On s’fait un film…

La rédaction 14 août 2025

Lorsque Bastien, le mari d’Alina, lui avait annoncé qu’Hugo venait chez eux pour une soirée « film culte », elle avait déjà un air renfrogné, mais en découvrant que ledit long-métrage était muet et en noir et blanc, elle se mit à faire franchement la moue ! Tout, mais pas ça, maugréa-t-elle dans sa barbe. Mais finalement, elle se reprit très vite ! Elle trouvait Hugo très séduisant et elle avait sa petite idée derrière la tête.

Les garçons s’installèrent bien confortablement dans le grand canapé immaculé de leur salon et Alina opta pour une position stratégique, lovée à même le sol, juste à leurs pieds, un coude nonchalamment en appui sur le genou de son époux, sa main, pile à la bonne distance de la bosse qui semblait déformer le pantalon de leur invité.

Le film commença, entre crépitements des images et panneaux écrits en blanc sur fond noir expliquant les dialogues des protagonistes. Deux minutes plus tard, la blonde au sexe déjà trempé mettait son plan à exécution.

C’est donc vraiment par inadvertance (sic !) qu’elle plaça sa main gauche, en tendant le bras, précisément sur l’entrejambe d’Hugo.

Elle n’eut pas à la caresser longtemps pour sentir la forte érection de la queue qu’elle palpait de plus en plus ostensiblement.

C’est à ce moment que son mari envoya une bourrade à leur hôte, son mouvement de tête indiquant à un Hugo un peu surpris, qu’il pouvait baisser son pantalon. Une fois la chose faite, Alina se jeta sur la belle bite dressée.

Rose tendre, le gland décalotté, les couilles et le pubis rasés, la fellation qui s’en suivit fut un plaisir partagé entre pompeuse et pipé !  Quoi de plus simple, alors, pour Bastien, après avoir copieusement profité du spectacle, que de se lever discrètement et, tout en ôtant son tee-shirt, de relever la jupe en jean de sa coquine moitié, d’écarter son string noir afin d’affranchir sa chatte de toute entrave et de commencer à lui déguster le sexe et le cul ?

L’ambiance devint étrange, l’ordinateur posé sur la table basse continuait à dispenser une musique surannée, tandis que prenait forme un autre style de film sans paroles mettant en scène deux acteurs et une actrice rendus muets par leurs jeux de langue respectifs. Alina se glissa ainsi entre les cuisses musclées d’Hugo afin de se libérer un accès complet à toute son anatomie intime. Son appendice agile s’agitait des couilles à la hampe pour mieux remonter vers la belle fraise qui émettait déjà un miellat salé dont elle se régalait à grand renfort de gémissements.

Entre ses fesses, la langue de son mari, elle, ne perdait pas une goutte de l’élixir d’excitation qui perlait de tout son sillon, ni de la protubérance extravagante que formait désormais son clitoris éveillé. Le chef-d’œuvre du cinquième art était définitivement oublié. Les deux hommes se déshabillèrent entièrement, la jupe d’Alina s’envola et son top fut ramené sur son ventre avant de disparaître, lui aussi, pour le reste de la soirée.

Hugo ne savait plus où il devait donner de la tête ou … de la queue ! Il avait envie de tout. Cette créature, si belle, si libre, s’offrait sans condition, et avec le consentement de son homme, que rêver de mieux… Il enfila sa bite dans la fente trempée, lima le conduit serré quelques instants avant de se raviser et de plonger son visage entre les cuisses ouvertes, impatient de découvrir les saveurs sexuelles de la femme de son meilleur ami.

Cette dernière, quant à elle, semblait déchirée entre sa volonté de sucer son homme pour le remercier d’accepter si facilement de la partager et sa propension à s’abandonner au cunnilingus torride que lui dispensait cet amant opportun.

C’est le second qui l’emporta en premier. Les arabesques et les vibrations sur son bourgeon étaient si appliquées et si diaboliques qu’elle perdit ses esprits et se laissa aller à une jouissance aussi longue qu’intense.

Avoir deux beaux mâles pour elle toute seule était un vieux fantasme, les voir bander pour elle, n’avoir d’yeux que pour elle et tout faire pour satisfaire le moindre de ses désirs l’excitait au plus haut point.

D‘autant plus avec ce duo-là, qui semblait avoir une endurance sans limites et dont les sexes érigés souhaitaient, plus que tout, combler tous ses orifices dans le seul but de la faire jouir encore et encore.

Hugo, sa dégustation finie, replaça son gros chibre dans la chatte palpitante d’Alina tandis que Bastien lui proposait son appétissante paire de couilles à lécher et à happer.

Abandonnée en missionnaire, un pénis au fond de sa petite fente serrée, un autre entre les lèvres, il n’y avait plus qu’à gémir pour encourager les garçons. Cela marcha à merveille.

Son époux lui tritura les mamelons, lui pinça assez fortement les tétons pendant que leur ami relevait les jambes sylphides. Alina adopta cette position rappelant quelque grenouille, cuisses écartelées et vagin totalement disponible. Les coups de reins s’accélérèrent, amples, souples, puissants. Le chibre allait et venait avec frénésie dans le fourreau toujours plus lubrifié par d’abondantes sécrétions intimes.

Les corps s’entrechoquaient avec de plus en plus de violence et d’intensité et le second orgasme féminin de la soirée advint, accompagné d’un long cri de joie et de feulements satisfaits.

Mais la bombe atomique de ce trio entendait bien assouvir toutes ses idées coquines. Son petit trou la chatouillait depuis le début de leurs jeux et c’est en amazone qu’elle décida de passer à l’action.

Hugo n’eut rien à faire, si ce n’est de guider sa colonne afin de la positionner bien à la verticale. Il donna une légère inclinaison à sa tige pour que le gland se retrouve pile devant l’œillet rose et le tour était joué.

Il ne lui restait plus qu’à regarder, ravi, le parfait et ferme fessier d’Alina descendre, descendre, descendre … Alina se fit envahir par le braquemart sans sourciller, sans même marquer une pause. Elle se laissa couler jusqu’à sentir qu’elle avait absorbé toute la longueur de l’engin en elle, le tout sans arrêter de pomper la queue de son homme et de lui faire reluire les bourses à grands coups de langue.

Elle abaissa les paupières et entama de profonds va-et-vient, s’enculant avec une aisance et un plaisir non dissimulés, elle cherchait clairement son troisième orgasme de la soirée.

Bastien s’arracha donc à regret aux bienfaits de sa femme et, tout en se branlant de la main droite, enfila deux doigts de sa main gauche dans le con libre et ouvert. Comme il s’y attendait, sa belle mouillait à mort, sa cyprine dégoulinant le long de ses fesses, aidant ainsi à la lubrification de la sodomie en cours.

Puissant, il accompagnait les mouvements de sa compagne, plantant de plus en plus loin ses phalanges dans la chatte affamée, plaquant sa paume contre le clitoris sensible et gonflé.

Hugo, lui, était concentré sur les seins sublimes de cette créature à la sensualité de feu. Il malaxait ses globes vertigineux, tétait les larges aréoles roses, quand sa bouche n’était pas envahie par la langue d’une Alina malicieuse et avide de baisers pénétrants.

Toutes ces sollicitations ne pouvaient avoir qu’une conclusion. Toute la chair féminine se raidit, les yeux d’Alina se révulsèrent, ses deux orifices se contractèrent avec force … une pause, le temps se suspendit …

les garçons ne bougèrent pas d’un cheveu et le plaisir s’engouffra, telle une immense vague submersive, dans le petit corps secoué de spasmes, un cri de délivrance réussissant à franchir le seuil de ses lèvres.

Toujours aux commandes malgré ce tremblement de terre interne, elle demanda alors aux hommes ce qui leur conviendrait le mieux pour jouir à leur tour en leur proposant de lui faire « ce qu’ils aimaient ».

Bastien choisit son petit trou qu’il n’avait pas encore eu la chance de visiter lors de la soirée et Hugo, de son côté, opta pour une pipe.

C’est de nouveau enculée au plus profond que la déesse aux cheveux d’or reprit le priape bandé d’Hugo au fond de la gorge.

Il ne lui fallut pas longtemps pour venir à bout de ses deux compagnons, ahanant, râlant, leur susurrant des mots crus, leur disant qu’elle était leur belle petite salope et qu’elle voulait boire leur foutre.

Les jets de sperme fusèrent quasi simultanément et la belle Alina reçut les précieux élixirs pour partie dans sa bouche, le reste des semences mêlées dégoulinant sur ses seins opulents.

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La rédaction


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  • Antoine

    « Cette créature, si belle, si libre, s’offrait sans condition, et avec le consentement de son homme, que rêver de mieux? » Belle narration bien illustrée!

  • Antoine

    Huit très belles photos, cette jeune femme est adorable (mais c’est peut-être seulement une actrice X ?)

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