Plaisirs en vue
20 février 2020Francis, 49 ans
Le premier ou le quinze du mois, Claire et moi attendons toujours la sortie de notre revue préférée avec pas mal d’impatience. Merci à ceux qui ont aimé notre courrier paru dans le numéro d’août dernier [ndlr: interstron.ru n° 251, août 2009, « Sucer la glace« ].
Cette fois-là, je m’étais arrangé pour que cela soit mon tour d’aller au kiosque acheter interstron.ru. Claire tartinait ses biscottes quand j’ai jeté négligemment le magazine sur la table. La découverte de notre courrier, mais aussi d’une superbe photo (ouvrant le dossier sur les fantasmes des Françaises) où une jeune femme arborait un gode-ceinture transparent à peine visible, car déjà bien enfoncé dans un derrière masculin tendu vers elle, lui a arraché un cri d’enthousiasme pas du tout forcé.
Aussitôt, j’ai plongé mes mains à l’intérieur de sa robe de chambre, vers ses seins que j’ai entièrement dénudés, tandis que ma langue cherchait la sienne. Nos bouches se sont collées. Les aréoles épanouies de ma chérie entouraient ses tétons érigés. Puis, elle a lu l’article et notre aventure. Elle revivait ce matin où, munie d’un double phallus, une bite dans son fourreau et une queue dressée dans mon cul, elle s’apprêtait à jouir une première fois.
Elle lisait toujours lorsque je me suis mis à genoux, et j’ai vu que la culotte blanche qu’elle portait était déjà humide avec l’empreinte de la mouille bien visible… Vous devinez le reste! [ndlr: on aurait bien aimé que vous nous le racontiez quand même !]
Les saisons ont passé depuis. Le mois dernier, nous avons installé un grand miroir juste en face de notre lit. Sans idée spéciale derrière la tête. Un soir, alors que je faisais ma toilette, nu, Claire a frappé à la porte. Je lui ai crié qu’elle pouvait entrer, lui demandant ce qu’elle voulait. « Rien de spécial« , puis elle s’est blottie contre mon dos. Ses seins pointaient à travers le T-shirt. « Je vais t’aider« , a-t-elle ajouté, avant que j’aie pu me tourner vers elle ou lui dire quelque chose.
Elle a pris la savonnette, l’a trempée dans l’eau, l’a fait mousser dans ses mains. Elle a ensuite entrepris de laver d’une main mon pubis, ma queue et mes testicules, et de l’autre, mes fesses et ma raie, me chatouillant l’anus. Mon érection semblait la réjouir. Elle a plongé ma queue dans le lavabo, rincé mes couilles, essuyé mon cul avec un gant de toilette. Puis elle a saisi une serviette pour me sécher en palpant ma verge et mes testicules.
C’est alors qu’elle m’a attiré vers elle par la queue et m’a invité à la suivre dans notre chambre, ne me lâchant pas la bite, tandis qu’elle me demandait de la dévêtir. Alors que, pour plaisanter, je lui disais « Bonne nuit !« , elle m’a caressé les seins et m’a susurré à l’oreille qu’avant d’éteindre la lumière, nous pourrions prendre le temps « de voir si le miroir marchait« .
Claire a alors disposé un oreiller au bout du lit, s’est agenouillée, a écarté les cuisses. Face au miroir, elle a caressé sa toison et glissé un doigt entre les lèvres de sa chatte. Derrière elle, je voyais le reflet de ma bite raide. Claire m’a demandé de la lui mettre dans le minou. Tous les deux, nous ne soupçonnions pas le plaisir que c’était de se voir en train de baiser. Ma queue se faufilait entre les poils de sa toison, sortant, entrant. Je me suis arrêté et retiré pour ne pas jouir trop vite.
Claire, elle, a enfoncé deux doigts dans sa chatte, puis dans son anus qu’elle a humecté. Elle m’a lancé: « Encule-moi ! » et de sa main, elle a dirigé ma queue dans son petit trou. Elle haletait en s’enfournant ma bite. Tous les deux, nous nous regardions faire dans le miroir. Après quelques va-et-vient, elle m’a demandé de sortir de son cul et de retourner dans sa chatte, endroit où elle jouit le mieux car, si Claire aime la sodomie, rien pour elle n’égale sa chatte, lieu de toutes ses extases.Puis j’ai pris sa place…
Elle a sorti son double gode rose, m’a lubrifié le trou du cul, s’est enfoncé une extrémité et a entrepris de m’attraper le cul avec ardeur. Nous avons continué ainsi, finissant par ses seins, qu’une nouvelle fois je lui ai demandé de passer dans ma raie, ses tétons pénétrant mon anus. Nous avons ainsi passé le stade du miroir, sans avoir imaginé que cela pouvait être si bon. Nous envisageons d’en disposer un autre, face au premier, et incliné, de façon à pouvoir mieux nous mater, et sous tous les angles, avec de nouveaux plaisirs en vue.
(Image à la une : Getty Images)
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