Tireuse de cartes … et d’hommes !

La rédaction 10 décembre 2024

Cassandra, 33 ans de Libourne partage son aventure avec un client. Levrette, sodomie et gorge profonde au programme. Un tirade des plus réussi !

Mon prénom était prédestiné, je suis chiromancienne ! Je tire les cartes et lis l’avenir aux personnes qui me consultent. Grâce à cette activité, non seulement je gagne ma vie, mais en plus je fais de très jolies rencontres, parfois même, ces dernières donnent lieu à des folies sexuelles, ce qui fut le cas avec Quentin. Lorsqu’il s’est présenté, j’ai tout de suite été sous le charme, il sentait bon et avait cette assurance qui rend les amants irrésistibles à mes yeux. Voici mon histoire de sexe amateur.

Tirage de carte et gorge profonde

À peine avais-je fini de lui donner les clefs de son futur que je me suis rapprochée de lui, j’ai retiré ma jupe et mon chemisier pour lui ôter le moindre doute sur mes intentions. Il m’a prise dans ses bras et embrassée longtemps. Sa langue tournait autour de la mienne et il a cueilli mes mamelons entre ses doigts pour les écraser doucement avec une grande dextérité. J’ai mouillé instantanément et senti son membre raide et de très bonne taille battre contre mon bas-ventre. Monsieur avait l’air d’être très excité et diablement bien fourni au niveau du service trois pièces. Je me suis accroupie et, une fois son pantalon et son slip disparus, j’ai enfin pu prendre toute la mesure de sa queue. Elle était grosse et lourde, tout comme la paire de couilles que j’ai soupesée avant de la prendre en bouche. J’ai commencé à le sucer et Quentin a pris son portable pour me photographier en pleine fellation, cela m’a excité encore d’avantage et je lui ai offert une gorge profonde qu’il n’est pas près d’oublier.

Il n’a même pas attendu que je retire ma brassière. Il m’a demandé de me tourner, là, debout dans le salon, il a craché dans sa main et est venu mêler sa salive à ma cyprine, histoire de vérifier si j’étais bien excitée et correctement lubrifiée – attention touchante –, puis s’est penché sur moi. J’ai écarté les fesses et son pieu s’est logé tout au fond de ma craquette en une poussée ! Il m’a burinée ainsi un long moment. Je gémissais fort à chaque fois qu’il me transperçait et sentais un grand vide dans mon vagin quand le pénis s’en échappait … pour mieux me réinvestir la seconde suivante. Voyant qu’il n’arrivait pas à me faire jouir ainsi, il m’a transportée sur le canapé et j’ai enfin pu me mettre entièrement nue. Il a apprécié mon tatouage et m’a reprise en levrette, moi confortablement installée à quatre pattes cette fois-ci. Il me prenait en photo sous tous les angles et je dois bien avouer qu’être rendue, malgré moi, star du porno, m’a fait venir bien plus vite qu’avec mes autres amants.

Divine sodomie

Quentin m’abreuvait de mots sales, cela aussi, a concouru à mon extase. J’adore les mots crus pendant le sexe. Il me donnait donc de grandes claques sur les fesses, les écartaient pour bien voir son vit entrer et sortir de moi et surtout reluquer, je l’avais bien compris, mon anus, large étoile totalement disponible. Il ne s’est pas privé de l’explorer, d’ailleurs, mon trou du cul. Avec son pouce d’abord, puis avec plusieurs doigts réunis, jusqu’à temps que je gueule comme une folle, éructant mon plaisir tout en laissant couler ma source qui a inondé le tissu du sofa. Cet homme avait une énergie sexuelle folle et un vrai sens du timing. Il m’a retournée comme une galette et s’est de nouveau introduit en moi, de face cette fois. J’ai joué avec mes seins, puis avec la perle de mon clitoris et enfin avec ses bourses bien pleines. Il a eu l’air d’apprécier, surtout lorsque j’ai remonté mes jambes derrière ma tête, offrant sans aucune pudeur, ma chatte toute ouverte et mon anneau sombre également. Il a arrêté de prendre des photos pour prendre appui sur ses poings de chaque côté de ma tête et m’a baisée jusqu’à ce que je jouisse pour la seconde fois.

Sans rien me demander, il est sorti de mon vagin et a présenté son gland à l’orée de ma rondelle, dans l’attente d’un signe de consentement. J’ai opiné et il m’a enculée comme il m’avait baisée, d’un coup et de toutes ses forces. C’était divin, je sentais son chibre coulisser dans mon sphincter étroit et le bout de sa bite venir cogner pile au bon endroit dans mon bas-ventre. Je l’ai encouragé à m’enculer encore plus fort, il a compris qu’il pouvait me faire partir ainsi et il a redoublé d’énergie. Mon vagin était secoué à travers la fine cloison, son mandrin m’a défoncé le cul jusqu’à ce que les étoiles filantes de l’orgasme m’aveuglent et que je m’accroche à Quentin, vaincue, trempée de sueur, de mouille et de salive, liquides bientôt rejoint par une véritable douche de sperme. Mon amant s’est branlé au-dessus de moi en me demandant de me foutre des doigts dans tous les orifices, j’ai obéi sagement, les yeux fixés sur son méat. Le geyser est parti si fort que je n’ai pas pu tout avaler.

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