Sexy babysitting

La rédaction 18 janvier 2024

Étudiant à Londres, Boris, 24 ans se fait embaucher en tant que baby sitter. Sa sulfureuse employeuse va lui donner un pourboire pas comme les autres dont il se souviendra.

Hello, si je pose sur le papier cette histoire de sexe , c’est pour ne jamais oublier ce moment magique survenu lors de mon séjour universitaire à Londres, il y a bientôt deux ans.

Après un mois à courir entre les cours sur le campus décentralisé de mon école de commerce et les changements d’auberge de jeunesse, j’étais enfin installé. Une petite chambre près de Camden Town, mais suffisante pour moi.

Il était temps de trouver un petit job. Je me rendais chaque jour dans un cyber café pour postuler et tombais finalement sur cette annonce : « Cherche jeune homme avec expérience pour babysitting dans famille sérieuse. Très bonne rémunération ». Je n’avais jamais gardé d’enfants mais le coté bonne rémunération m’attira directement. Quelques jours plus tard, je me retrouvai devant une immense maison typique de la capitale. Le contraste avec ma petite chambre était saisissant.

Malgré le mensonge sur mon expérience, le job en lui-même ne me posait aucun problème. Mes patrons, un couple fortuné, aimait que ses jumeaux soient gardés par un jeune français bien sous tous rapports. J’arrivais toujours vers 19h. L’employée de maison servait le dîner puis nous regardions un dessin animé avec les jumeaux. A 21h, quand l’employée était partie, je les couchais puis je n’avais plus qu’à attendre sagement le retour des parents, tout en rêvant dans la maison de luxe.

Je m’imaginais vivre ici et bavais d’envie devant les costumes de Monsieur. Je me permettais même de fouiner un peu. Un soir, après avoir essayé ses montres de luxe bien rangées dans son dressing, me vint l’envie de fouiller dans la garde-robe de ma patronne. Cette femme était toujours élégante, jamais vulgaire mais sexy… Elle devait avoir une quarantaine d’années, ne parlait pas un mot de français et me regardait toujours avec un air sec, qui contrastait avec sa longue chevelure rousse et sa poitrine bombée.

Je savais que toucher ses affaires serait un affront, mais cela m’excitait fortement. En plus des tailleurs et des belles robes, je découvris de la lingerie haut de gamme et totalement affriolante. Après ce soir-là, je retournais plusieurs fois dans le dressing, à humer et toucher la dentelle de Madame.

Il faut savoir que si mes boss tardaient un peu trop, j’avais droit à un pourboire et leur chauffeur me déposait à Camden. Mais quelques temps après le début de mes explorations satinées, tout ne se passa pas comme prévu. Il était deux heures du matin quand la porte s’ouvrit et que le couple pénétra dans le salon. J’étais assoupi dans un fauteuil. Rachel, ma patronne, se tenait dans l’entrebâillement de la porte et me fixait. Son mari pesta. Il n’avait plus assez de cash pour le pourboire. Sans prévenir, Rachel lui ordonna d’aller se coucher d’un ton sec. Elle avait du liquide dans son bureau. Le mari s’exécuta sur le champ, à ma grande surprise car c’était un homme de caractère. J’étais à présent seul avec Rachel. Petit à petit, son regard descendit le long de mon corps (je m’étais levé) puis bloqua au niveau de mon sexe.

Un instant plus tard, elle m’attrapa au niveau de la ceinture et m’entraîna dans le couloir, direction son bureau. Là, elle me plaqua sur un fauteuil. J’étais choqué autant qu’excité. Son mari pouvait revenir tout moment et nous surprendre… Au final, cela rendait la scène encore plus sexuelle !

Tout en continuant de me fixer, Rachel déboutonna lentement sa chemise, laissant apparaitre sa belle poitrine laiteuse avec des taches de rousseur. Ses seins étaient contraints par un soutien-gorge noir pigeonnant que je reconnu bien… Voyant mon regard lubrique, elle me lança sèchement : « C’est ça que tu voulais ? » Sans doute n’avais-je pas été assez soigneux en couvrant mes traces dans son dressing…

Je me laissai guider par cette patronne autoritaire. Elle prit mes mains et les plaça sur ses gros seins puis je sentis ses doigts qui entrèrent dans mon pantalon pour me caresser. Je bandais de plus en plus, cela devenait presque insoutenable… J’avais à présent les seins de Rachel au bout de mes lèvres, ses tétons roses pointant au contact de mes dents. J’osai glisser ma main entre les pans de sa robe. A ma grande surprise, elle n’avait pas de culotte. Ses lèvres se firent vite humides au contact de mes doigts, mais ma patronne n’avait toujours pas dit un seul mot. Elle prit mon autre main et porta mon index à sa bouche pour lécher mes doigts. Son rythme m’indiqua la cadence à suivre et le nombre à enfoncer.

Au troisième, elle se pencha vers moi et commença à gémir. Puis d’un mouvement sec, elle dégrafa sa robe et se retrouva en bas noirs et soutien-gorge devant moi. Elle se mit ensuite à genoux et fit glisser mon pantalon et caleçon le long de mes jambes. Quand elle saisit fermement ma queue et me suça tout doucement le gland, je fermai les yeux. Son autre main glissa le long de mes boules, qu’elle saisit fermement.

Cette pression me fit mal mais Rachel alterna douceur et fermeté, pressions et caresses. Ses lèvres s’ourlaient sur mon sexe, pour plaisir jamais égalé avec les filles de mon âge. Elle sentait la pression monter en moi et jouait avec, son expérience faisait de moi un cobaye. Elle me tenait à présent presque entièrement dans sa bouche et je devais lutter pour me contenir. Sentant ça, elle enfourna mon sexe encore plus loin, gobant tout, y compris mes couilles qu’elle avait si bien malaxées. Je jouis à gros jets, tandis que ma patronne me fixait droit dans les yeux. Puis elle se rhabilla et, sans un mot, prit son téléphone pour convoquer le chauffeur devant la maison.

L’aventure entre nous a continué jusqu’à la mutation de son mari à l’étranger, des mois plus tard. Et elle est allée encore plus loin. Mais je garde ça pour un prochain courrier…

A LIRE AUSSI : 

Le baby-sitting parfait

L’inconnu du métro Londonien 

Matin bonheur

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru