Confinement : les maîtresses balancent l’identité des maris infidèles !

James-Nicolas de Sade 1 avril 2020

Suite au confinement, le site CommentTromperMonPartenaire.com a mené une enquête « l’impact du confinement sur l’infidélité ». Résultat ? Une liste est déjà en ligne et une pétition sera prochainement sur la toile incitant les maîtresses et les amants de toute la France à se dévoiler, et à dévoiler leur partenaire infidèle, pour sensibiliser à leur cause.

Parmi les personnes qui voient leur situation mise à mal par le confinement, il n’y a pas que les parents ou encore les enseignants, il y a aussi les maîtresses et les amants ! Dans un dernier sondage publié aujourd’hui par CommentTromperMonPartenaire.com, on apprend que plus de 69% des amants de femmes mariées et 57% des maîtresses d’hommes mariés sont inquièt(e)s de l’évolution de leur situation après le confinement. Pire, grâce à cette plateforme, ils ont déjà établi une liste avec leur nom, celui de leur partenaire infidèle et réfléchissent à lancer une pétition dans les meilleurs délais pour lancer un mouvement national.

interstron.ru est parti à la rencontre de ces hommes et femmes, dont le ras-le-bol se fait entendre.

« Et si je ne lui plaisais plus ? »

Mireille a 42 ans. Cette célibataire de longue date entretenait depuis 2 ans une relation avec un homme marié. Elle ne veut pas s’engager dans une relation sérieuse, préférant la liberté du célibat : « Au bout d’un moment la vie de couple c’est ennuyant, je me lasse vite. » déclare-t-elle. Avant le confinement : »On se voyait 2 à 3 fois par semaine. » dit Mireille « Maintenant, c’est un message tout les 3 jours et encore… » Cette crainte de l’abandon est exacerbée par le confinement : « Et si je ne lui plaisais plus ? S’il m’oubliait ? Je ferais comment ? Le confinement porte aussi atteint aux relations extra-conjugales hein ! » s’exclame Mireille.

Elle se plaint également de la fin de ce qu’elle vivait avec son copain adultère : « Tous les jours qu’on se voyait, c’était toujours un cadeau. Un parfum, une robe. Même une fois, une Fiat 500X. » Pour elle maintenant : « Tout est fini, j’espère que notre relation reviendra à la normale. Même s’il m’offre juste une Twingo ça m’ira. »
Pour elle, cette situation est cauchemardesque, c’est pourquoi elle n’hésitera pas à balancer le nom de son homme marié si le confinement ne se termine pas au plus vite.

Même son de cloche pour Laurence, 29 ans, libertine et en couple avec un « cadre d’une très grande entreprise des médias. » Elle s’inquiète désormais de ne plus pouvoir voir son amant : « Ca ne faisait que 6 mois mais c’était déjà intense. C’était avec lui que je m’épanouissais le plus sexuellement parlant. Déjà que les clubs libertins ont fermé, me voilà maintenant sans personne pour assouvir mes fantasmes. » Dans le cadre d’une relation de couple à distance, l’excitation à distance reste toujours possible mais bien plus compliquée pour ce qui entretiennent une relation extra-conjugale. On voit mal un mari confiné avec sa femme et recevoir un »nude » de sa maîtresse sur son téléphone.

« Maintenant, fini les croisières en amoureux, les super gang-bang avec lui et ses collègues de bureau » continue Laurence. « On allait tout le temps en club libertin ou bien chez moi. Je faisais tout ce que sa femme ne voulait pas. Dont lui rentrer des objets culinaires ou légumes par derrière, etc. Là, c’est fini. Je m’en fous, j’ai tout balancé sur la place publique. J’ai plus rien à perdre. »

« Ce confinement, c’est la fin des 5 à 7 »

Les amants aussi ne sont pas en reste. Comme l’indique le sondage, ils sont près de 69% à être inquiets de l’impact du confinement sur leur situation. Pour Goeffrey, il ne semble pas y avoir d’autres solutions que de balancer le vrai nom de « Gisèle la Fidèle« . Ce jeune infirmier parisien avait une relation avec une femme plus vieille que lui : « J’en ai 27, elle en a 72. Son mari a tout juste 33 ans, elle adore les petits jeunes, c’était une vraie croqueuse. Je l’adorais. »

Geoffroy a donc profité de l’occasion qui s’est présentée à lui, mais pas pour très longtemps : « Cela ne faisait qu’un mois qu’on se voyait avant le confinement. » déclare-t-il, désespéré. « Maintenant, c’est fini les dîners au George V, au Jules Verne ou au Fouquet’s qu’elle m’offrait. Également plus moyen de faire les boutiques sur les Champs et de choisir les vêtements que je voulais et qu’elle m’achetait. »

Désormais, ils échangent des messages régulièrement, mais sans aucune allusion sexuelle : « Dans son téléphone je suis Mylène, une collègue de travail. » dit-il. « Je pense lancer une cagnotte, ça ne peut plus tenir... En tout cas, je n’ai aucun problème à révéler ma vraie identité et à balancer celle de Gisèle, si je n’obtiens pas mon virement dans les prochains jours. »

Mickaël lui, vit avec la boule à la gorge. Ce jeune Lillois ne supporte plus le confinement: « Déjà qu’en temps normal c’était compliqué de se voir puisque je suis en couple, là ça va être impossible… et pendant une durée indéterminée, en plus. » Comme nous l’avait expliqué Eric Malerbes, l’incertitude autour de la fin du confinement est une source de peurs et de tensions. « Ce confinement, c’est la fin des 5 à 7. » continue Mickaël, « Mon amante me fait un chantage de dingue. C’est soit un message par jour, soit elle balance mon nom sur les réseaux sociaux. Je m’en sors comment maintenant ? »

Le confinement porte atteinte aux relations extra-conjugales dans leur intégralité et à l’anonymat des personnes infidèles.

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