Le gros pinceau de mon modèle

La rédaction 31 décembre 2020

Tout juste admise en école d’art, Aurélie travaille son coup de pinceau avec Victor, le fils du nouveau petit ami de sa mère. Bien plus focalisée sur le pinceau de son modèle que sur celui qu’elle tient entre ses mains, Aurélie va délaisser l’art pictural pour l’art anal, bien plus jouissif.

Je venais tout juste d’entrer dans l’école de mes rêves. Je suis une jeune artiste plasticienne et je voulais compléter ma formation avec un enseignement pour me perfectionner en peinture. Comme dans toute école d’arts plastiques qui se respecte, nous avions des cours de dessin d’après modèle vivant et notamment avec des modèles de nu, pour s’entraîner à représenter l’anatomie humaine. Sauf qu’avec le Covid, nous avions moins de cours collectifs et j’avais donc moins d’occasions pour m’entraîner.

J’en ai parlé un soir, alors que nous dînions avec ma mère, son nouveau compagnon et le fils de ce dernier, Victor, un garçon de 24 ans comme moi. Nous nous entendons bien tous les deux. Lors du dîner, il a lancé : « Moi je veux bien te servir de modèle ! » Tout le monde était amusé et un peu gêné, y compris moi. Mais j’y ai réfléchi. Pour moi, il était une sorte de frère, objet d’interdits, intriguant.

Cependant, ce serait l’occasion de mieux le connaître. Surtout qu’il était beau comme un dieu et que son corps plein d’attraits ferait un excellent modèle sur lequel m’entraîner !

Quelques jours plus tard, je l’ai appelé pour lui demander s’il serait réellement d’accord pour poser pour moi. Il a ri au téléphone et, voyant que je ne plaisantais pas, il a fini par accepter du bout des lèvres. Il était intimidé, et moi aussi. Mais je ne voulais pas annuler.

Victor s’est présenté chez moi. Je lui ai proposé de s’installer directement sur le canapé pour ne pas laisser la gêne s’installer. Il est allé se déshabiller dans la cuisine et en est revenu avec un plaid en guise de pagne. Il s’est installé et a pris une pose amusante, main sous le menton, jambe repliée, dans une attitude lascive.

J’adorais son second degré ! Victor a tenu la pose, étendu sur le cuir. J’avais beau me concentrer sur ma toile, la situation était très érotique.

Je voyais son corps presque entièrement nu s’offrir à ma contemplation d’artiste et de femme. Son torse fin et plaisant, sa tête blonde aux airs alanguis, ses jolis jambes.

Quel beau modèle j’avais là ! De temps à autre, il jetait un œil dans ma direction et nos regards se croisaient. Je rougissais. « Alors, comment je suis comme modèle, madame la peintre ? » « Tu es parfait », j’ai répondu, osant ajouter : « Mais l’idéal serait de montrer un peu plus de nudité, comme au cours. » C’est alors que Victor a baissé la couverture recouvrant sa queue, que j’avais cru discerner parmi les plis du tissu. Son engin a jailli et – Whaouh ! – il était bien pourvu, avec une belle épaisseur dodue qui se dressait, bien bandée, dans sa main.

La tension était à son comble. J’en suis restée bouche bée, mon pinceau suspendu dans les airs. Victor s’est un peu branlé tout en me défiant du regard. « C’est mieux comme ça ? » « Oui », ai-je lâché dans un souffle.

J’avais le feu aux joues et je me sentais irrésistiblement attirée par ce sexe qui avait surgi entre nous. « Tu veux le voir de plus près pour mieux le peindre ? » J’ai hésité. J’en avais super envie, il avait réussi à susciter mon désir en quelques secondes… Mais quelles conséquences cela pourrait avoir ?

J’ai décidé de mettre mes réticences de côté pour m’approcher. Il était nu, étendu sur le canapé, la bite tendue. J’ai passé mon pinceau sur sa queue, qui a tressailli. Puis j’ai tendu la main pour en sentir toute l’épaisseur, pour toucher cette chair que j’avais peinte et que voulais sentir pour de vrai.

Il était gonflé et droit dans ma main. Ça me donnait chaud ! J’abandonnais toute velléité artistique pour m’adonner au désir qui était né de ce tableau charnel. Je me suis accroupie pour prendre Victor dans ma bouche.

Sa bite est passée entre mes lèvres et j’aimais sentir sa peau délicate sur ma langue, tous les petits détails que je goûtais avec curiosité au lieu de les peindre. Ça m’excitait de sentir sa belle queue bien dure contre mon palais. Nos corps s’attiraient, je me suis relevée pour être à sa hauteur et nos lèvres se sont unies. Victor a soulevé mon débardeur pour caresser mes seins.

« Moi aussi, je veux sentir ta peau », a-t-il murmuré. Ses doigts habiles titillaient mes tétons, passaient sous ma jupe, étaient dans mes cheveux. Les sensations étaient autrement plus fortes que ma simple observation de peintre ! Mon modèle vivant était encore meilleur en pleine action !

Enflammée par mon désir, je me suis retrouvée à quatre pattes sur le canapé, fesses pointées vers lui, culotte baissée, fente humide exposée, jupe balancée par terre, ayant tout de même gardé mes chaussettes noires qui m’arrivaient à mi-jambe.

Je me sentais sexy et désirable.

Le modèle reprenait le dessus. Victor a plongé dans ma vulve, explorant avec ses doigts l’intérieur de mon sexe, stimulant mon clitoris puis mon vagin en me pénétrant avec deux doigts bien fermes… J’ai tendu le cul encore plus en arrière.

Il a pris mes hanches et a pénétré ma chatte docile… Sa poigne et sa pénétration étaient vigoureuses, et je gémissais sous l’intensité du plaisir qui me prenait aux tripes. Je sentais que son pinceau à lui allait m’apporter des voluptés tout autres que mon art ! Ma chatte tressaillait sous la pression de sa queue et se délectait de la puissance des sensations. Ses mains caressaient ma croupe et ses doigts me préparaient à de nouveaux plaisirs en s’attardant sur mon petit trou… Je n’ai même pas eu le temps de réfléchir que j’étais déjà à la merci de ses caresses.

Mes fesses s’offraient à leur tour à la friction de ses phalanges. À l’aide de sa stimulation digitale et de lubrifiant, il m’a pénétrée par là, provoquant une décharge de plaisir qui m’a terrassée. Je me sentais toute entière contenue dans mon anus, envahie par sa fougue. Ma rosette était un organe vivant, qui s’allumait de plaisir sous sa sodomie toute en puissance et en délicatesse. Il savait exactement comment me prendre sans me faire de mal et susciter ma jouissance.

Il était ma muse et les rôles s’étaient inversés ! J’étais la peintre qui baisait son modèle et qui se faisait elle aussi bien baiser au passage. Pour ce qui était de notre situation familiale, nous verrions plus tard.

Je me suis installée dos à lui, sur le côté, en travers du sofa, et il s’est placé derrière moi, tenant ma jambe fermement droite dans les airs. L’une de ses mains me tenait sous le genou, une autre m’agrippait la nuque.

Mes propres mains caressaient mes seins et mon clito, pendant que sa bite continuait à me pilonner le cul.

Le frottement interne me remplissait de félicité, il me fourrait tellement bien !

Folle de plaisir, je me suis hissée au-dessus de son corps en m’appuyant sur les mains et les pieds, pour continuer à me faire sodomiser tout en m’aidant de mes appuis pour m’empaler plus ou moins fort sur son beau pieu, dont j’espérais toujours que j’aurais l’occasion de le peindre plus tard…

Mon cul était plein de lui, plein de sa vigueur, de l’alchimie qui nous unissait. J’ai encore changé de posture : Victor était désormais assis sur le canapé et moi, à cheval sur lui, sa bite entrant toujours avec une grande fluidité entre mes fesses exaltées… Nos quatre mains étaient sur mon cul et le réchauffaient encore davantage.

J’étais en ébullition. Je frottais mon clito sur son bas-ventre pendant qu’il continuait de me sodomiser, ce balancement entre deux extases a fait naître des étincelles en moi.

Un orgasme immense qui m’a arc-boutée sur lui, tous mes sens en éveil, avec le volcan du plaisir qui éclatait enfin dans une lave de fluides…

Allongée sur le sofa, encore sonnée par le plaisir, mon amant a brandi sa belle verge au-dessus de moi pour éjaculer sur mon visage, ravi.

Les volutes visqueuses de son sperme ont recouvert mes traits et mes yeux se régalaient du spectacle de son oiseau qui crachait cette substance de luxure sur moi… Quelle séance de pose mémorable !

Quand il est parti de mon appartement, j’ai peint, avec mes souvenirs, nos deux corps entrelacés.

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