Merci Saint-Sylvestre
15 avril 2015Pour célébrer comme il se doit la nouvelle année, Anna a réservé une surprise de taille à Max, l’homme qui partage sa vie. Un trio de rêve va les tenir en haleine jusqu’au bout de la nuit.
Pour la nouvelle année nous avions décidé de prendre de bonnes résolutions coquines… La sienne était de se raser intégralement le sexe tous les jours. La mienne était plus mystérieuse… « Te surprendre plus souvent », lui avais-je glissé à l’oreille, simplement. C’était le soir de la Saint-Sylvestre et nous devions tous les deux mettre en pratique nos promesses. « Être surpris », c’était la seule chose à laquelle il s’attendait ce soir-là.
Je lui ai attaché les mains avec une corde de bondage que j’avais achetée dans une boutique spécialisée la semaine précédente. J’ai noué ses mains à la tête de lit en fer forgé et ai serré fermement les liens de sorte à ce qu’il ne puisse plus s’échapper. Il s’est laissé faire, docile et silencieux. Ni lui, ni moi n’osions rompre ce moment par des mots. Nous n’en avions pas besoin pour savourer l’instant : nos corps bouillants et nos souffles nerveux parlaient à notre place. J’ai appliqué un masque de satin sur ses yeux, ça l’a fait sourire. J’ai passé un doigt sur ses lèvres, comme pour le rassurer, comme pour lui dire de se laisser aller et de s’abandonner complètement à l’instant présent.
J’ai commencé à lécher ses tétons, je savais que cette zone était particulièrement sensible chez lui. Tout son corps musclé se tendait au rythme de mes coups de langue et de mes petites morsures. C’était jouissif, il était entièrement à ma merci. J’ai vu une bosse se dessiner à travers son boxer gris moulant. « Il est à point ! » ai-je pensé. C’était le moment idéal pour passer à la deuxième partie de mon plan.
Betty, ma plantureuse collègue de bureau, devait sûrement attendre derrière ma porte. Quand je lui avais parlé de mon envie de faire un plan à trois, il y a quelques jours, elle a tout de suite été partante. « Si en plus c’est pour une bonne résolution… » m’avait-elle dit du bout de ses lèvres pulpeuses, taquine. Nous étions très proches toutes les deux, la soirée allait forcément être mémorable ! Je lui ai envoyé un texto pour lui dire de pousser la porte d’entrée que j’avais soigneusement laissée entrouverte, et de venir nous retrouver à l’étage, dans notre chambre à coucher. Quelques minutes plus tard, j’entendais les talons hauts de Betty taper contre les marches de l’escalier.
« Il y a quelqu’un chez nous ! » s’est inquiété Max en essayant de se relever. Je l’ai repoussé gentiment sur le lit et lui ai posé un doigt sur labouche pour lui dire de se taire. Betty est entrée dans la chambre, fabuleuse. Elle portait une robe bleue de cocktail qui mettait parfaitement en valeur ses formes de bimbo. J’ai posé ma main sur le boxer de Max, il bandait toujours. Betty est venue nous rejoindre, elle s’est assise au coin du lit, face à moi. Nous avons échangé un regard complice, nous nous comprenions souvent sans nous parler. J’ai pris sa main et l’ai posée sur la bite de Max. Il a sursauté au contact de ces doigts inconnus. Betty s’est mise à le palper, le masser, elle passait la main sous ses couilles et le long de sa queue. Je voyais les jambes de Max se tortiller, il trépignait d’envie. J’ai retiré lentement son caleçon. Son sexe nu, et parfaitement épilé, était au garde à vous. Betty s’est directement jetée dessus, l’avalant goulûment d’un coup sec. C’était la première fois que je voyais une autre femme sucer mon homme et je dois avouer que c’était plutôt excitant. Je pouvais avoir un autre angle de vue, l’admirer prendre son pied d’une autre façon. C’était une très bonne idée !
Betty s’est délicatement écartée de Max et a fait glisser sa robe le long de son corps. Je ne l’avais jamais encore vue nue, ses courbesvoluptueuses étaient un vrai appel au sexe. Quelle belle femme ! Elle s’est assise en Andromaque sur Max, a lubrifié sa bite d’une main pleine de salive et a essayé de s’enfiler sur lui. La queue de Max était tellement grosse, et la chatte de Betty si étroite, qu’il a bien fallu cinq bonnes minutes pour que les deux s’emboîtent complètement. Elle s’est agrippée à son torse et a commencé ses mouvements de va-et-vient. Sa cambrure était parfaite, ses gestes, mesurés et délicats. Max poussait des petits grognements de satisfaction. Son angoisse s’était entièrement dissipée, il profitait avec délectation de cette chatte étrangère et se laissait aller sous ces doigts experts. Elle poussait des petits cris aigus à chaque fois qu’elle s’empalait sur lui, rythmant ainsi leurs ébats. Le spectacle était très excitant. J’avais envie qu’il voie ça lui aussi, qu’il profite de la vue de Betty, ruisselante de sueur, les cheveux collés sur la peau et les traits du visage tirés par le plaisir. Je lui ai lentement retiré le bandeau des yeux et ai défait ses liens. En apercevant ma collègue, ses yeux se sont écarquillés d’un coup.
Betty s’est mise naturellement à quatre pattes, le cul relevé. Elle lui a lancé un regard impatient, empli de désir. Elle n’en avait pas eu assez, manifestement ! Max me scrutait en attendant mon approbation. Je lui ai confirmé par un hochement de tête qu’il pouvait y aller. « Ah je reconnais bien là mon Max ! Toujours aussi poli… » Il a enfoncé son membre gonflé dans le sexe de Betty déjà dilaté, dégoulinant de cyprine et de sueur. Elle a laissé échapper un long soupir. Elle aimait la queue de mon homme, ça se voyait !
Max était aux anges. Il faisait trembler son cul à chaque coup de reins, la pilonnant de plus en plus fort. Il me regardait dans les yeux en même temps, comme si le plaisir qu’il ressentait était pour moi, comme si nous le partagions tous les deux, ensemble.
Je suis venue derrière lui et lui ai caressé tendrement les fesses. « Est-ce qu’elle te plaît, ta Saint-Sylvestre, mon chéri ? » En guise de réponse, il m’a simplement embrassée. Je sentais son bassin continuer à s’activer sur une autre, tandis que sa langue roulait délicatement dans ma bouche. La fusion n’était pas loin d’être totale.
J’avais l’impression de participer à la pénétration, j’avais l’impression que c’était moi dans Betty. Je me sentais presque, moi aussi, m’enfoncer dans sa chatte chaude et humide.
J’ai jeté un coup d’œil à mon portable. Merde, il allait être minuit dans une minute, il fallait que j’agisse vite pour que tout mon plan se déroule comme convenu. J’ai caressé les cheveux de Betty. C’était le signe, elle le savait.
Elle s’est mise à genoux devant lui et s’est mise à le pomper frénétiquement. Elle l’engloutissait jusqu’à la garde, s’obligeant à faire des gorges profondes. Elle recrachait parfois son sexe, quand elle sentait qu’il était allé trop loin. De sa queue dégoulinaient alors de longs filets de bave qu’elle ravalait aussitôt, gourmande.
Il n’en a pas fallu beaucoup plus pour que Max, surexcité, explose. Il a tenu fermement la tête de Betty à quelques centimètres de son sexe. Elle a ouvert grand la bouche en tirant la langue, elle ne pouvait quitter son gland des yeux. J’ai saisi la bite de Max pour le branler comme il aimait, de la façon que seule moi connaissait, et qui le faisait jouir à chaque fois. « 3,2,1… Bonne année mon chéri ! » me suis-je écriée pendant que le sperme de Max coulait sur la langue de Betty.
Je sentais que cette année 2015 allait être riche en surprises…