Premières étreintes

La rédaction 1 février 2020

Circé, 21 ans

C’est la première fois que je me décide à vous écrire. Ronan et moi, nous nous sommes mis à faire des clichés porno de nous deux, et j’ai vraiment envie de les voir publiés dans interstron.ru. J’ai hâte de voir sa tête quand il les découvrira !

Nous nous sommes connus il y a six mois. J’étais en stage de communication, et lui en informatique de gestion. Dans notre centre de formation, nous avions le cours de français en commun. Nous avons très vite été attirés l’un par l’autre. Depuis le début de l’année, nous nous arrangions pour nous retrouver assis côte à côte.
Semaine après semaine, nous nous sommes rapprochés, jusqu’au jour où j’ai osé l’embrasser. Mais notre premier contact vraiment charnel, ce fut pendant ce cours de français. Nous n’étions pas très attentifs. Il faut dire que notre prof, que l’on appelait « le vieux » (il avait dépassé l’âge de la retraite) était particulièrement désagréable, avec sa mâchoire prognathe, son nez aplati et sa voix nasillarde. En plus, il nous infligeait souvent son haleine pestilentielle. Ronan et moi avions trouvé la parade, en nous installant tout le temps au dernier rang.

C’est pendant un cours sur l’accord des participes passés que j’ai posé une main sur la bosse du pantalon de Ronan. Cette éminence a bien sûr rapidement doublé de volume, et comme personne ne nous voyait, j’ai même poussé l’audace jusqu’à ouvrir sa braguette et glisser ma main dans son slip. Il bandait comme un cerf. J’ai senti, au bout de son gland, une goutte de liquide visqueux qui perlait. Il m’a dit d’une voix grave : « Ce week-end, ma chérie, tu la sentiras en toi… » Cette phrase m’a fait immédiatement mouiller comme une fontaine. Dès lors, il m’a été impossible de retenir une seule des ennuyeuses paroles du vieux…

Puis, le grand soir est enfin arrivé ! Il m’a invitée au restaurant, et nous sommes allés chez lui. À peine entré, il m’a prise dans ses bras, m’a embrassée fougueusement et m’a littéralement jetée sur son canapé-lit. Ses lèvres se sont à nouveau emparées des miennes, pendant qu’il enfouissait ses doigts dans mes cheveux. Mon corps brûlait de l’intérieur, je sentais mon bas-ventre se contracter. Il a déboutonné mon chemisier de ses doigts glacés et tremblants, pour prendre mes tétons dans sa bouche. Je ne contrôlais plus mes émotions. Il a dégrafé mon soutien-gorge à balconnets et libéré mes seins lourds. Moi, j’essayais d’attraper sa ceinture pour en défaire la boucle. Mais il a plaqué mes deux mains contre le matelas, en me glissant : « Laisse-moi faire. Ce soir, c’est moi qui m’occupe de toi. » Ses intonations viriles et autoritaires de mâle en rut m’ont fait mouiller encore plus.

Mes jambes tremblaient. Il a enlevé ma culotte, et s’est précipité sur ma chatte pour littéralement la dévorer ! Il s’en est délecté un long moment. J’ai eu un premier orgasme, et comme juste après je ne supporte plus le moindre contact d’une langue sur mon clito, je lui ai demandé de me bouffer le cul. Il s’est exécuté avec plaisir, me reniflant l’arrière-train comme un animal, pour ensuite me lécher l’anus. J’ai caressé mes seins et pincé mes tétons, tout en profitant de sa langue entre mes fesses. Je n’en pouvais plus, je le voulais en moi, je voulais qu’il me prenne, je gémissais de plus en plus fort. Soudain, il s’est levé pour se déshabiller complètement, faisant voler ses vêtements dans la pièce. Il est revenu vers moi en approchant sa queue de mon visage. Mmmh, ce gland gonflé et violacé, comme une grosse prune bien mûre, j’en avais l’eau à la bouche ! J’ai sucé Ronan goulûment, en essayant de le prendre le plus loin possible, jusqu’au fond de ma gorge. J’ai empoigné ses fesses pour les malaxer et les écarter. Je tentais d’approcher le bout de mes doigts de son petit trou, pour savoir s’il était sensible de ce côté-là ! Il a retiré mes mains, prétextant que ça l’excitait trop (depuis, je ne lui fais jamais une pipe sans lui mettre un doigt dans le cul) ! Je gémissais de plus en plus fort, en faisant bien vibrer mes lèvres, pour qu’il ressente dans sa queue toutes les vibrations de ma bouche.

Il est allé chercher un préservatif et, une fois revenu, il a enfourné à nouveau sa bite dans ma bouche. J’ai continué à le sucer pendant qu’il déchirait l’emballage. Il a enfilé sa capote, et m’a allongée sur le dos, m’a saisie aux chevilles et m’a écarté les jambes au maximum, en « grand écart facial » ! Heureusement que j’ai des années de danse derrière moi ! Il a alors alterné pilonnage intensif et coups de reins langoureux. Puis, sentant que j’étais bien partie pour mon deuxième orgasme, il a voulu me baiser autrement. Il m’a harponnée par-derrière et s’est agrippé à la peau de mes hanches (aïe !). C’est comme ça qu’il voulait achever nos ébats… À force de coups de reins et de claques sur les fesses, nous avons joui ensemble, au même moment, dans un râle interminable… C’était notre première fois.

J’ai essayé de rendre ce récit vivant, j’espère vraiment qu’il vous a plu. Bisous à toute la rédaction.

(Image à la une : Getty Images)

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  • Philippe Chabrol

    Ce récit était charmant. Merci !

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