NO PAIN, NO GAIN
14 août 2022Géraldine comme comme toutes les femmes du quartier sont sous le charme de Gaultier, le mari de Cassie. Ce dernier baisera Géraldine à l’absence de sa femme…
Bonjour moi c’est Géraldine, voici mon histoire érotique. Mariée, maman comblée de deux enfants, j’ai déménagé dans un quartier superbe de la Cote d’Azur il y a quelques mois, à la suite d’une promotion professionnelle offerte à mon mari.
J’aime beaucoup notre nouvelle vie remplie de soleil, de bons cocktails et de rendez-vous chez les voisins, beaucoup plus accueillants et chaleureux que dans notre précédente vie, à Paris.
Des voisins de qualité
Je me suis d’ailleurs vite retrouvé une meilleure amie, Cassie, chez qui j’ai pris l’habitude d’aller boire le thé le samedi après-midi. Ce samedi-là, pourtant, rien ne s’est passé comme prévu ! Je suis tombé sur Gaultier, son mari, qui se musclait le torse avec des poids près de la piscine. Ce beau brun faisait tourner toutes les têtes des voisines, on l’appelait entre nous, et dans le dos de Cassie « Mister Sexy ».
Et il méritait sont titre ! Je me suis approché de lui sur la pointe des pieds, en admirant la puissance de ses bras. « Tu n’aurais pas vu Cassie, Gaultier ? Elle n’est pas dans la cuisine. » ai-je alors demandé, d’une petite voix naïve. Le pauvre s’est mis à sursauter en balbutiant que Cassie était sortie pour aller rejoindre sa mère, un problème familial de dernière minute. Elle avait certainement oublié de me prévenir, elle peut être parfois très tête en l’air.
Il m’a regardé avec un regard attendrissant, manifestement très peiné que je me sois déplacée pour rien. « Tu veux m’accompagner dans ma séance de sport ? » a-t-il alors avancé, avec, je l’aurai parié, un petit sourire coquin. Je me suis alors approchée de lui, sensuellement, et j’ai passé une main sur ses pectoraux que je sentais durs et bien bandés.
Cassie m’aurait tuée si elle avait su que j’étais en train de flirter outrageusement avec son homme. Mais comme Gaultier avait un air de panique qui lui a traversé le regard, j’ai su qu’il ne dirait rien. Cassie avait un tempérament de feu, nous savions l’un comme l’autre qu’on ne pouvait pas aborder tous les sujets de conversation avec elle.
Après un moment d’hésitation dû à la folie dans laquelle je souhaitais l’embarquer, Gaultier a finalement répondu à mes avances, en prenant ma main dans la sienne et en accompagnant mes gestes. Ainsi, il faisait se promener ma main sur ses tétons, ses abdos, ses avant-bras. Il avait une sensualité étonnante, que je ne lui aurai jamais soupçonnée derrière ses airs de bourrin. Une tendresse qui lui avait certainement servi à séduire la belle Cassie.
Pour lui montrer que j’avais moi aussi des arguments convaincants, j’ai osé tirer sur mon haut de décolleté pour lui présenter la courbure de mes deux jolis seins. L’animal a fourré directement son nez dedans dans une inspiration sonore et très ostentatoire « Hhhmmm… ça sent la femelle en rut, tout ça ! » Il n’avait pas tort, j’avais très envie de passer aux choses sérieuses.
Surtout que je ne savais pas à quel moment Cassie allait revenir de chez sa mère et j’imaginais bien que sa vengeance serait terrible si elle me découvrait dans les bras de son mari. Sentant mon impatience, Gaultier m’a invitée à rentrer à l’intérieur, à l’abri des regards curieux des voisins qui auraient certainement pu nous trahir au prochain barbecue. Je me frottais à lui doucement, sa peau si douce, si ferme, était électrique.
Et bien plus attirante que celle de mon mari ! Il m’a fait m’asseoir sur l’accoudoir du canapé et, avec ses dents, a retiré lentement ma petite culotte sous ma jupe. Je sentais le coton me caresser les cuisses, puis les mollets. Puis il a envoyé valdinguer le sous-vêtement à quelques mètres de nous.
Un cunnilingus sensuel
« Tu es à moi, maintenant ! » s’est-il écrié, très fier. Il a relevé ma jupe près de mes hanches et s’est lancé dans un cunnilingus très sensuel. D’abord sa petite langue ; elle se faisait très timide, elle caressait doucement mes lèvres, agaçait mon clitoris bien dur, choyait mon trou du vagin.
Puis, il s’est mis à laper frénétiquement, dans de grands coups de langue, et j’ai commencé à gémir de plaisir sans aucune retenue. « Oh oui ! Gaultier ! C’est si bon de sentir tes lèvres ! Qu’est-ce que tu me bouffes bien ! Oui, continue, s’il-te-plaît ! » Ah si tous les hommes pouvaient être aussi attentionnés que Gaultier, il y aurait beaucoup moins de femmes frustrées dans le monde.
Après m’avoir fait fleurter avec l’orgasme, il s’est relevé brusquement. « C’est mon tour ! » a alors annoncé Gaultier en faisant tomber son pantalon sur ses chevilles. Le coquin ne portait pas de caleçon, et j’ai découvert un sexe de taille hors norme. Aussi impressionnant que sa musculature ! J’ai décidé de ne pas faire la fine bouche et je l’ai avalé tout de go jusqu’à l’entrée de ma gorge.
Ce n’est pas mon mari qui m’aurait à ce point-là déformé les babines. Avec Gaultier, toute ma mâchoire était en travail et je sentais mes joues s’étirer selon les aller et venue de son gland bien épais. Je ne pouvais pas retenir une partie de ma bave qui était maintenant en train de lubrifier son sol.
« Elle serait contente Cassie de nettoyer tout ça ! » ai-je pensé en me rappelant son côté maniaque. J’ai levé les yeux vers le visage de Gaultier, tête en arrière, des mèches de cheveux recouvraient ses yeux. Il mettait sa main sur mon épaule pour témoigner son plaisir et sa reconnaissance. Ça m’a rendue fière !
C’était le bon moment pour finir de le foutre à poil sur le canapé tout en continuant à le sucer. Maintenant à quatre pattes au-dessus de lui, ma chatte était en libre accès pour que ses doigts puissent me fouiller. C’était délicieux de me sentir à la fois en pleine puissance en lui aspirant le zgeg et en même temps de succomber à l’expertise de sa main.
Doigts ou bite ?
« Est-ce que je peux remplacer mes doigts par mon sexe ? » Gaultier me suppliait maintenant de me baiser, il devait vraiment être à cran. Il m’a alors prise en cuillère, une position idéale pour laisser à mes doigts le loisir de me toucher le clito’. Sa bite, toujours aussi dure, bandante au possible, écartelait maintenant mes chairs qui n’avaient jamais connu un membre aussi gros. Quel plaisir de se sentir à ce point-là emplie.
Ma Cassie devait vraiment bien prendre son pied, avec son mari, je comprends pourquoi elle faisait tout pour l’éloigner de la concurrence !
Je me suis ensuite assise sur lui, à califourchon. J’avais l’impression d’être une reine sur son trône, je contrôlais les mouvements, les emboitements, les virages. Gaultier en a profité pour m’insérer un doigt dans le cul ! Un petit bonus dans les sensations ! Ça m’a très vite fait décoller, j’étais à la fois écartelée par sa grosse bite et je sentais son petit doigt me titiller l’anus de la façon la plus délicieuse qui soit.
J’étais littéralement au bord de l’orgasme. Je l’aidais à m’explorer les tréfonds du cul en tirant comme je pouvais sur mes fesses, pour le laisser entrer en moi. C’était trop bon ! Gaultier gémissait très fort sous mon corps, j’ai senti qu’il était lui aussi en train de décoller, en train de perdre pied.
Puis, il m’a allongée sur le canapé en me disant : « Je n’en peux plus Déborah, je vais te gicler dessus ». J’ai relevé bien haut les jambes et je l’ai laissé faire ses derniers allers-retours en moi. Il me pilonnait comme un forcené, tête baissée, concentré sur ses à-coups. Moi j’ai serré mes deux nichons l’un contre l’autre, je sais que les hommes aiment bien voir ces deux mamelles gonflées à bloc, ça les excite.
Alors, dans un grand « Aaaah » il a sorti, in extremis, son sexe énorme de ma chatte, avant de répandre tout le liquide sur mes deux gros seins. Il avait une quantité de sperme impressionnante, ses deux couilles devaient être bien pleines ! Baisait-il encore régulièrement avec Cassie ?
Est-ce qu’il arrivait à se vider à sa guise auprès de sa petite femme ? Je n’en savais rien… mais quelque part, s’il trouvait un soulagement auprès de sa voisine préférée, de mon côté, j’étais ravie de lui servir de déversoir !
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