29 ans et toujours puceau 

La rédaction 10 juin 2021

Tom a 29 ans et est toujours puceaux. Désespéré, il trouve son salut avec Stella rencontré au Yoga qui va l’initier aux plaisirs de la chair.

À 29 ans, j’étais désespéré car j’étais toujours puceau. Je connaissais bien la théorie, j’avais arpenté tous les sites possibles, mais je n’avais jamais été plus loin. Heureusement, j’ai fini par trouver du réconfort dans les bras d’une femme qui m’a accepté tel que j’étais et à qui j’ai pu en parler.  Il s’agit de Stella, une fille un peu plus âgée que moi, belle brune bien en chair, avec qui j’étais en cours de yoga. Voici notre histoire porno.

Nous devions souvent nous mettre deux par deux pour faire des exercices et systématiquement, elle se campait devant moi pour proposer sa personne. J’avais l’air de l’intriguer. Elle était super douce et à l’écoute, si bien que j’en ai été amené à lui faire des confidences. Un jour, je lui ai avoué mon plus grand secret. Elle m’a dit : « Tu vas galérer avec les meufs si tu restes puceau. Je vais faire une bonne action et je vais t’aider. Rejoins-moi ce soir chez moi vers 20 heures et je vais te montrer le corps de la femme. »”

J’y suis allé en trépignant, mais aussi en étant mort de trouille. Elle m’a ouvert et on s’est direct installés dans sa chambre. Elle a d’abord enlevé le haut et j’ai découvert ses seins, lourds, volumineux, sublimes… Elle m’a laissé les toucher et j’étais émerveillé par leur beauté et leur douceur. Elle s’est allongée sur le lit et m’a laissé regarder sous sa jupe en prenant son temps. Elle l’a soulevée petit à petit le long de ses hanches pour me révéler progressivement son entrejambe. Elle portait un petit string que je voyais disparaître dans la raie de son cul. Elle a joué avec en le frottant contre sa chatte et en le décalant sur le côté pour me donner un peu de peau à voir.

C’était le choc pour moi de voir en vrai une vraie chatte, le rose, le pourpre, le froissé des lèvres ! Elle m’a montré le clitoris. J’étais tellement heureux qu’elle puisse mettre fin à mon ignorance d’une manière aussi ludique. Elle m’a laissé lui enlever son string et elle s’est mise à se caresser sous sa jupe pour me montrer les mouvements qu’elle faisait sur son clito pour se faire du bien. Elle m’a invité à prendre le relai et, avec timidité, je me suis mis à caresser doucement cette petite boule d’amour qui innerve l’intérieur du vagin. Elle m’a tenu la main pour que j’enfonce un doigt en elle et elle m’a guidé pour que je touche l’endroit qui lui donnait le plus de plaisir à l’intérieur.

J’étais un apprenti attentif et appliqué et, à mon plus grand étonnement, elle s’est mise à montrer des signes d’excitation. Je frottais ou appuyais plus fort et plus longtemps quand je sentais que ce que je lui faisais lui plaisait. Quand je mettais un doigt en elle, je sentais le muscle du périnée remonter et m’enserrer. Je voyais tout son corps s’éveiller et je n’en perdais pas une miette. En contre-plongée, je pouvais voir la rondeur de ses seins, le pli sensuel sous la grosseur de la poitrine, le détail de son sexe. Elle aimait que je la regarde et elle s’est mise complètement nue pour que j’admire les détails de sa chatte. Les lèvres étaient fines et roses, fascinantes.

C’était déjà beaucoup pour moi et le trouble me traversait dans tout mon corps. « Tu es doux, j’ai envie de toi moi aussi, tu sais », a murmuré Stella. Elle m’a aidé à me déshabiller et j’ai approché mon sexe d’elle. Ma bite a rencontré le creux de sa vulve et elle m’a montré comme me frotter doucement contre elle dans une caresse-friction qui est si belle à ressentir et à regarder ! J’ai touché sa chatte avec mon gland puis ma tige, frottant doucement tout contre elle pendant qu’elle aussi caressait mon gland avec sa main et s’excitait en frottant son clito contre ma bite.

Elle m’a proposé gentiment d’entrer en elle. Pour ma part, j’étais chaud bouillant, mais aussi très intimidé, alors j’attendais ses instructions. Elle avait l’air d’aimer ma patience. Ma bite est entrée précautionneusement dans sa minette et elle s’est cambrée. « Ah oui, je te sens bien, ta bite est bien, vas-y plus fort ! » J’ai accéléré tout en découvrant le choc sensoriel de la pénétration… J’étais au-dessus d’elle et je voyais son corps s’agiter et me prendre en elle… Comment j’avais pu me passer de ça pendant toutes ces années ? Elle s’offrait à moi dans une générosité sans limites et moi, je prenais le shoot de plaisir, fugace mais débordant, propre à ce genre de moment tout en admirant la forme de son buste, de ses hanches et de ses seins. Elle est passée à quatre pattes et je suis entré de ce côté-là.

Avec la vue plongeante sur ses fesses, c’était encore plus ouf ! Je lui ai dit que je ne tiendrais pas longtemps et quelques allers-retours ont suffi, plus efficaces que la plus rythmée des branlettes, à me faire jouir dans un orgasme que je n’avais encore jamais connu : celui qui naît du plaisir provoqué par l’autre. Son cul bougeait au gré de mes pénétrations et c’était la plus belle des créatures. Elle s’est remise sur le dos et s’est fait jouir en se branlant et en me montrant comment elle faisait. Son corps s’est tendu dans la violence du plaisir et j’ai photographié son orgasme.

Je suis ressorti de cet événement tout étourdi et rempli d’une immense joie. Merci à Stella, qui m’a autorisé à partager ce récit et ces photos avec vous pour inciter d’autres personnes à apprendre ou à initier au plaisir !

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