Un second plan de premier ordre

La rédaction 2 novembre 2024

Ludo, 59 ans de Lyon fait la rencontre d’une barmaid décomplexée suite à un rendez-vous raté. C’est une nuit des plus torrides qui l’attend.

J’avais rendez-vous, pardon, j’avais un « date » comme on dit chez les jeunes de nos jours, avec Ludivine, une jolie petite nana croisée sur internet qui m’a posé … un magnifique lapin ! La Ludivine ne s’est jamais présentée et cela a été un mal pour un bien. Je vous raconte tout dans cette histoire de sexe amateur.

Une rencontre inattendue avec une barmaid sans complexe

Faute de rencontre, j’ai été consommer un cocktail au bar, puis deux, puis trois, il faut bien avouer que la barmaid était plus qu’à mon goût. Marie avait un beau sourire, son balayage californien allait superbement bien avec sa peau bronzée et elle n’avait pas lésiné sur le décolleté, raison pour laquelle un aréopage de types plus ou moins lourdauds gravitait près du comptoir. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis fait passer pour son fiancé et lui ai tendu mes lèvres en guise de « Bonsoir ». Elle m’a embrassé langoureusement, une main caressant ma nuque, sa langue s’enroulant autour de la mienne.

Quelques heures plus tard, nous étions dans son lit. Entreprenante, Marie s’est dénudée sans aucun complexe devant moi, m’exhibant, très à l’aise, ses jolis seins ronds, son affriolant cul bombé et sa très sexy petite chatte toute lisse. Elle a saisi ma queue encore timide et l’a recueillie entre ses lèvres à la douceur satinée pour la faire grossir et durcir. Une fois mon pieu au garde-à-vous réglementaire, elle m’a longuement branlé tout en me fixant dans les yeux. Marie me caressait les couilles et déposait de temps en temps un baiser sur mon gland humide ou sur mes bourses gonflées d’envie.

Cette fille était sensuelle et attentionnée, son désir se communiquait à mon corps tout entier. Nous nous sommes roulé une pelle interminable et j’ai enfin pu plaquer mes mains sur ses seins merveilleusement moelleux et fermes à la fois. Très sensible des tétons, j’ai insisté sur le malaxage des mamelons. Marie émettait de petits cris charmants et m’a avoué dans un souffle qu’elle mouillait beaucoup et qu’elle aimait ce que je lui faisais. Rien de mieux pour donner confiance à un homme !

L’instant suivant, elle s’allongeait sur le grand drap bleu et tournait sur elle-même, exhibant son côté pile comme son côté face à mes yeux ravis. Elle s’est arrêtée sur le ventre et a cambré ses reins tout en écartant les globes fermes de ses fesses, me révélant une fente et un anus tout rose et légèrement ouvert, le tout parsemé de paillettes de mouille. J’ai approché mon visage. Les fragrances étaient fortes et délicieusement étourdissantes. Marie a secoué son popotin, invitation muette à me régaler de ce cul qui se donnait sans compter. J’ai enfoui ma tête dans le canyon brûlant, trempant ma langue à la fournaise de cette chatte si généreuse et de cet anus délicatement poivré.

Une amante et une sodomie

La cyprine était savoureuse et abondante et les gémissements que j’arrivais à percevoir de là où j’étais m’indiquaient que mes coups de langue faisaient mouche. J’ai osé monter pour goûter l’anneau, les geignements se sont faits plus puissants. J’ai décidé de vriller mon appendice dans ce sphincter velouté qui s’est effacé comme par magie. J’ai toujours été un “bouffeur de minette et de cul”, cela m’a semblé naturel dès mon premier rapport et Marie me confirmait que les femmes sont très ouvertes et gourmandes de ces caresses si intimes.

Mais nous avions tous deux envie de plus. Mon amante s’est tournée une fois de plus afin de m’accueillir en elle. Cuisses relevées, fente écartée, son doux visage en extase auréolé d’un soleil de cheveux blonds, j’ai posé mon gland sur le haut de son sillon, agacé le clitoris totalement sorti de son capuchon protecteur pour finir par glisser jusqu’à l’entrée du fourreau serré. Ma queue s’est lentement frayé un chemin dans la muqueuse chaude et crémeuse. Cette dernière s’est refermée sur moi, emprisonnant mon sexe pour mieux le libérer, donnant ainsi le top départ à un rodéo qui a duré une bonne partie de la nuit.

Après un premier round très sensuel et diablement jouissif, nous sommes allés prendre une douche bien fraîche. Marie m’a de nouveau accueilli en bouche. Elle suçait tellement bien que j’ai rebandé en quelques instants et, les corps savonneux et plein de mousse nous ont amenés à nous frotter l’un contre l’autre, le dos et les fesses de Marie tout contre mon torse et ma bite dure comme l’airain. Elle l’a saisie et, se penchant en avant, en a présenté le bout devant son petit trou. Ravi de la proposition, je l’ai enculée sous le ruissellement continu. Elle a pris son pied avec cette sodomie qui m’a fait éjaculer pour la seconde fois de la soirée tout au fond de son fondement.

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