Marie et Henri : le sexe comme meilleur remède anti-stress

La rédaction 12 décembre 2025

Marie et Henri vivent en Île-de-France et travaillent tous les deux dans le secteur public. Leurs relations sexuelles sont si intenses et les demandes (venant de tous les deux) sont telles qu’ils ne tarderont pas à se lancer dans les relations libertines. Le couple évolue dans cet univers sous le pseudonyme de sexeaddict77. Ouvert à de nombreux jeux et de nombreux plaisirs, la bisexualité (aussi bien féminine que masculine) fait partie de leurs pratiques recherchées. Adeptes des soirées décontractées, ils apprécient les rencontres sans prise de tête où sexe, humour et simplicité restent les meilleurs ingrédients pour passer une belle soirée.

Le sexe ? Une véritable addiction pour vous deux ? 

Marie : Oui, complètement. C’est quelque chose que nous pratiquons quotidiennement, que ce soit en couple ou dans des soirées libertines. C’est un vrai besoin ! Si jamais on ne peut pas avoir de relations sexuelles, dès le deuxième jour, on se sent tendu, avec le sentiment qu’il nous manque vraiment quelque chose.

Comment le libertinage s’est-il glissé dans votre couple ?

Henri : Avant de rencontrer Marie, j’avais déjà testé quelques soirées. Mon rêve était de trouver une personne avec qui je pourrais réaliser tous mes fantasmes. Avec Marie, très vite, j’ai su qu’elle serait la partenaire idéale, mais j’ai pris tout mon temps pour ne pas la brusquer et lui faire part de mes désirs sexuels.

M. : Quant à moi, je ne connaissais rien de ce milieu et des pratiques libertines. Il a fallu que je regarde dans le dictionnaire pour comprendre leur définition. Et puis, et puis… Au bout d’un an, on a vécu notre premier trio et depuis 9 ans, on progresse encore, on se découvre de nouveaux fantasmes de nouveaux désirs qu’on cherche à réaliser.

Vos plaisirs préférés en ce moment ?

H. : Voir Marie se faire prendre par d’autres hommes. Mais en règle générale, je ne tarde pas à venir les rejoindre pour participer. 

M. : Sucer plusieurs queues qui vont finir par arroser mes seins. J’adore… 

La bisexualité masculine ?

H. : C’est arrivé, un peu par hasard, au cours d’une soirée plutôt débridée où tout le monde était très excité. Je me suis mis à sucer un homme, le plus naturellement du monde.

M. : De mon côté, j’ai adoré voir Henri avec une queue dans la bouche. Cela m’a beaucoup excitée.

Et aujourd’hui ?

H. : Pour mon plus grand plaisir, et aussi pour celui de Marie, j’ai continué à explorer cet univers de la bisexualité masculine. J’ai découvert le plaisir anal, la jouissance du point P.

Pensez-vous que dans les milieux libertins, la bisexualité masculine est aussi bien acceptée que la bisexualité féminine ?

H. : Non, pas du tout ! On dit souvent que le libertinage est pratiqué par des personnes ouvertes d’esprit, mais dès qu’on évoque l’idée de la bisexualité masculine, on ressent un certain froid quand ce n’est pas du rejet. Ça choque toujours, même dans ce milieu. Il arrive qu’à cause de ma bisexualité, certains couples libertins refusent de jouer avec nous. La majorité des hommes fantasment sur la bisexualité féminine, mais il est hors de question pour eux d’aborder celle des hommes, d’aborder leur propre bisexualité. Et pourtant… elle est source de tellement de plaisirs différents et intenses. La jouissance anale est bien une réalité.

M. : Les femmes, quant à elles, peuvent être très excitées à l’idée que leur compagnon ait des relations sexuelles avec un autre homme, certaines rêvent de les voir au moins essayer. Au cours des soirées, elles sont nombreuses à venir me voir pour me demander comment je vis la bisexualité d’Henri. Et quand il y a deux hommes bi en action, elles aiment beaucoup regarder, nous avons pu le constater à plusieurs reprises.

Un peu d’hypocrisie dans ce refus de la bisexualité masculine ? 

H. : Complètement ! Il y a des hommes qui s’affichent comme purement hétéro, mais qui sont bi, pas du tout assumés, et qui refusent surtout que leur femme puisse découvrir leur personnalité réelle. Pourtant, quand on rencontre ces hommes en trio, ils adorent que Marie les sodomise avec un god-ceinture et se régalent de sucer ma queue. Et croyez-moi, ils sont nombreux et ils en redemandent ! 

Que représente le libertinage pour vous ?

H. : C’est une parenthèse de plaisir et de désir hors du temps dans un vie où on court tout le temps.

M. : Pour moi, ce sont des sensations sexuelles inédites, des images gravées qu’on évoque ensuite quand on se retrouve tous les deux, des situations où je me lâche sans réfléchir contrairement à ma nature, la sensation de plaire, de séduire et d’exciter les hommes. Un réel épanouissement pour nous deux ! 

Marie et Henri sont en quête de couples pour qui, comme eux, la bisexualité masculine n’est pas un tabou, mais une source de grande excitation permettant de varier les jeux. N’hésitez pas à les contacter : [email protected] 

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