Tir à volonté
4 octobre 2015Ben, de passage chez son oncle et sa tante, découvre, venue du Grand Nord, la sublime correspondante de sa cousine, et ses sens se mettent en branle. Hélas, les opportunités de se retrouver seul avec la jolie miss sont rares, sa famille connaissant la réputation de chaud lapin du jeune homme… Aussi, lorsque l’occasion se présente, Ben va sauter dessus, dans tous les sens du terme !
Elle était vraiment à croquer, la petite correspondante de ma cousine. Un diamant brut venu du Nord qui souhaitait parfaire sa maîtrise de la langue française pendant quelques semaines à ses côtés. Bien sûr, je n’avais pas attendu bien longtemps avant de lui faire du rentre-dedans. Mais la cousine, chez qui j’étais venu séjourner deux semaines pour aider mon oncle et gagner un peu de blé, veillait et, dans l’appartement parental, pas facile de passer à l’action sans éveiller les soupçons! Un après-midi où j’étais rentré plus tôt que prévu, quelle surprise de trouver la divine Anna seule dans la place, ma cousine ayant déserté le cocon familial pour une séance de body body avec son mec.
C’était l’occasion rêvée pour faire plus ample connaissance avec la sublime Viking. Sans plus attendre, j’ai profité de la cible qui traînait dans le salon pour proposer à Anna un petit jeu de tir. Visiblement, la miss s’ennuyait ferme à parcourir le Net sur son ordi, et ma proposition a eu l’air de lui plaire. Nous nous en sommes donnés à cœur joie pour obtenir le maximum de points. Pendant que j’armais mon gun, je me demandais comme faire pour emballer la belle dans les plus brefs délais.
En effet, ne connaissant pas la résistance de ma chère cousine à l’horizontale, je ne savais pas vraiment à quelle heure elle comptait rentrer. Seule certitude, il me fallait agir vite si je voulais goûter à tous les charmes de la petite bombe. Anna parlait notre langue avec un délicieux accent qui ne faisait que décupler mon excitation. Je voyais poindre ses tétons sous son léger haut. Mon appétit grandissant me chauffait les sens. Lorsque mon portable a sonné et qu’en décrochant, j’ai entendu ma cousine me dire : “T’es où ? Fais pas de bêtises, j’arrive dans une petite heure…”, j’ai su qu’il était temps de passer à l’action. J’ai raccroché sans même écouter la fin de la conversation de ma cousine qui semblait très énervée de me savoir seul en galante compagnie.
Anna m’a saisi le pistolet pour s’exclamer : “À moi de tirer un coup !” Je l’ai fixée du regard en lui répondant: “Ah non, il faut faire attention avec la langue, ma belle. « Tirer un coup », en français, c’est autre chose de bien plus plaisant… Regarde, je vais te montrer.” J’ai glissé ma main sous le T-shirt d’Anna pour laisser apparaître une magnifique poitrine. La seule réponse de la miss étant un léger gémissement de plaisir, j’ai décidé de poursuivre mon investigation en règle en faisant délicatement tomber sa jupette.
Anna était visiblement parée pour autre chose que du simple tir au pistolet: elle ne portait même pas de culotte. J’ai glissé ma main entre ses cuisses, sur ce petit abricot tout lisse, et j’ai vite constaté qu’Anna n’était pas insensible à mon charme. Sa chatte coulait de désir et son corps de rêve se tendait comme un arc. Question nanas, j’ai une certaine expérience… Mais là, au moment où Anna s’est retrouvée totalement nue, je suis resté bouché bée.
Cette fille était une bombe atomique de la tête aux pieds.Incapable de résister plus longtemps, j’ai prestement enlevé mes fringues et j’ai fourré mon gros dard raide dans sa bouche visiblement gourmande d’Anna. Elle s’est jetée sur ma matraque de chair et l’a engloutie jusqu’à la glotte. En plus d’être un fusil à canon scié, la miss se révélait être une suceuse de première, n’hésitant pas à m’offrir d’entrée de jeu une gorge profonde de compétition. Anna s’employait à faire entrer ma bite tout au fond de sa bouche. Elle a salivé abondamment et a recouvert ma tige de bave. Un régal !
Malheureusement, le temps étant compté, j’ai vite décidé de passer aux choses sérieuses. Pour ajouter un peu plus de vice, à la situation, j’ai opté pour une baise directement dans le salon, à même le canapé. Si ma cousine l’apprenait, je pense qu’une irrésistible envie de m’émasculer poindrait en elle!
J’ai glissé ma queue entre les cuisses d’Anna. Elle me fixait de ses yeux de chatte en chaleur et ne cessait de donner des petits coups de reins afin que mon bout de chair vienne taper tout au fond de son intimité. Question sexualité, on pouvait dire que les filles du Nord étaient pour le moins ouvertes, et cela dans tous les sens du terme !
Mes coups de reins toujours plus appuyés arrachaient à Anna des gémissements divins. Et elle en profitait pour réviser notre si jolie langue. “Encore, hummm, tu me fais bien ça, baise fort ma chatte!” Décidément, ma déesse nordique n’était pas avare de commentaires. Sa voix résonnait dans tout l’appartement et, les fenêtres étant ouvertes, je crois que les voisins devaient eux aussi profiter de ses vocalises de plaisir. Le corps de ma partenaire était une véritable sculpture de maître. Son ventre, ses cuisses, ses traits, ses courbes… Tout en elle n’était que perfection. Au-delà de la simple plastique, Anna était également une véritable reine de l’activité horizontale ! La mignonne aimait la bite et ne boudait pas son plaisir de se faire prendre sauvagement par un jeune Frenchie sur le canapé des parents de sa correspondante.
Tout en pénétrant Anna, j’avais les yeux rivés sur son petit œillet qui s’ouvrait un peu plus à chacun de mes assauts. Me laisserait-elle posséder sa mignonne porte de derrière? Sodomiser la coquine sur le canapé d’oncle et tantine, quel pied !
Je me suis aventuré à coller mon gland sur l’œillet ouvert d’Anna. Elle m’a regardé et s’est écriée: “Viens dedans, je aimer beaucoup ça !” Je croyais rêver. Bombe, chaude et kiffant la sodomie, cette nana était décidément bonne à marier! Ma queue est entrée dans ce tunnel sans ren- contrer la moindre difficulté. Ni gel, ni salive, rien ! La petite correspondante était une vraie reine de la sodomie… Je me suis enfoncé jusqu’à la garde et mes couilles ont tapé contre sa minette gluante de mouille.
Après quelques va-et-vient dans cette position, Anna a pris les devants et a décidé de mener les ébats en venant s’asseoir sur mon dard. Dès qu’elle s’est installée sur moi, j’ai senti ma bite disparaître en elle, tout au fond de ses entrailles. Le petit gémissement qu’elle a poussé n’a fait que rendre encore plus dure ma bite déjà prête à exploser. Entreprendre la divine correspondante par la face nord était un must dont je ne me lassais pas.
En posant ses lèvres sur les miennes, Anna donnait de légers coups de reins et ondulait du bassin. La cochonne en profitait pour écarter sa fente au maximum et laisser couler sur mes couilles son nectar de plaisir. Je mettais de puissants coups de boutoir et j’étais impressionné par ce que ma partenaire arrivait à encaisser dans ses petites fesses! Ma visite du Grand Nord n’avait de cesse de se faire plus rapide, plus forte, et jamais la belle Anna ne manifestait le moindre désir de me voir quitter cette partie de son anatomie désormais totalement dilatée. “Encore, encore, pousse bien tout, viens au fond de mes fesses…”
Visiblement, avec moi, Anna progressait rapidement au niveau vocabulaire. Certes, il s’agissait là d’un registre pas forcément utilisable dans toutes les situations, mais ma cousine ne pourrait pas me reprocher de ne pas avoir aidé la petite Anna à s’intégrer dans le mode de vie à la française! Bien sûr, si l’un des membres de la famille me découvrait dans une telle posture, je n’étais pas certains de pouvoir les rallier à ma cause. Mais bon, pour l’instant, j’avais encore l’appartement à moi et j’étais bien décidé à prolonger mon inspection des moindres parcelles corporelles de ma partenaire de jeu.
Inlassablement, je poursuivais la visite des grands fonds avec un plaisir non feint. “Dans mon cul, oui, encore, c’est bon dans mon cul. Je aimer trop ça !” Décidément, plaisir s’en mêle. Résultat, cela faisait pas loin de quarante-cinq minutes que ma gentille cousine s’était fendue d’un coup de fil pour me prévenir de son arrivée dans l’heure… Évidemment, être chopé la queue au fond des fesses de sa nouvelle copine n’était pas la meilleure façon de redorer mon blason auprès d’elle.
C’est sûr, bien calé dans le petit cul d’Anna, je n’avais franchement pas grand-chose à faire de ma réputation! Mais il fallait penser aux conséquences d’une telle situation, pour la petite Nordique comme pour moi. J’ai donc pris l’initiative d’accélérer un peu le rythme afin de terminer au plus vite cette baise tout à fait délicieuse.
Anna couinait maintenant comme une vraie truie en rut et, alors que je sentais ses sphincters se contracter autour de ma queue bien raide (signe de sa jouissance!), j’ai attendu quelques instants avant de sortir de son fourreau et de m’approcher d’elle pour l’arroser de mon jus. Anna était encore toute tremblante de l’orgasme qui l’avait traversée.
Elle respirait bruyamment, les yeux fixés sur mon engin prêt à gicler. “Oui, viens, donne ton juice à moi. Humm, allez, viens !” Il ne m’a pas fallu longtemps pour exaucer les vœux les joies de la sodomie donnaient à Anna une verve incroyable.
Assise sur moi, elle se tournait pour regarder ma queue s’enfoncer jusqu’à la garde au fond de ses entrailles. Jamais jusqu’alors, je n’avais connu une partenaire capable d’encaisser aussi longtemps ma bite dans son petit trou. Alors que certaines filles vous retirent le doigt dès que vous tentez une approche vers leur œillet, Anna, elle, était tout le contraire. Une fois emprisonné dans son cul magnifique, impossible d’en sortir! Le problème, c’est que le temps passe plus vite lorsque le de la coquine. Quelques va-et-vient de ma main autour de ma tige tendue à fond, et de longs jets visqueux sont venus recouvrir le sublime corps d’Anna.
Nous n’avons même pas eu le temps de prendre une douche avant de nous rhabiller. Cinq minutes plus tard, ma cousine entrait en trombe dans l’appartement.
Malgré les fenêtres ouvertes, la pièce sen- tait encore la sueur, la mouille et le sperme… Ma cousine m’a glissé à l’oreille : “Alors, c’est un bon coup?” Même si la question m’a surpris, mon visage épanoui a, je pense, très largement renseigné ma cousine sur le sujet.