit et m’a fait défiler devant elle. « Avance, tourne, viens par là. » Je lui tournais le dos. Elle a écarté mes fesses avec ses mains et m’a complimentée sur mon cul avant de se mettre à caresser ma chatte. Je mouillais. « Hum, mais tu es déjà mouillée, ma salope. » Elle a promené son doigt enduit de mouille sur mon œillet. « Tu y as déjà eu droit par ce trou ? Tu verras, tu vas aimer, tu m’en redemanderas. » Elle m’a fait me retourner et poser un pied sur le lit pour que ma chatte soit bien écartée. Elle a mis sa main dessus pour la triturer. « Tu es une vraie garce, je vais pouvoir t’en mettre du lourd. » Elle s’est mise nue, s’est allongée sur le dos et a écarté les cuisses. « D’abord, c’est moi ta maîtresse qui doit jouir en premier. » Elle m’a alors plaquée la tête entre ses cuisses.

J’ai failli m’étouffer. Je suçais son clito, elle avait une chatte magnifique. Elle a joui très fort. Puis elle a sorti un gode-ceinture de son sac. « Je l’ai acheté exprès pour toi, regarde, il te plaît ? ». Il était énorme, je vous jure. Elle se l’est attachée à la taille et m’a fait asseoir au bord du lit. « Allez, suce, garce, et comme il faut. » Je ne pouvais pas le mettre en entier dans ma bouche tellement il était large. « Ah, comme je suis bien membrée hein, on va bien s’amuser ! Dis-moi que tu es une truie, faite pour être souillée. Une truie se fait prendre par-derrière, comme une chienne. »

Puis je me suis mise à quatre pattes. Elle m’a écartée les fesses et a posé son gode à l’entrée de ma fente. « Allez, recule sur mon gode, prends-toi la chatte, salope. Mouillée comme tu es, ça devrait rentrer tout seul. » J’ai eu du mal à le faire rentrer et au bout d’un moment, elle l’a enfoncé presque à fond. Je sentais le gode jusqu’au fond de mon vagin. Elle m’a baisée ainsi environ 15 minutes. J’ai joui deux fois, pendant qu’elle me traitait de tous les noms. Une fois qu’elle en a eu assez, elle m’a fait nettoyer le gode avec la langue tout en me caressant le cul. « La prochaine fois, entraîne-toi, parce que c’est ton cul qui va prendre. »

La semaine suivante, je l’attendais à la maison et elle m’a appelée pour me dire que c’était à moi de venir chez elle. « Tu vas mettre une jupe très courte, pas de culotte, un tee-shirt moulant sans soutien-gorge et des escarpins ! », a ordonné ma maîtresse. Une demi-heure plus tard, je montais dans sa voiture. « Pas mal, dis donc, tu fais vraiment garce comme ça. Relève ta jupe et caresse-toi et remonte ton tee-shirt sous les seins. » Nous sommes arrivées au niveau d’un feu rouge et j’ai interrompu mon geste. « Non, continue, c’est maintenant que les conducteurs peuvent se rincer l’œil. » L’un d’eux était d’ailleurs en train de faire signe à Ilana, qui l’invita à nous suivre. Nous avons arrêté la voiture dans un lieu tranquille en rase campagne et Ilana est allée parler au bonhomme. « Allez, descends, il a envie de se faire du bien », m’a-t-elle ordonné. Elle m’a prise par la main pour me mener à la voiture du gars, qui devait déjà avoir sorti l’attirail. « Allez, suce-le et bien. » Je l’ai pris en bouche, il avait une odeur d’urine. Ilana m’appuyait sur la tête :

« - Tu aimes ça, hein, belle-maman ?

- Ah mais c’est votre belle-mère ? En tout cas, elle se débrouille bien, je crois que je vais juter…,

- Oui, vas-y, remplis-lui la bouche à cette garce ! Et le jus m’inonda le gosier. »

Puis nous avons repris la route. Une fois arrivées chez elle, nous sommes montées dans sa chambre et elle m’a forcée à la faire jouir comme la dernière fois, avant de « s’harnacher ». Je lui ai demandé d’aller doucement. « C’est moi qui décide ! J’espère que tu as préparé ton cul. » Elle m’a fait me retourner et a mis du gel sur le gode et mon anus, avant de m’enculer pendant une demi-heure. Elle s’amusait à écarter mes fesses. Je ne sentais plus mon anus, un vrai chou-fleur. « Oh putain, si tu voyais la foufe que tu as, tu vas vraiment pouvoir prendre des queues de malade. » Voilà, désormais j’attends qu’elle me livre à des queues !

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