interstron.ru rings

La rédaction 15 juillet 2025

Louis, 53 ans, a une petite copine très coquine ! Fans de sextoys et de sodomie, ils aiment jouer à des jeux coquins, d’exhib et de soumission !

Louis nous raconte son histoire de sexe amateur avec sa petite copine qui à le feu aux fesses !

J’aimerai nommer ce récit érotique « interstron.ru Rings ». Vous connaissez, ces délicieux petits beignets d’oignons frits… L’idée de cette lettre m’est venue alors que nous en mangions dans un fast-food avec Camille, ma copine, et que celle-ci m’a fait la surprise d’aller aux toilettes pour revenir avec sa culotte … en chouchou dans les cheveux.

Des photos et des godes

Elle ne s’est pas arrêtée là, me demandant de shooter sa chatte par-dessous la table.

Quand j’ai vu ce qu’affichait mon écran, j’ai bandé comme un malade, elle s’était glissé que je lui avais offertes pour son anniversaire dans le vagin, seule la fine ficelle permettant de les extraire était visible … en plus de son joli abricot déjà bien juteux entouré de cette belle pilosité brune qui me rend fou.

On a vite fini notre repas et Camille m’a sucé dans la voiture sur le chemin du retour, dégustant un bon milk-shake au sperme en dessert ! J’ai pris son dernier coup de langue en photo.

Était-ce le printemps, les jours qui rallongent…, en tout cas, Camille avait le feu au cul depuis quelques jours, alors, le lendemain, je lui ai proposé une soirée hot avec , sodo et petit reportage coquin. Mon projet – avoué– était déjà de vous les envoyer avec ce témoignage polisson.

Elle était partante, comme toujours quand il s’agit de gaudriole, et, comme toujours également, elle a ouvert les hostilités en me pompant comme elle sait si bien le faire pendant que je capturais la scène avec mon portable.

Ses lèvres jouaient sur les rebords recourbés de mon gland, sa langue agaçait mon frein, rampait sous ma hampe pour venir laper mes grosses couilles.

De temps en temps, un doigt plein de salive titillait mon trou de balle et s’y enfonçait voluptueusement, j’adore cela… Que cette caresse peut me faire bander dur ! Elle stoppait sa fellation uniquement pour glisser mon chibre entre ses deux beaux melons. Elle a des seins énormes qui épousent parfaitement ma lourde bite.

Après un court cunnilingus, nous nous sommes allongés face à face. Je me suis branlé tandis que Camille se chauffait avec un gode veiné. Elle entourait son clito, se faufilait le long de sa fente trempée tout en gémissant et en répétant de fiévreux « putain, putain … ». Quand elle fait cela, c’est qu’elle est excitée à mort.

Je pouvais percevoir les parfums très forts de sa cyprine et de son anus de là où j’étais et, d’ailleurs, en parlant petit trou, ce dernier commençait à la démanger, je le voyais bien.

Une sodomie profonde

J’ai donc endossé mon rôle de dominant – Camille adore jouer les soumises au lit – et je lui ai intimé l’ordre de se présenter à moi à quatre pattes, offerte, langoureuse et pantelante de désir.

À ma demande, elle a continué à se faire du bien avec le gode pendant que je m’équipais d’un vibromasseur tout simple en métal lisse et rouge, mais diablement efficace. Je l’ai réglé sur trois et l’ai appliqué sur sa rondelle en ayant pris soin de le lubrifié avec sa mouille abondante.

L’engin est rentré dans son fondement comme dans du beurre. Ma petite salope a toujours été souple et ouverte de ce côté-là, mais, ce soir-là, elle était encore plus dilatée que d’habitude.

Après l’avoir bien godée, je lui ai travaillé le troufignon avec quatre doigts, histoire de l’élargir un max et de permettre à ma bite de se loger sans difficulté au plus profond de son anus. Camille n’a même pas eu à écarter ses bonnes fesses pour me faciliter l’accès.

Mon pieu s’est fiché d’un coup en elle, ma hampe a disparu et mes couilles sont venues au contact du jouet qu’elle avait encore dans le vagin.

Je n’ai plus bougé jusqu’à ce qu’elle me donne son feu vert. Dès que le signal m’a autorisé à entrer en action, j’ai saisi ses hanches, agrippé comme un naufragé à son radeau de fortune, et je lui ai bourré le cul à en perdre le souffle. Son spectacle m’avait transcendé.

Mon chibre palpitait, je cherchais ma respiration, je transpirais, j’expirais fort, mais je ne lâchais rien. Alors que je sodomisais Camille, je repensais à son exhibition secrète au restaurant, je prenais conscience que c’était dans son oignon que je m’enfonçais avec délice, que c’était son petit trou en étoile que j’étais en train d’explorer pour son plus grand plaisir et le mien et que ce dernier m’enserrait de plus en plus.

C’est alors qu’il s’est mis à se contracter. L’orgasme a fait vibrer l’intégralité de la silhouette que j’embrochais. Camille a crié, elle a saisi mes couilles par en dessous et les a pressées très fort, comme j’aime.

Dans l’action, elle m’a demandé de lui crémer le cul, j’ai donné quelques coups de reins et mon pénis s’est raidi en grossissant encore un peu. J’ai balancé mon foutre tout au fond de son fourreau, je n’arrêtais plus d’éjaculer tellement c’était bon !

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