Un plan B bien monté !
5 mars 2024Célia, 28 ans, revoit un ancien copain du lycée et apprécie le sexe développé de son nouvel amant.
Jeune prof, j’ai tout pour être heureuse. Mon compagnon correspond à mon idéal masculin : un homme viril, 1 m 90, 80 kilos, une gueule d’amour, un torse poilu, de belles cuisses et une queue bien proportionnée. Pourtant, son statut de rugbyman semi-professionnel me le vole peu à peu. Voici mon récit érotique.
Entre les entraînements et les rencontres le week-end, nous nous voyons peu. Certes, il est attentionné; certes, il est doué dans les caresses ; certes, ses coups de reins me transportent. Mais, depuis peu, il y a quelque chose de mécanique dans nos rapports intimes. Quand il rentre tard le soir des entraînements, je suis à moitié endormie, et tout est trop codé : s’il arrive à poil au lit, je sais qu’il finira entre mes cuisses. Par contre, s’il se couche en slip, j’ai le droit de me blottir contre lui, la main posée sur son paquet volumineux, mais pas plus.
S’ajoute à cela que j’ai de plus en plus de mal à le suivre dans ses fêtes où ses potes et lui, surtout, se font constamment mater par les filles. Lors d’une de ces fiestas organisées après une rencontre à Tarbes, j’ai revu un copain de lycée qui me draguait, il y a plusieurs années. Le genre de gars qui, à seize ans, était déjà un de ces petits mecs orgueilleux, sûr de tout savoir sur tout, qui avait un succès certain auprès des filles.
Un sexe développé
Mes copines qui étaient sorties avec lui m’avaient assuré qu’il avait un sexe développé, je dois avouer que j’adore les gros morceaux, je suis gourmande, et ils me rassurent. Mais, à l’époque, malgré ses tentatives, je n’avais jamais craqué. Pourtant, ce soir-là, j’ai été charmée. Il était devenu colonel pompier. Et il était en phase de séparation d’avec sa chérie… Ses yeux bleus m’ont hypnotisée, sa voix m’a envoûtée. Nous nous sommes donné rendez-vous quelques jours plus tard pour reparler du bon vieux temps.
Immédiatement, les choses ont viré au passionnel quand nous nous sommes retrouvés. Nos bouches se sont rejointes, nos langues ont libéré des saveurs fruitées. Il m’a emmenée dans un hôtel, m’a déshabillée, sucé les seins, plaçant sa main sous ma petite culotte noire. J’ai joui. Quand il s’est désapé, j’ai admiré son slip très mâle, avec un large élastique qui moulait son engin et ses couilles, et qui dessinait bien son cul. Je me suis approchée pour lécher le tissu tendu. Son gland en est sorti.
Un plaisir à lécher
J’étais folle de désir face à ce pieu « mythique », je n’avais jamais eu autant de plaisir à lécher un homme. Je ne l’ai même pas branlé, car je voulais exécuter ma mission avec mes lèvres et ma langue. Il sursautait et gémissait, une goutte salée s’est échappée de son gland puissant. Je l’ai supplié pour qu’il me prenne. De toute façon, il avait tout prévu. Il a sorti une capote de sa poche, l’a enfilée avec obscénité et a investi mon vagin. Mais, quelle technique! Il a entrepris des va-et-vient en sortant complètement son pénis chaud de mon trou pour mieux le rentrer ensuite.
La vue de son gros pieu, de son pubis et de son cul me comblait. Puis, il s’est placé au plus profond de mon intimité pour y rester et s’attaquer aux plaisirs du missionnaire. Je n’avais jamais senti aussi bien un dard au fond de moi. Il n’était pas pressé et m’a emmenée lentement vers un autre univers.
Un amant puis un bébé
Aujourd’hui, nous sommes amants. Je continue à avoir des rapports avec mon demi d’ouverture préféré et, de son côté, mon nouveau chéri n’a pas encore osé rompre avec sa compagne. Pourtant, l’autre après-midi, alors qu’il me prenait et que j’entendais ses bourses taper sur mon clito, je lui ai lancé un « Fais-moi un bébé! » et il a répondu « Oh, oui! Écarte encore les cuisses! » Il a éjaculé comme un étalon, j’ai senti les vibrations de sa lance, et il est resté en moi un long moment.
Je voulais lui dire ces quelques mots grâce à votre magazine : ta virilité, ta puissance, ta douceur, ton attention et ton sexe me rendent folle. Je t’aime, mon amour.
(Image à la une : Getty Images)
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« Au début, un de ses copains participait. Ils me faisaient l’amour tous les deux en même temps et toujours sous les yeux des voyeurs cachés. J’adorais, je me sentais salope. Puis, petit à petit, son copain n’est plus venu. » Alice.
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« Comme elle n’est pas contre des caresses buccales, elle m’a gobé pour une pipe d’enfer, pendant que moi, je l’imaginais en train de sucer le voisin. Je n’ai pas osé lui demander ce qu’elle avait fabriqué avec Jean dans la buanderie, mais sa chatte mouillait beaucoup. Il ne m’a pas fallu longtemps pour lui éjaculer dans la bouche. » Daniel.
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Kemi
Comme j’aimerais rencontrer un amant comme ce pompier talentueux ! Chouette, cette histoire !