Expériences avec ma maîtresse

La rédaction 7 avril 2020

Thierry, 50ans.

Bonjour les interstron.ruistes, nous sommes un couple de quinquagénaires du Sud-Ouest de la France et nous voulons partager avec vous une partie de nos ébats. Dans notre couple, mon épouse est dominatrice et c’est avec son accord que je vous narre notre dernière séance.

Un soir, alors que je m’apprêtais à débaucher, j’ai reçu un SMS de ma maîtresse me demandant de faire des courses pour un apéritif dînatoire, ce que j’ai fait avant même de me rendre à notre domicile. Le SMS suivant me décrivait le déroulement de la soirée. En rentrant, je devais me rendre dans la salle d’eau pour me dévêtir afin d’être au service de ma maîtresse.

Lorsque je suis arrivé, elle m’attendait, allongée sur le sofa dans son plus simple appareil. Je l’ai approchée pour l’embrasser, tandis qu’elle passait ses mains sur mon sexe afin de mesurer mon excitation. Elle m’a ordonné d’aller me déshabiller. Lorsque je suis revenue auprès d’elle, elle a brandi mon sexe à pleine main faisant des commentaires humiliants, mécontente de sa taille. Elle m’a ordonné aussi de lécher ses pieds, ce que j’ai fait sans plus attendre à genoux devant elle. Après ça, elle s’est levée et j’ai dû nettoyer avec ma langue l’assise du canapé souillée de sa cyprine, toujours à genoux. Tandis que je m’appliquais à la tâche, ma maîtresse s’était munie de gants en latex, de gel, d’une cravache et d’un paddle. Je savais ce qui m’attendait à la vue de tout cet attirail. Je l’avais déshonorée en ne lui présentant pas ce qu’elle attendait. Elle m’a fait me mettre à quatre pattes, et a commencé à me fouetter tour à tour avec la cravache et le paddle en me traitant d’esclave, de petite salope. Les coups étaient cinglants et je n’avais pas le droit de serrer les jambes, sans quoi mon sexe était soumis à rude épreuve : je recevais les mêmes coups qu’elle m’infligeait sur le cul.

Une fois mes fesses rougies et douloureuses, elle a enfilé un gant en latex et pris le gel pour enduire mon anus et commencer le travail de dilatation anale. Elle a attaqué avec un doigt et très vite, un deuxième, puis un troisième. Les va-et-vient étaient profonds, intenses, de même que les mots de ma dominatrice qui m’appelait son « garage à bites ». Mais je reconnais que j’aime lorsqu’elle me traite de la sorte… Quand elle a eu fini de travailler mon cul, elle a voulu que je lape sa mouille directement à la source. Une fois son sexe bien nettoyé par ma langue et que ma maîtresse a eu bien joui, je suis allé préparer l’apéritif dînatoire pour la servir comme il se doit.

Le lendemain, elle a voulu que je porte un anneau, ainsi qu’une cage avec, à son bout, une petite boule s’insérant dans l’urètre. J’ai dû garder ces gadgets toute la journée en signe d’appartenance à ma dominatrice. Parfois, ma maîtresse me fait aussi porter un rosebud et lorsque je ne suis vraiment pas un bon esclave à ses yeux, elle s’équipe d’un gode ceinture et me chevauche profondément tout en me claquant le cul pour me rappeler mon statut de soumis.

Actuellement, elle travaille ma queue pour la rendre plus endurante. Elle veut que je l’honore mieux. Elle tire sur ma peau de ses doigts experts pour bien décalotter ma tige. Elle se plaît également à serrer et faire coulisser mon frein entre ses dents. Ce mélange de plaisir et de douleur me rend fou et totalement dépendant de ma dominatrice. Si je suis au bord de l’éjaculation, elle me demande de compter à voix haute avec elle pour tester mon endurance tandis qu’elle continue de caresser mon sexe. Je n’ai en aucun cas intérêt à faire tomber une goutte de sperme sur ses doigts, car je suis prévenu, c’est sentence immédiate : je dois sucer ses doigts et sans contester surtout. À ce jour, cela fait déjà trois semaines que ma maîtresse m’interdit d’éjaculer et je la remercie chaque jour du chemin parcouru grâce à sa persévérance et son exigence sans faille.

Si vous hésitez encore à vous dévoiler auprès de votre épouse, alors que ces pratiques sont un fantasme, osez passer le cap ! Le jeu en vaut la chandelle et ça ne reste vraiment qu’un jeu.

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Anita à la plage

« Elle m’a dit qu’elle voulait mon sexe dans sa bouche. Je me suis allongé sur le dos, les jambes ouvertes. Elle s’est mise à quatre pattes au-dessus de moi, en sens inverse. Elle m’a empoigné le sexe d’une manière efficace et déterminée. Anita m’a redonné la vigueur de mes vingt ans ! Elle y allait un peu fort… Si fort que j’ai pensé ne pas pouvoir me retenir très longtemps ! » André, 59 ans.

Les charmes de l’auto-stop

« Très excité, je pointai mon gland encore gluant vers sa chatte baveuse, mais elle voulut d’abord que je la lèche avant de la pénétrer. Je glissai donc deux doigts dans sa fente et ma langue commença à s’agiter fiévreusement sur son clitoris et dans son vagin. Dodelinant de la tête, elle se trémoussait de plaisir. Quelques minutes après, elle poussa un très long gémissement et elle m’invita à  la pénétrer tout de go. » Luke,40 ans.


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