Couples démultipliés

La rédaction 14 septembre 2025

Théo, 43 ans, Marne-la-Coquette

Voici mon histoire de sexe amateur. Cristina, ma maîtresse une semaine par an, est aussi blonde que ma moitié est brune. D’origine lituanienne, c’est la meilleure amie de mon épouse, la conjointe d’Erwan qui, de son côté, est l’amant … de ma compagne. Je ne vous fais pas un dessin, lisez le témoignage de Claudia dans la rubrique « femme » du magazine que vous tenez entre les mains, vous comprendrez.

Des vacances caliente

Donc, neuf jours par an, je pars avec Cristina ! Entre sa blondeur, sa beauté et ses formes qu’elle dénude au maximum, en particulier ses seins et ses fesses sublimes, c’est un incendie ambulant et elle me fout le feu où vous pensez, je l’admets volontiers. Et elle ne se contente pas de déclencher des brasiers, elle les entretient, elle souffle sur les braises, mais finit toujours par les éteindre avec, au choix, sa bouche, sa chatte ou son cul ! Cette femme venue du froid est une vraie gourmande ! Contrairement à ma dame et à son amant, nous avons opté pour le train et la côte Adriatique. C’est là que Cristina a planté sa première banderille. Après m’avoir montré ses fabuleux nichons en abaissant le décolleté de sa robe, elle a retiré sa culotte et m’a invité à la baiser dans les toilettes ! Étroit, certes, mais cela booste l’imagination et crée des positions originales, dont un soixante-neuf debout, la sublime blonde soutenue par moi, la tête en bas, ma queue au fond de la bouche !

Nous nous sommes rafraîchis et avons terminé notre trajet en pouffant devant les regards réprobateurs des autres voyageurs qui nous avaient apparemment entendus. Sur la route de notre location, pour m’encourager à porter nos sacs et tirer nos valises sur les vieux pavés italiens, Cristina m’a gâté en me dévoilant ici ses seins, là son cul ou bien encore sa chatte, accroupie sur le rebord d’un trottoir et pissant en riant et en me visant avec son jet surpuissant ! Enfin arrivés, j’étais en nage. Mon amante, très attentionnée envers moi, m’a guidé vers la douche et m’a savonné tout le corps. Ses mains étaient si douces, si sensuelles, elle m’a lavé puis rincé avant de me tailler une des meilleures pipes de ma vie. Elle a avalé mon sperme et a de nouveau uriné sous l’eau avant que nous ne nous séchions et partions dîner en ville.

Imaginez-vous en train de promener un lion en plein Paris, et bien c’est l’impression que j’ai toujours lorsque je me balade avec Cristina au bras, sauf que je suis le seul à savoir qu’elle ne porte rien sous sa robe, ni soutien-gorge, ni culotte, juste … un peu de parfum, celui de sa chatte qui coule de désir, cette mouille fluide qui sent si bon et dont je ne me lasse pas.

Le chemin de retour fut souvent long, entre l’étape fellation, celle de l’exhibition ou du doigtage de ses deux orifices ou bien encore … et oui, celle d’un pissou, cette femme a une petite vessie décidément. Une fois rentrés dans notre nid douillet, enfin à l’abri des regards indiscrets, c’est immédiatement à poil et en mode totalement ouverte sur le canapé. Vous l’aurez compris, Cristina n’est pas du genre « mère la pudeur ». Une douce pensée pour Claudia, ma dulcinée, qui devait être exactement dans la même position ou pas loin. Cette image, en plus de Cristina que se branlait à grand renfort de doigts et de grognements femelles, m’a fait bander comme un taureau. Mon amante a une chatte inouïe, un bulbe entièrement épilé, très gonflé qui s’élargit sur une fleur exubérante avec des grandes et des petites lèvres très fournies, une espèce de fraise que j’aime à aspirer à pleine bouche ! Dès que je lui mange le minou, elle crie, elle me couvre de cyprine et joui en émettant plus de liquide que je ne peux en avaler.

Après cet orgasme, sa passion pour la pipe l’a portée à venir m’offrir une turlutte. Elle me pompe dans toutes les positions possibles avant de se donner à moi, ses cuisses de danseuses classiques quasiment en grand écart, ce qui a comme conséquence immédiate de faire s’ouvrir tous ses orifices. Je n’ai alors plus qu’à choisir celui que je vais pénétrer en premier. Le soir inaugural, je lui fais toujours l’anus en primeur, elle adore la sodomie et moi … sic ! Elle se met à se tortiller, posant un doigt mutin sur sa lèvre inférieure et libère toutes les paroles crues qu’elle connaît en français au moment de l’orgasme. Elle est infatigable, levrette, debout, sur un pied, accrochée à moi, en missionnaire, elle n’a de cesse que je la prenne encore et encore, par le cul, par la chatte, dans sa bouche. Elle jouit une fois, deux fois, une infinité de fois et me demande de lui cracher mon foutre partout sur ou dans ses orifices.

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