Viens voir le docteur

La rédaction 26 décembre 2019
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En vacances pour quelques jours chez une amie, je suis tombée sur votre magazine. J’ai été émoustillée par certaines confessions coquines. Aussi, j’ai décidé de vous raconter une aventure assez étrange qui m’est arrivée il y a quelques mois.

Je devais me rendre à Paris pour le boulot. J’en ai profité pour faire un tour sur un site internet de rencontres. J’ai chatté avec un homme d’environ 40 ans. Il m’a laissé son numéro de portable. Sa voix était douce. Il a su me mettre en confiance (il m’avait envoyé des photos persos sur mon e-mail) et me convaincre de le rencontrer pour donner un peu de piment à ce passage éclair dans la capitale. Il m’avait demandé si j’aimais jouer au docteur. Cela tombait bien, j’adore ce genre de scénario !

Après une journée de réunions, une rencontre avec un inconnu n’était pas pour me déplaire. Je suis passée à mon hôtel pour me changer et je me suis rendue comme convenu en taxi dans un appartement du 16e arrondissement. En arrivant, j’ai vu avec plaisir que l’homme était bien celui de la photo. Il portait une blouse blanche. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est tout de suite passé aux choses sérieuses.

Il m’a demandé de me déshabiller entièrement devant lui. Sans un mot, je me suis exécutée. Il m’a laissée un bon moment, debout, toute nue… Puis, j’ai dû me tourner pour lui montrer mes fesses. L’homme prenait des notes sur un petit calepin. Il m’a priée de m’allonger sur son canapé. « Mettez-vous sur le ventre, a-t-il lancé, je vais prendre votre température ! » J’ai rougi comme une tomate. C’était la première fois qu’un homme introduisait ce petit jeu à des préliminaires, et cette initiative m’a autant décontenancée qu’excitée.

L’homme, le plus sérieusement du monde, m’a écarté les fesses pour glisser le thermomètre dans mon anus. J’étais un peu crispée. Il m’a invitée à me détendre. Lorsque l’objet a pris possession de mes fesses, ma chatte s’est littéralement mise à couler. Mon médecin a laissé l’objet une minute dans mon anus. Il prenait son rôle très au sérieux. En retirant le thermomètre, il avait l’air satisfait. « 37,2° ! », m’a-t-il annoncé fièrement. « Maintenant, je vais vous faire un petit lavement », s’est-il exclamé.

J’étais totalement sous son emprise. Je n’ai pas dit le moindre mot lorsqu’il a enfoncé sa poire entre mes fesses. J’avais même passé un doigt entre mes cuisses et je me caressais tant l’excitation était grande. Il m’a ensuite guidée dans la salle de bain, où je me suis libérée du produit qu’il m’avait injecté. L’homme m’a alors retournée et a défait son pantalon à une vitesse folle. Je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qu’il se passait que, déjà, son pieu s’insinuait tout entier dans mon cul ouvert. Il m’a pilonnée avec une vigueur incroyable. Il me maintenait les mains dans le dos. Cela m’empêchait de me caresser le clito.

Son sexe m’arrachait des cris de plaisir. En plus d’être bien membré, le « médecin » avait une endurance hors du commun. Il a dû rester une bonne demi-heure à me défoncer à un rythme d’enfer. Enfin, il a retiré son pieu et a giclé sur ma rosette béante.
Il m’a ensuite demandé de me rhabiller et, après m’avoir saluée en me tendant la main, il m’a poliment raccompagnée à la porte d’entrée.

Je dois avouer que, dans le taxi qui me ramenait à mon hôtel, j’étais encore complètement sous le choc de cette rencontre peu ordinaire. Elle reste aujourd’hui un délicieux souvenir.

(Image à la une : Getty Images)

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