Ma maîtresse masquée

La rédaction 2 mars 2021

La maitresse de Jean-Michel, 55 ans est joueuse et cruelle, elle lui inflige un délicieux supplice.

Je suis un homme de 55 ans et, depuis quelque temps, j’ai une maîtresse qui s’appelle Jessica. Elle a 35 ans et elle me rend fou, avec sa fougue et son goût du sexe. L’autre jour, elle nous a organisé un petit scénario en rapport avec ces temps troublés…Je vais vous le raconter dans cette histoire de sexe.

Je devais la retrouver chez elle un soir, avec mon masque. Je suis entré dans son appartement dont j’ai les clés et elle était assise sur le tapis, dans le séjour. Elle portait un attirail des plus attrayant : guêpière lacée, string, porte-jarretelles, le tout fait de dentelle d’un très beau violet sombre… Ses sous-vêtements étaient assortis à un masque de la même couleur. Ses longs cheveux bruns encadraient son visage et elle s’était maquillé les yeux de noir pour qu’ils ressortent encore plus au-dessus du tissu.

Elle était sublime et je me suis approché pour la prendre dans mes bras. Mais elle m’a ordonné de ne pas bouger. Jessica m’a fait asseoir à un mètre d’elle sur le tapis. Je bandais de la voir comme ça. Comme elle était assise en tailleur, je pouvais voir la dentelle de son string se tendre contre sa petite chatte sexy. Ses seins étaient gainés dans la guêpière et débordaient de son habit. Je bavais devant pareille image. Jessica, tout en exigeant de moi que je garde mes distances et mon masque, s’est mise à tester mes limites.

C’était le supplice de Tantale : elle était en train d’érotiser son corps au maximum devant moi sans que je puisse la toucher pour le moment, de sorte que je sois complètement dépassé par le désir. C’était malin de sa part. Elle ne s’y serait pas prise autrement si elle avait voulu me rendre accro, me faire ramper à ses pieds.

Jessica a commencé à toucher son corps. Elle caressait ses seins, passait ses mains dans ses cheveux, sur son ventre à la peau de pêche. Elle a écarté les jambes sur le tapis et a commencé à se caresser devant moi. D’abord, elle a frictionné légèrement sa chatte par-dessus son string, puis progressivement, elle a mis sa main dans sa culotte pour se branler. Ses yeux soulignés de khôl étaient étincelants et reflétaient son audace. J’ai sorti ma queue pour me mettre à branler en l’admirant – impossible de faire autrement. Je ne voyais pas son expression à cause du masque mais cela contribuait à l’érotisme. Je me branlais de plus belle.

Puis Jessica s’est approchée et m’a encore demandé de ne pas bouger. Alors que je restais figé sur le tapis, elle s’est mise à me tourner autour, à se pencher, à se mettre à quatre pattes pour que je vois son cul. Elle écartait les cuisses et agitaient ses fesses sous mon nez. J’avais toujours interdiction de toucher. Puis elle pressait ses seins et les approchait de ma bouche sans pour autant me les donner vraiment. La tête me tournait. Puis elle a retiré mon masque et elle a carrément posé ses fesses contre mon visage, alors que j’étais encore assis.

Elle s’est retournée pour me faire face, j’ai un peu penché la tête en arrière et elle m’a donné à lécher sa chatte. Tout en écartant son string, elle était debout au-dessus de moi et déposait son sexe contre ma bouche ouverte. Je l’ai bouffée, et j’ai léché son clito tant que j’ai pu avant qu’elle ne se relève de mon visage, pour me faire encore languir. Puis elle s’est rassise encore pour me donner à goûter son coquillage salé. Ses lèvres ruisselaient sur les miennes et elle gémissait sous mes coups de langue.

Jessica s’est enfin agenouillée pour être à ma hauteur, a baissé son propre masque et a embrassé ma bouche qui devait avoir le goût de son sexe.

Mon amante m’a fait basculer sur le dos et a fourré ma bite plus dure que jamais dans sa chatte bien mouillée. Je pouvais enfin toucher son corps, ses seins galbés, la dentelle de la guêpière, la soie de sa peau… Pendant que son sexe avalait le mien à mesure qu’elle me chevauchait, je la tripotais encore plus que d’habitude, à cause de la hâte que j’avais éprouvée de la tenir dans mes bras et de la frustration délicieuse de devoir patienter…

Ma bite était prise en étau en elle et ses mouvements de reins passionnés me faisaient perdre tout contrôle. Elle a passé la main derrière elle pour me caresser délicatement les couilles par en-dessous pendant qu’elle me baisait et j’ai joui avec une force incroyable pendant qu’elle-même me sautait à un rythme frénétique pour me rejoindre dans la jouissance… Cette session faite de tentations avait été incroyable en termes de sensations et me laisserait un souvenir impérissable de ma belle maîtresse masquée.

A LIRE AUSSI : 

Au bal masqué 

Infirmière Nippone au temps du Covid-19

Hypnose érotique 

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru