J’te l’ai mise sur le tatami
15 juillet 2020Stéphanie, 32 ans, pratique le judo. Son coach Lucas la pousse toujours plus loin, jusqu’au jour où les limites vont être dépassées…
Salut c’est Stéphanie, aide soignante et je voulais partager cette histoire de sexe. Le boulot est hardos donc j’ai commencé le judo il y a six mois pour ne pas péter un câble.
J’ai adoré dès le début. Et puis mon prof, Lucas, s’est mis à me pousser de plus en plus. Il disait que j’avais du potentiel mais que je n’osais pas lâcher ma force. Mais moi, je ne me voyais pas comme forte. Je mesure 1,60m pour 46 kilos, cheveux blonds très courts et on me donne plus la vingtaine que mes vrais 32 ans. Lucas, c’est tout le contraire. Métis d’1,87m, 100 kilos, que du muscle. Un jour, j’ai réussi à le choper par le kimono lors d’un exercice et j’ai vu tout son torse. J’ai halluciné comme il était marqué au niveau des pecs et des abdos.
Je crois que c’est là que j’ai commencé à le kiffer. Je pensais trop à lui et ça m’énervait. Et il continuait à me pousser, à me pousser, encore… Il me foutait en binôme toujours avec des mecs baraqués, ou il me demandait des enchaînements de dingue… Franchement, il m’en faisait faire plus qu’à tous les autres. Un soir, j’ai refusé de me mettre avec le gros bourrin de service. Lucas m’a balancé que ça n’était pas moi la boss. J’ai croisé les bras et j’ai dit : « Et alors, tu vas faire quoi ? » Il m’a répondu : « Attends la fin du cours ».
A la fin, il a renvoyé tout le monde sauf moi. Il avait l’air grave fâché, mais je n’ai pas lâché d’excuses, rien. Lui, il s’est juste planté devant moi. Les genoux fléchis, il a remonté ses manches et j’ai été obligée de faire pareil, sinon, je risquais de me faire mettre au tapis en cinq secondes. MDR, ça en a pris le double. Lucas m’a balayée direct et il m’a plaquée au sol. J’étais sous lui, le visage à dix centimètres du sien. J’ai essayé de le repousser de toutes mes forces. Mais j’étais coincée. Il a rigolé : « Alors, c’est qui le boss ? » J’ai lâché un cri de rage et j’ai encore essayé. J’avais envie de lui faire mal. Il s’est penché encore plus sur moi. Nos lèvres se touchaient presque. C’est moi qui l’ai embrassé la première. Un petit smack de timide. Il me l’a rendu. J’ai refait, lui aussi. Et là, on s’est roulés une grosse pelle.
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On a tourné par terre, lui dessus, puis moi, en s’embrassant avec la langue. J’ai défait sa ceinture et j’ai pu enfin profiter de son torse. Je l’ai embrassé et touché, c’était comme dans mes rêves. Lui qui me faisait limite peur, il était devenu tout gentil. Il m’a demandé la permission pour me déshabiller. J’ai dit oui. Il a ouvert mon kimono, s’est mis entre mes jambes et il a commencé à me lécher avec le plat de la langue. J’ai plaqué mes mains sur sa tête. Quand il a rentré sa langue, j’ai été obligée de lui planter les ongles dans les épaules. C’était trop. J’avais encore plus envie de lui que le jour où je lui avais ouvert la veste. Là, je voulais tout, tout !
Je lui ai attrapé la nuque et je l’ai obligé à me regarder, puis je me suis servie de mes cuisses pour le faire basculer sur le dos. Il a essayé de me résister mais cette fois, j’ai utilisé sa force pour le déstabiliser. On a lutté une minute et il a fini sur le dos. J’étais beaucoup plus légère et rapide que lui. J’ai fini sur lui, les jambes écartées et le kimono qui me tombait des épaules. Le sien était aussi débraillé et son pantalon était baissé. J’ai sorti complètement sa bite. Elle était veineuse avec les poils élagués et franchement, dans ma main, elle avait l’air grave grosse.
Je me suis bien assise sur les cuisses musclées de Lucas et j’ai plaqué sa queue contre ma chatte. J’ai senti son gland sur mon clito et j’ai penché la tête en arrière. En me cambrant bien, je pouvais le branler et me faire du bien en même temps… Alors je me suis servie de sa teub pour me masturber… Entre les lèvres, contre le clito… C’était super bon de voir mon prof, le gros costaud plaqué au sol, qui me demandait de serrer les doigts plus fort et qui se frottait contre ma chatte en faisant des vagues avec ses reins ! Ça montait pour moi aussi, ça montait… À un moment, j’ai arrêté de le branler et j’ai juste fait des va-et-vient sur mon clit’ avec son gland, en baissant la tête pour bien voir. Il était tout rose et il tapait bien sur mon bouton super gonflé. J’ai secoué, secoué encore et je me suis donnée un orgasme de folie. En me voyant ouvrir des grands yeux, Lucas a compris. Il a attrapé ma main et a pressé super fort… Son jus est parti tout d’un coup contre ma teuch. MDR, on s’est retrouvés collés, avec ma chatte qui faisait des bruits de ventouse contre la peau de ses couilles.
On est restés allongés dans les bras l’un de l’autre pendant un moment et ensuite, il a fallu nettoyer les dégâts avec les kimonos. Maintenant, je prends des cours particuliers avec Lucas (de judo et de câlins).