Une première nuit inoubliable
13 septembre 2024Rania, 33 ans de Montpellier rencontre son copain un soir à l’hôtel. Elle raconte leur premier rendez-vous et surtout leur première nuit.
Une chevelure noire et opulente, des tatouages ésotériques et de l’or peint sur mes ongles, voilà mes attributs de reine du sexe. Mes origines méditerranéennes sautent aux yeux et c’est ce qui a plu à Axel, mon petit copain du moment avec lequel j’ai partagé cette histoire de sexe. Nous nous sommes croisés un soir dans un hôtel à Reims, ma journée avait été longue avec beaucoup de route, il m’a proposé un cocktail, j’ai accepté, tout comme un dernier verre dans sa chambre et enfin un massage.
Photos et fellation
J’avais envie desexe, il avait envie de moi, j’ai senti ses mains glisser sous mon tailleur et effleurer mes seins, je n’ai rien dit lorsqu’il a recommencé, j’ai tourné la tête pour l’embrasser et j’ai déboutonné ma veste. Mes orbes de chair se sont retrouvés prisonniers de ses paumes, il a chuchoté un « Wouah » et nous nous sommes déshabillés mutuellement. Le deuxième cri de surprise est advenu lorsqu’il a découvert mes cuisses ornées d’entrelacs aux encres multicolores, avant qu’il ne plonge sa tête entre mes fesses. Je les tenais écartées afin qu’il ait le champ libre pour me faire absolument ce qu’il voulait là où il le voulait. Axel a commencé par me laper le trou du cul. Il avait touché mon point faible du premier coup, même si l’invite était on ne peut plus claire ! Je l’ai senti se déconcentrer un moment. J’ai jeté un coup d’œil derrière moi, il était en train de se saisir de son téléphone et m’a demandé s’il pouvait me prendre en photo.
Pour toute réponse j’ai de nouveau écarté ma croupe et j’ai poussé sur mon anus et mon périnée afin de faire saillir mes orifices d’amour. Constatant que je n’étais pas farouche côté prise de vue, il a abandonné ma lune et m’a alors proposé sa belle et longue queue à sucer. Mes seins le subjuguaient, ils font souvent cela à mes amants, bien ronds, charnus, très fermes et cent pour cent naturels, ils sont pour moi une source de plaisir extrême. Il les a pelotés, pincés gentiment, caressés tout au long de ma fellation. Sa bite était une vraie gageure à avaler tout entière, d’ailleurs je n’y suis parvenue qu’au prix d’intenses efforts. Cela dit, le jeu en valait la chandelle, d’abord je me trouve sexy sur ces clichés avec sa baguette entre les lèvres et, de son côté, il a gémi et a failli jouir dans ma bouche à deux reprises.
Première nuit très chaude
Le mâle est ensuite entré en action. Que c’est bon d’être entre les mains d’un homme qui sait ce qu’il veut, qui dirige, tout en vous respectant ! Il m’a prise à bras le corps et m’a installée sur le dos, m’a incitée à replier mes cuisses afin d’ouvrir le chemin de ma chatte glabre. Puis il a laissé sa longue tige faire le reste. Tout d’abord il l’a fait coulisser le long de ma fente, j’étais déjà mouillée, mais son va-et-vient au fil de mon sillon m’a liquéfiée. S’introduire en moi a été alors un jeu d’enfant, j’étais lubrifiée jusqu’au trou du cul. Il a poussé d’un coup sur ses reins et sa queue a pénétré profondément. J’ai senti ses bourses dures taper contre ma raie et il s’est mis à me limer dans un rythme lent, mais digne d’un métronome. Sa régularité m’a portée aux nues en quelques aller-retour seulement. Soit, j’avais très envie de me faire baiser ce soir-là, mais tout de même, je suis plutôt du style « peine à jouir ».
Après cette excellente introduction, Axel m’a retournée sur le matelas moelleux, il avait de nouveau en face de lui mon derrière aux formes idéales. Il a massé mes globes fermement, cela m’a déclenché des frissons dans tout le corps. Je l’imaginais en train de détailler jusqu’à la plus infime intimité de mon anatomie, de la prendre en photo et j’ai coulé encore davantage. Il a vu ma cyprine dégouliner de mon con en un filet continu, il m’a doigtée par devant et son pouce a malaxé ma rondelle avant de s’y insérer avec beaucoup de douceur. Il m’a ordonné de redresser un peu mon cul et de cambrer les reins. Je me suis exécutée et là, il m’a baisée avec la force d’un ouragan. Son pieu sortait et entrait dans mon vagin comme une machine, impitoyable, saccadée et virulente. Mon anus a de nouveau été investi et j’ai eu l’orgasme de ma vie. Ce type savait vraiment y faire. Il m’a fait jouir trois ou quatre fois avant de me demander s’il pouvait éjaculer en moi, j’ai répondu que je n’attendais que cela et que, s’il le voulait, il pouvait m’enculer. Il a enfin lâché son portable et m’a sodomisée en profondeur non sans m’avoir gratifiée d’une longue feuille de rose pour détendre mon petit sphincter. Il a giclé dans mon rectum, son sexe entièrement planté dans mon étroit fourreau, en grognant et en me malaxant les seins. Depuis cette séance inoubliable, nous ne nous sommes plus quittés.
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