Prise la main dans la culotte
17 octobre 2023Clélia est prise sur le fait par son patron ! Cette cochonne se masturbe au bureau ? Son boss va lui montrer comment tomber amoureuse de son job !
Je suis une fervente admiratrice de ce magazine que j’utilise très souvent pour me caresser. Je m’appelle Clélia et voici mon histoire de sexe !
Petits plaisirs en solitaire
Je suis une femme stressée et qui court tout le temps partout. Aussi, j’aime beaucoup m’adonner au plaisir solitaire pour me détendre. L’orgasme que je me donne avec mes doigts me provoque un shoot d’adrénaline qui me permet de me remettre les idées en place. Aussi, un jour, j’ai décidé de me masturber sur mon lieu de travail. Je suis cadre et je dispose d’un bureau que je partage avec mon boss, car je suis son adjointe. Je savais qu’il était en déplacement cet après-midi-là. En plus, je venais de lire des récits érotiques sur votre site et ça m’avait pas mal excitée.
Je lisais une histoire de baise dans la nature qui me provoquait une agréable excitation entre les cuisses. J’avais la tête pleine de choses à penser et de contraintes qui m’embêtaient. J’ai alors glissé une main dans ma culotte pour commencer à me stimuler, après avoir verrouillé la porte. J’y allais doucement, en caressant très légèrement et rapidement à la fois mon clitoris. Je me faisais mouiller, et les picotements du plaisir se diffusaient dans mon sexe pour monter un peu dans mon bassin et me faire remuer des hanches sur ma chaise. J’accélérais ma stimulation en renversant la tête en arrière, quand j’ai entendu un cliquetis de clés venant de la porte.
Prise la main dans… la culotte
C’était mon supérieur qui rentrait ! J’ai immédiatement reboutonné mon pantalon et arrangé ma tenue. En quelques secondes, Patrick s’est retrouvé dans la pièce, le regard posé sur moi. Il ne pouvait pas ne pas remarquer mon teint rouge pivoine ni la page de votre magazine que j’avais laissée ouverte sur mon écran d’ordinateur. « Alors comme ça, on s’enferme à clé en pleine après-midi ? », demanda-t-il avec un sourire goguenard.
Je tentais une explication. « Non euh, je… Je voulais faire quelques exercices de méditation et ne pas être dérangée. » « Avec interstron.ru comme moyen de détente ? », dit-il en se marrant. Je me suis raidie. La situation était vraiment humiliante ! D’autant plus que j’ai un petit secret, c’est que j’en pince pour lui. Il porte de beaux costumes bleu sombre, a des cheveux poivre et sel épais, et un visage charnel que j’aime beaucoup. Je convoque d’ailleurs souvent son image quand je me caresse. S’il savait !
À ma grande surprise, j’ai vu que Patrick était excité. Il me fixait, regardait mes jambes et l’endroit de mon corps que je venais de stimuler en secret, l’air rêveur. L’air était chargé de tension sexuelle. « Si tu veux continuer, ne te gênes pas… ». Il restait planté devant moi, sourire aux lèvres. Et, bizarrement, je n’avais plus peur. Nos regards se rencontraient et j’y voyais ce que je ressentais moi-même : une gêne teintée d’envie. J’ai pris mon courage à deux mains, car je ne voulais pas me laisser impressionner. Sans le quitter des yeux, j’ai fait descendre ma main dans ma culotte à nouveau pour la faire bouger sur mon sexe.
Un patron voyeur ?
Patrick me regardait, comme hypnotisé. Il fixait ma main, ma bouche entrouverte, mon air de défi. Il a verrouillé la porte à son tour. C’était délicieux de sentir son regard et d’imaginer qu’il allait me toucher, tout en frottant moi-même mon propre sexe humide de désir.
Puis, toujours posté en face de moi, tout en me fixant, il a sorti sa magnifique queue de son pantalon de costume. Elle était tendue, gonflée et veinée dans sa main. Cette vision n’a fait qu’accentuer mon délire. J’ai accéléré à nouveau la stimulation de mon sexe en soupirant et en prenant un air très lascif, que je ne simulais pas du tout, car j’étais vraiment comme envoûtée. Patrick se branlait de concert avec moi, passant sa belle main sur son membre fier, le caressant avec attention, puis l’empoignant fermement pour l’agiter dans sa paume et le rendre le plus gros possible sous mon regard de convoitise.
Cette situation était invraisemblable et pourtant, elle se passait sous mes yeux. Mon patron que je désirais tant me désirait lui aussi et nous étions en train de se caresser sous les yeux l’un de l’autre ! Il a fini par s’approcher de moi, alors que j’étais toujours assise sur ma chaise de travail à me caresser. « Tu permets ? », dit-il doucement. Je retirai ma main de ma culotte pour lui laisser la place. Sa paume était chaude sur mon corps et son contact renforçait les vagues de plaisir qui agitaient déjà mon bas-ventre.
Il m’a aidée à baisser mon pantalon et à dégager mon sexe. Il s’est alors mis à copier mes gestes, qu’il venait d’observer avec attention, et à me branler du bout de ses doigts. Ceux-ci étaient posés sur mon clito et frottaient ma chair, provoquant des décharges sensuelles qui irradiaient mon sexe.
Branlette mutuelle
De son autre main, il a mis un doigt recourbé dans ma chatte et s’est mis à l’agiter sur la paroi supérieure de mon vagin. Je sentais ce raclement exquis et profond qui me trempait de mouille et ses autres doigts qui frottaient le haut de ma fente délicieusement. Je gémissais sous sa caresse. J’ai à mon tour pris sa queue entre mes mains pour la branler en essayant de le faire tel que je l’avais regardé faire sous mes yeux.
Nous nous sommes regardés à nouveau en nous branlant mutuellement. Il avait maintenant trois doigts qui me labouraient le sexe et faisaient jaillir des sensations intenses et méconnues dans mon antre. Pendant qu’il s’activait toujours sur mon clito. Moi, j’avais les deux mains sur sa tige, que je prenais, malaxais, astiquais, sans le quitter des yeux. Nous nous sommes aussi regardés en jouissant. Son sperme a giclé sur mes mains, et j’ai moi-même un peu éjaculé, les cuisses écartées et le bassin en avant, sur ma chaise.
C’était une des choses les plus intimes que j’ai pu partager avec quelqu’un. Enfin, après cette scène si érotique, nous nous sommes embrassés passionnément sur mon bureau. Notre petit jeu avait levé le voile qui recouvrait nos envies. Nous n’avons pas tenu longtemps après. Au bout d’une heure on a tenté de se remettre au boulot, Patrick s’est rapproché de moi et nous avons baisé comme des fous sur ma table. Il m’a prise avec fermeté. Je pouvais enfin sentir sa queue me travailler à son tour et me fourrer de son volume délicieux. Depuis, je suis partie en vacances avec mon mari et je n’ai qu’une hâte, retourner au boulot !
(Photo à la une : Getty Images)
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