Pompe, pompe, pidou !

La rédaction 12 avril 2019

Élodie, 28 ans, serveuse.

Hello, c’est Élodie. Je travaille dans un fast-food dans le nord de la France où le thème est le cinéma hollywoodien. Le resto ressemble à un décor de studio et les équipes sont costumées, ce qui amusent beaucoup les clients. Et leur donne parfois des idées assez coquines.

Mon rôle le plus fréquent : Marilyn Monroe. Je suis blonde, bien faite et pas coincée pour un sou, alors le manager me fait régulièrement enfiler la robe blanche mythique. Toutes les demi-heures, je me place sur une grille qui souffle de l’air et je fais le show à la clientèle en prenant des poses de starlette. J’adore, d’autant que l’an dernier, un beau gosse qui mangeait là tout seul m’a fait du rentre-dedans en commandant son dessert.

« C’est la première fois que je viens et je suis sous le charme, m’a-t-il dit. Si vous avez quelques minutes pour faire un break, on pourrait peut-être parler un peu ? » Il était brun avec les yeux bleus, du genre quinqua qui s’entretient. Un blouson en cuir, de jolies mains, et puis une fossette au menton craquante. J’ai regardé autour de nous : pas de manager à l’horizon et pas masse de clients non plus. Les collègues s’en sortiraient bien sans moi. J’ai lancé : « Je descends aux vestiaires du staff. Rejoignez-moi dans trois minutes. »

J’ai dévalé les escaliers vers le sous-sol le cœur battant et je me suis engouffrée dans la salle où le personnel se change et prend ses pauses. Vraiment, c’était n’importe quoi : et si mon boss me pinçait ? Et si le type était un malade ? Je commençais à regretter mes paroles quand j’ai entendu la porte du vestiaire qui claquait.

Le mec était vraiment beau gosse. Plus grand que ce que je pensais, plus costaud aussi. Je m’en suis rendu compte quand il m’a soulevée en un clin d’œil et m’a posée sur le comptoir. Quand il a remonté ma jupe, j’ai senti mon estomac faire un looping. Déjà, il écartait les pans de ma robe et libérait mes seins. Il les a palpés lentement en me regardant droit dans les yeux. Je sentais mes tétons durcir et sa langue venir les titiller, ses mains me malaxant toujours.

J’ai basculé la tête en arrière et je me suis laissé aller. Après s’être occupées de mes loches, ses mains chaudes ont écarté mes cuisses, qu’il a embrassées, remontant jusqu’à ma chatte. Sa langue douce s’est attardée entre mes lèvres, m’arrachant des soupirs de plaisir. Quand il est remonté, je tremblais.

Mon bel inconnu a reculé de quelques pas, admirant ma vulve trempée de mouille. Lentement, je l’ai vu détacher sa ceinture et ouvrir son jean, puis sortir une énorme queue qui luisait d’excitation. Comme hypnotisée, je suis descendue de mon perchoir et me suis mise à ses pieds. La bouche entrouverte, je l’ai laissé se branler doucement face à ma bouche, fermant les yeux et imaginant déjà cette bite splendide me faire reluire les amygdales…

Il s’est touché pendant de longues minutes, en me regardant fixement, pendant que je tirais la langue et que je me léchais les lèvres comme une gourmande. Jamais je n’avais été aussi excitée par l’attente et le fait de voir un homme tenter de me résister. Jouant avec ma grosse poitrine, poussant des soupirs de chienne, j’ai fini par le faire craquer. Dans un grognement, il a enfin planté sa verge humide dans ma bouche, enfouissant ensuite ses mains dans mes boucles blondes et me forçant à l’avaler entièrement. Je l’ai pompé à fond, aspirant comme si je voulais faire monter le sperme moi-même. Massant ses burnes, je me suis même aventurée du côté de son anus, le caressant délicatement. J’ai bien senti qu’il n’était pas très à l’aise au début mais j’ai si bien manœuvré que j’ai fini par lui faire accepter mon index que j’ai planté entre ses fesses, pendant que ma langue s’enroulait comme un serpent autour de son dard.

Je l’ai senti monter encore et encore, ses coups de reins s’accéléraient, ma bouche se retrouvait baisée par un parfait inconnu sur mon lieu de travail… Quand il a joui, j’ai avalé chaque giclée de foutre épais pendant qu’il poussait des jurons obscènes. J’étais sa suceuse, sa putain, et je prenais un maximum de plaisir à ça.

Nous nous sommes revus deux fois, au restaurant puis chez lui. Il m’a confessé être marié et j’ai préféré couper court avant de trop m’attacher. Mais avant ça, je me suis changée en chienne encore une fois : moulée dans une robe sexy en diable, j’ai rampé, sucé, doigté et subi ses coups de butoir pour qu’il ne m’oublie jamais. Et je suis certaine que certains soirs, alors qu’il est avec son officielle, il pense encore à sa sexy Marilyn.

(Photo à la une : Getty Images)

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Le parc d’attrape-fion
« Mon costume de petit elfe coquin rendait fou les gens qui venaient visiter le parc : les enfants trouvaient que j’étais pareille que le personnage de leur dessin animé préféré, les mamans me trouvaient trop mignonne, et les papas, eux, avaient plutôt envie de sauter la petite fée. Un beau jour, je me suis laissé tenter par un visiteur. » Myriam.

Légumes fruités
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