Zora … la blonde
7 janvier 2025Depuis que je connais Thierry, je lis interstron.ru et je ne suis pas peu fière d’être à l’initiative de ce courrier ! Lui n’assume pas. Voici notre histoire de sexe amateur.
Cunni, fellation et pénétration
Quand mon mâle rentre du travail, en général, je suis en train de me prélasser dans mon bain, j’entends la porte d’entrée puis le bruit métallique de sa boucle de ceinture lorsque son pantalon et son boxer tombent au sol. Thierry s’approche, queue déjà au garde-à-vous et me la tend pour que je la prenne en bouche. Je le suce jusqu’à ce que j’aie froid. Alors il me rince et me sèche en insistant tout particulièrement sur mes seins, ma chatte et mes fesses. Il est fou de mes pommes bien potelées. Mais ce soir-là, une fois arrivés dans la chambre, une autre silhouette s’est dessinée dans l’encadrure de la porte, c’était un photographe !
J’ai mouillé comme jamais. J’ai astiqué la bite de mon homme et l’ai pompée avec encore plus d’entrain et j’ai écarté les cuisses en grand, mon dos touchait à peine le lit ! J’aime me faire bouffer la chattoune longuement avant de me faire tringler, mais cette fois-là, exceptionnellement, nous avons fini en soixante-neuf. Tout en avalant la tige de mon compagnon, j’essayais de profiter de ses coups de langue absolument diaboliques. Ils se posaient partout, de mon trou du cul à mon clitoris bandé, sans oublier de repérer où était notre preneur de vue pour être le plus photogénique possible dans cette baise folle.
Ce dernier était accroupi, juste à côté de nous, j’ai vu l’objectif zoomer sur mon cul, j’ai joui dans l’instant.
Thierry m’a retiré mon jouet, mais c’était pour mieux me posséder en missionnaire. À genoux entre mes jambes, il a frotté sa grosse hampe sur ma fente humide, des fils de mouille reliaient son sexe au mien, avant de me pénétrer d’un coup jusqu’à la garde ! Notre reporter a choisi ce moment pour grimper sur le lit, carrément. En équilibre précaire, il nous a shootés en plongée, j’avais la tête renversée, tout à mon plaisir de me faire démonter aussi bien, aussi fort, aussi passionnément, le tout devant un inconnu qui a fini par bander comme un forcené – j’ai très bien vu l’énorme bosse de son pantalon !
Thierry, entre temps, m’avait ramené les cuisses sur les seins, il aime par-dessus tout me baiser « en grenouille », sa queue me fouille encore plus profondément et il est certain de m’amener au nirvana quasi immédiatement. Cela n’a pas raté, il n’a eu qu’à me limer que quelques minutes pour que je prenne mon pied. J’ai vocalisé sans doute même un peu plus, la présence d’une tierce personne à nos côtés me transcendait.
Fellation et sodomie
J’ai resucé mon mâle. J’adore lécher sa tige lorsqu’elle est entièrement enduite de mon jus de plaisir, il a bandé plus dur et m’a demandé de m’allonger sur le ventre. J’étais sûr qu’excité comme il l’était, j’allais avoir droit à une visite de mon petit trou. Je ne me suis pas trompée, après une feuille de rose très sensuelle, il m’a doigté l’anus tout en douceur afin de dompter ce dernier, puis il a attiré mon arrière-train au bord du lit. Debout derrière moi, il n’a eu qu’à prendre appui sur une jambe pour que son bout soit pile à la bonne hauteur.
Le gland s’est faufilé dans ma pastille sensible, la couronne s’est engagée et j’ai senti mon anneau se resserrer juste après son passage. Thierry a marqué un arrêt et, dès qu’il a su que j’étais prête, a laissé coulisser toute sa longue baguette dans mon sphincter. Je me suis sentie remplie comme jamais, mon anus était tout dilaté. J’ai enfilé deux doigts dans mon vagin pour sentir le pénis aller et venir de l’autre côté de la fine cloison. J’en profitais pour agacer le gros fruit qui me fouillait à une cadence de plus en plus rapide. À ce petit jeu, c’est moi qui ai encore décollé la première, l’orgasme a pris naissance dans mon bourgeon et dans mon cul en même temps. J’ai mis un bon bout de temps avant que ma vue ne revienne, Thierry m’avait propulsée très haut dans les étoiles.
J’ai attendu que mon homme reprenne ses va-et-vient pour juter au creux de mes fesses, comme il aime généralement le faire, mais il s’est retiré et m’a appelée à lui. J’ai vite compris qu’il y avait eu accord sur une mise en scène de fin, l’éjaculation devait être spectaculaire et surtout visible sur les photos ! Je me suis exécutée avec plaisir, j’adore pomper la belle queue de mon mec et surtout, je suis une gourmande insatiable de son sperme. Le photographe s’est collé au dos de Thierry et ne m’a pas lâchée toute la durée de ma pipe. J’ai juste eu le temps de sortir la bite pour recevoir les jets de foutre chauds sur ma langue, j’ai tout avalé en gloussant !
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