Prise en coulisses
10 février 2021Lors d’un plateaux télé, Géraldine 61 ans est toute émoustillée par son maquilleur qui finira par gouter son petit minou dans sa loge.
Je suis une chercheuse de 61 ans, dans un domaine souvent débattu médiatiquement et il m’arrive de faire des plateaux télé de temps en temps. On m’a dit que l’on m’invitait d’autant plus facilement que j’étais télégénique et sexy pour mon âge… Cette épreuve des caméras a tendance à beaucoup me stresser, mais j’ai trouvé récemment une recette efficace à mon anxiété. Aujourd’hui je vais vous raconter mon histoire de sexe.
Je me trouvais en coulisses d’une émission, car j’étais arrivée très en avance, à patienter dans une petite loge fermée pour qu’on vienne s’occuper de moi. Je me regardais dans le miroir : mes cheveux teints en blonds, mes seins toujours en forme, ma taille fine… Là, le maquilleur est entré dans la pièce. Son visage m’était familier. Surprise : c’était un de mes anciens flirts de l’époque de la fac, Hakim ! Waouh, je ne savais pas qu’il s’était reconverti dans le maquillage… Cela dit, à l’époque, il étudiait la mode. Il était habillé en noir, ses beaux cheveux désormais poivre et sel rabattus vers l’arrière.
Il avait 57 ans, avait fait carrière dans les défilés de mode et donnait parfois un coup de main à cette émission de télé pour remplacer une collègue. Incroyable ! J’étais contente de le croiser et cela me distrayait de pouvoir parler avec lui avant d’entrer dans l’arène du plateau. Tout en discutant de notre jeunesse, il s’est mis à s’occuper de mon visage. Il a passé une éponge de fond de teint sur ma peau, une brosse fine sur mes sourcils et un pinceau délicat sur mes paupières. Je me détendais. J’adorais la sensation de ces poils soyeux sur mon visage et cela créait de légers frissons le long de ma colonne vertébrale. C’était même érotique, cette proximité avec quelqu’un que j’avais connu intimement.
A un moment, Hakim a fait allusion à notre aventure passée et mes frissons se sont accentués. On a évoqué le “bon vieux temps”, quand on se sentait libres et quand rien ne nous attachait – nous étions désormais tous les deux mariés.
J’ai avoué à Hakim que j’étais très stressée par ce plateau et je lui ai demandé si l’émission ne proposait pas des choses pour les anxieuses comme moi : champagne ? “J’ai mieux”, a soufflé Hakim dans mon oreille en déposant un baiser sur ma joue pleine de poudre. “Tu es toujours aussi belle qu’à l’époque.” C’était un baiser comme un point d’interrogation. Et la réponse a été que mon corps s’est soulevé de désir, faisant resurgir du passé des souvenirs enfouis d’après-midis entiers à faire l’amour, lovée contre sa peau brune et soyeuse. J’ai tourné le visage vers lui et nous nous sommes embrassés avec la même passion que quarante ans plus tôt. Ce baiser était d’une intensité fulgurante et je m’abandonnais à ses bras dans l’espoir d’y trouver de la détente et une exaltation qui me manquait en ce début d’hiver maussade…
Penché sur moi, Hakim a glissé une main sous ma jupe, entre mes cuisses, pour me caresser délicatement. Il était doux et attentif. J’ai serré les jambes pour qu’il enfonce ses doigts en moi, sous mon string. J’ai jeté un regard au miroir : nos lèvres étaient soudées, notre désir nous rendait beaux. Je me suis vue haletante comme quand j’avais 20 ans.
Il a exploré ma vulve et je sentais le nectar de mon plaisir couler de ma fente, tandis que nos salives se mêlaient l’une à l’autre. Je me suis levée pour l’enlacer, puis me pencher contre la table où était posé le miroir en face de moi. J’ai soulevé ma jupe, découvrant mes fesses qui devaient avoir changé depuis tout ce temps, mais Hakim s’y est jeté tout aussi goulûment qu’à l’époque. Il léchait ma chatte par-derrière tout en entourant mes hanches de ses bras pour venir caresser mon sexe de l’autre côté de mon corps. J’ai posé un genou sur la table. Je me retenais de ne pas gémir et j’espérais que le coiffeur n’allait pas se pointer. Hakim s’est redressé et m’a prise par-derrière contre la table qui s’est mise à grincer. Sa queue en moi m’a encore rappelé de beaux moments ! J’avais l’impression que nos corps se reconnaissaient et je l’ai serré en moi le plus fort possible en jouant avec les muscles de mon périnée. Je sentais sa bite battre mon vagin et la chaleur du plaisir qui m’envahissait était inouïe. Je me sentais plus forte et cela boostait ma confiance en moi : j’étais prête à affronter le plateau ! A 57 ans, mon amant avait toujours une grande vitalité et nos sexes semblaient toujours aussi compatibles !
Son corps puissant était dans mon dos et me pressait de ses ardeurs, mon cul battait le rythme contre lui, sa bite me possédait, ses mains étaient sous ma chemise et m’agrippaient les seins et, dans le miroir, nos visages étaient transformés par l’ivresse du sexe… En me prenant de la sorte, il m’a fait jouir et a étouffé mon cri avec sa main parfumée par les produits de beauté, pendant que lui aussi giclait en moi… Autant vous dire qu’il a dû faire quelques raccords de maquillage après ça !
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