Histoire d’eau
14 février 2019Carla fait ses ablutions matinales en petite tenue lorsque son colocataire fait irruption dans la salle de bains. La divine demoiselle, chauffée à blanc par son partenaire de jeu, va faire prendre tout son sens au terme salle d’eau. Ô la coquine !
Cela faisait quelques mois que j’avais emménagé dans une colocation avec Maxime. Mon colocataire est un peu plus âgé que moi, il a 30 ans, alors que j’en ai 24. C’est un garçon assez mignon aux cheveux bruns et courts et à la silhouette fine.
Il se trouve que ça faisait aussi plusieurs mois que je n’avais pas baisé, car je m’étais installée en colocation après une rupture et j’avais besoin de me retrouver. Mais mes désirs et mon manque de sexe commençaient clairement à me titiller. Maxime n’était pas spécialement l’homme idéal ni celui dont je rêvais particulièrement. En revanche, sa présence dans l’appartement, sa douceur et le simple fait qu’il soit un homme, provoquaient en moi des palpitations régulières et quelques frissons quand je me disais qu’il était dans la chambre d’à côté et qu’il n’y aurait peut-être qu’à pousser la porte pour me glisser sur lui et faire l’amour.
Je voyais bien que je lui plaisais et que ma présence le troublait aussi. Je m’étais abstenue d’en profiter jusque-là, car je ne voulais pas troubler la paix de notre cohabitation. En même temps, je n’avais pas envie de retourner sur les applications de rencontre tout de suite et j’aimais sentir, dans mon quotidien, qu’il me désirait. Cela avait fini par vraiment m’exciter. Du coup, je me sentais plutôt ouverte à l’idée de l’entreprendre, mais je ne savais pas encore quand.
Un dimanche matin, j’étais dans la salle de bain de notre appartement pour me laver les dents et me préparer. Je portais des sous-vêtements blancs transparents qui me faisaient un joli corps et moulaient bien mes petits seins et mes fesses fermes.
Des jolies coutures et des dentelles couraient sur ma raie des fesses et mes tétons. Je me trouvais jolie et contemplais mes formes dans la salle de bain.
C’est à ce moment-là que j’ai entendu frapper à la porte.
C’était Maxime qui toquait très délicatement pour me demander si j’en avais encore pour longtemps et s’il pouvait venir récupérer sa brosse à dents.
J’étais gênée, mais j’ai subitement eu un éclair de génie.
J’allais le laisser entrer alors que j’étais toujours en petite tenue et on verrait bien où ça nous mènerait…
J’avais envie de le provoquer et d’avoir la preuve qu’il me voulait vraiment. J’ai déverrouillé la porte de la salle d’eau pour le laisser entrer.
Mon colocataire s’est arrêté sur le pas de la porte, l’air interdit. « Entre, on peut se brosser les dents en même temps », ai-je dit en souriant. Intimidé, mais encouragé par mon invitation, il est entré pour s’approcher du lavabo. Il s’est lavé les dents tout en me regardant par en-dessous.
Je l’ai observé, beaucoup plus à l’aise que lui. « Tu t’y prends mal, ce n’est pas comme ça qu’il faut les brosser ! Laisse-moi te montrer. »Je me suis approchée de lui et j’ai pris sa brosse à dents pour lui montrer comment faire de meilleurs mouvements. Tétanisé, Maxime n’osait pas bouger d’un cil.
Comme je me trouvais tout contre lui, je sentais la tension sexuelle dans son corps et entre nous, qui était à son maximum. Je l’ai regardé en souriant. Ma poitrine dans le soutien-gorge transparent était pile sous son nez. Comme je souriais toujours pendant qu’il la regardait, il a approché la main. « Touche si tu as envie. Moi j’ai envie », ai-je murmuré.
Maxime a déplacé la dentelle pour découvrir mon mamelon et la rondeur du sein. Il l’a caressé doucement du bout des doigts, émerveillé par le durcissement du téton et la chair de poule qui le faisait pointer. Il a posé ses lèvres dessus et l’a léché doucement. Ce contact humain après mon long sevrage me faisait l’effet d’une drogue, un shoot puissant d’adrénaline et de plaisir. Mon corps exultait, même avec ce colocataire avec qui il n’était pas très avisé de coucher. Maxime est passé derrière moi pour me prendre dans ses bras.
Il a continué à me caresser la poitrine tout en étant dans mon dos. Il titillait mes tétons, puis il a glissé une main vers ma culotte pour glisser ses doigts à l’intérieur.
Ses mains d’homme et leur contact un peu rugueux ont réveillé ma chatte qui salivait déjà de plaisir. Il a trempé ses doigts dans ma vulve pour les lubrifier et mieux caresser ma fente et mon clitoris.
Le frisson froid et mouillé, associé au décor de la salle de bain m’excitait – car nous avions clairement trop d’excitation pour baiser ailleurs – contribuaient à mon immense plaisir et à mon attente émoustillée.
Maxime était en tee-shirt et caleçon. Dans mon dos, je sentais sa bite très dure dressée contre mon cul. J’ai tendu la main derrière moi pour la toucher. Elle était grosse et bien gonflée, un vrai bonheur ! Je l’ai faite sortir par le petit trou percé du caleçon et elle a rempli ma main de sa longueur veinée et alléchante, son gland fier et dressé vers le ciel.
Sa queue était tellement belle que je me suis agenouillée sur le tapis de bain pour me mettre à la sucer goulûment. Sa peau douce glissait merveilleusement dans ma bouche et son gland avait bon goût.
Je le léchais et le tétais consciencieusement, désireuse de sentir les petits spasmes d’excitation qui agitent une verge bien bandée et désirante. Ça n’a pas loupé et je sentais son sang battre sous mes coups de langue et mes baisers. Son engin s’animait dans ma bouche, il était délicieusement vivant.
Ensuite, Maxime est repassé derrière moi et s’est mis à jouer avec mon string en dentelle en faisant passer sa queue par en-dessous, pour que je sente bien son volume contre mon cul et que je réalise un peu à quelle sauce j’allais être mangée. Ça m’excitait terriblement et ce bâton dur contre mon cul ainsi que ses couilles soyeuses me faisaient mouiller encore davantage. J’étais prête à tout recevoir de ces beaux organes.
Maxime s’est assis sur les toilettes et m’a attirée sur ses genoux. Là, il a écarté mon string pour jouer encore. Il m’a relevée un peu pour que je me trouve cambrée au-dessus de sa queue et il s’est mis à la manipuler pour caresser ma fente et me pénétrer un tout petit peu, histoire d’en élargir l’entrée et de ménager son effet en me faisant attendre un peu. Ma chatte battait elle aussi de désir, se serrait et se desserrait, tressaillait de l’envie irrépressible d’avaler cette belle bite et de la sentir lui remplir le vestibule.
J’ai bougé des fesses pour m’empaler moi-même sur mon nouvel amant. Son sexe a inondé ma chatte de plaisir, l’emplissant d’une sensation que j’avais presque oubliée, fulgurante, jouissive, tellement forte que j’en poussais un cri de plaisir reconnaissant. « Oh oui ça faisait tellement longtemps, tu n’imagines pas comme ça fait du bien ! ». Ma candeur le faisait rire et il en a profité pour accélérer son mouvement en prenant mes hanches pour que je vienne bien m’encastrer sur sa queue.
Je prenais moi aussi mon cul à deux mains pour bien le sentir s’enfoncer entièrement en moi et que je descende sur lui jusqu’à la garde et que je sente sa peau contre la mienne. Ses mains s’étaient déplacées sur mes cuisses qu’il saisissait fermement pour mieux accompagner mon mouvement.
J’étais aux anges, j’oubliais complètement les conséquences potentielles de cette incartade et je me concentrais sur mes sensations. Ensuite, je me suis relevée pour que Maxime vienne me prendre dans une autre position.
J’ai posé un genou sur le rebord de la baignoire pour lui présenter mon cul, fier et désireux de le faire bander. J’étais alors complètement nue et mes cheveux venaient caresser mon dos.
Je ne portais que des pantoufles montantes en matière laineuse. J’étais une invitation à la luxure du dimanche. Mon coloc était lui aussi tout nu et il s’est posté derrière moi, près de la baignoire, pour venir me prendre en levrette. Je sentais son chibre d’une manière encore différente. L’axe n’était pas le même et au lieu de venir se ficher verticalement dans mon sexe, il tapait plus fort et bien au fond de mon vagin, là où je sens une sensation très forte quand on me pénètre profondément.
Je criais de plaisir et mes cris résonnaient dans la pièce carrelée où nous nous réchauffions à la chaleur de nos corps en feu, fous de joie de s’adonner à ces choses dont nous avions sûrement rêvé tous les deux, certains soirs de solitude. Maxime s’est assis à son tour sur le rebord de la baignoire pour m’accueillir sur lui. Il m’a attrapée pour que je vienne m’agripper à son buste et recevoir sa queue d’une nouvelle manière encore, en Amazone. Nos ventres se frottaient, Maxime caressait et embrassait mes seins qui rebondissaient en même temps que je faisais des va-et-vient sur sa queue.
Celle-ci me pilonnait tranquillement et glissait dans l’humidité trempée de mon intimité. Je cambrais le cul à ma guise pour moduler le rythme et les sensations, pour ressentir sa bite plus ou moins fort en moi. Là encore, je m’accrochais à mes cuisses et à mes fesses pour les écarter et le recevoir encore plus fort. Pendant ce temps, je pressais mon sexe contre son ventre pour obtenir une double stimulation de mon vagin et de mon clitoris. Le frottement incendiait mon petit bouton de plaisir et s’ajoutait aux sensations ressenties au plus profond de ma chatte. Sa queue me pilonnait bien agréablement pendant que je dirigeais la pression de ma fente contre lui comme une petite chatte en chaleur.
Puis Maxime m’a fait m’allonger à demi sur le rebord de la baignoire. J’étais nue et totalement exposée à ses assauts, à la fois vulnérable et puissante de mon pouvoir d’attraction et de ma nudité qui le rendait fou.
Maxime s’est agenouillé contre mon sexe et s’est mis à me lécher avec attention. J’écartais les cuisses tant bien que mal et la tension provoquée par l’instabilité de ma position ne faisait qu’accentuer mon exaltation, car je voulais profiter au maximum de ses caresses et emmagasiner ma dose de drogue du plaisir.
Sa langue battait délicieusement contre mon clito, le suçait, le tapotait, le léchait, l’honorait.
Son cuni était divin et je ne tardais pas à laisser l’orgasme qui m’envahissait me
submerger et saisir mon corps avec une grande violence.
J’ai crié et convulsé, savourant les échos du plaisir qui avait embrasé mon sexe à fleur de peau.
Alors, Maxime m’a pénétrée pendant que j’étais encore totalement alanguie sur le rebord de la baignoire et rendue ultrasensible par ma jouissance. Sa bite allait et venait dans mon sexe frémissant de joie et d’abandon. J’aimais sa pénétration appliquée, son alternance entre des coups rudes et des poussées plus douces.
Pendant qu’il me baisait encore, il a caressé mon clitoris avec ses doigts et a allié la précipitation de sa caresse à l’accélération de ses coups de bite. J’ai joui une deuxième fois de manière un peu moins forte mais encore plus délectable, car je me sentais vraiment comme sous l’emprise de substances.
Lui me regardait avec fascination, scrutait le plaisir sur mon visage tout en me branlant jusqu’au spasme final. C’était magique. Pour finir, au comble de l’excitation, Maxime m’a plaquée contre le mur en carrelage.
J’ai relevé une jambe pour la poser sur le radiateur et pour qu’il puisse me prendre à nouveau, car je le voulais encore et je voulais qu’il se vide en moi, qu’il éprouve le même délire que moi juste avant, qu’il jute dans ma chatte ouverte. Il a agrippé ma cuisse pour m’utiliser à sa guise et se mettre à me sauter franchement. Sa queue tapait au fond de moi et la sensation était décuplée par les deux orgasmes que je venais d’avoir.
J’étais tellement sensible que j’ai fini par jouir encore une troisième fois, aidée par mes doigts qui étaient venus me caresser en même temps qu’il me pilonnait.
Ses coups de bite se sont encore accélérés dans un élan final et j’ai enfin senti qu’il lâchait tout.
Il a crié de plaisir et a joui longuement en soufflant dans mon cou tout en répandant sa semence sur mon cul pour parachever son œuvre.
J’avais commencé par sentir la douceur de sa queue contre mes fesses, je terminais par sa substance gluante avec une joie dans le corps qui ne me quitterait pas de la journée.
Notre fusion était telle que nous avons recommencé par la suite, mais je ne sais pas combien de temps nous tiendrons encore car j’aimerais me
taper d’autres mecs que lui, maintenant que j’ai renoué avec ma passion pour le sexe.