Second souffle

La rédaction 25 juin 2020

Florence, 69 ans.

Jeune veuve, je ne pratique plus les plaisirs de la chair depuis la mort de mon mari. Un ami, assez porté sur la chose, m’a glissée votre revue dans ma boîte aux lettres, pensant qu’elle pourrait m’intéresser, notamment une histoire de sexe. Curieuse, j’ai voulu la lire, et je reconnais que cela m’a pas mal excitée. Les scénarios, les lieux insolites… mais comment arrive-t-il tout cela à vos lecteurs ? Ce fut comme un électrochoc. J’ai alors décidé d’être plus attentive aux regards des hommes, mais aussi de porter des tenues plus suggestives que mes éternels jeans. Un matin, je suis partie seule, sans en parler à personne (et surtout pas à ma fille !), à la recherche de tenues plus sexy. J’ai craqué pour une jupe courte en daim avec une fermeture sur le devant, une paire de bottes et un haut assez transparent. La question restait de savoir quand j’allais bien pouvoir les porter, et en particulier sans que je sois vue par les miens… L’occasion s’est finalement présentée quelques jours plus tard, lorsque le plombier est arrivé pour s’occuper de ma cuisine. Je l’ai accueilli puis lui ai donné quelques consignes, avant de m’isoler dans ma chambre en le laissant à sa besogne.

Je décidai alors d’essayer les vêtements achetés quelques jours plus tôt, et m’observai dans le miroir. C’est le moment que choisit le plombier pour m’appeler depuis la cuisine et, sans réfléchir, je sortis pour voir de quoi il avait besoin. Il sembla scotché, mais n’en dit rien, me posant simplement deux ou trois questions sur son travail. Je retournai dans ma chambre en riant de l’effet produit sur ce jeune homme, qui semblait tétanisé. Je décidai alors de garder ces vêtements, tout en allant le voir de temps en temps pour lui demander s’il n’avait besoin de rien. Je voyais sa tenue de travail gonfler, il devait certainement avoir la trique. Toujours sans rien laisser paraître, il m’indiqua que ma canalisation était bouchée et, voulant savoir s’il devait la déboucher, m’incita à m’accroupir pour mieux voir.

Au moment où je lui disais qu’effectivement, il devrait s’occuper des canalisations, je sentis sa main sur l’intérieur d’une de mes jambes. Qu’allait-il faire ? Je ne dis rien, et le laissai glisser doucement sa main. Jusqu’où irait-il ? Sa main arriva au niveau de mon entrejambe, et je sentis ses doigts écarter lentement mon string avant de me pénétrer. « Tu aimes ? » me demanda-t-il. De la tête, je lui fis signe que oui. Après un certain temps, je pus alors constater qu’il avait sorti son membre et le tenais en main. Il m’incita à me mettre à genoux, et j’eu une vision parfaite de sa queue gonflée de désir. Il guida ma tête jusqu’à lui : « lèche-là ». Un peu maladroite au début, il m’aida et, tout doucement, je commençai à le sucer, tout en m’aidant de mes mains pour accroître ses sensations. Ses mots étaient doux, l’envie de sexe revenait et je pris mon temps. Puis, il me leva, m’adossa à la table et me retourna. Je sentais son engin sur mes cuisses tandis qu’il m’embrassait le cou.

Mes lèvres étaient trempées par l’excitation. N’y tenant plus, je fis un mouvement du bassin dans sa direction, pour l’inciter à me pénétrer. Il ne se fit pas prier et, d’un coup, je l’ai senti en moi : c’était tellement bon ! Je perdis tout contrôle, l’incitant à me limer encore plus fort. « Vas-y, bouge, lâche-toi, tu ne risques rien : je suis trop vieille pour avoir un enfant. Fais-moi du bien ! ». Et le jeune homme se mit à bouger, d’abord lentement puis de plus en plus vite, tout en me tenant par les hanches. C’était extra. Je le sentis se tendre avant de jouir en moi, me faisant venir avec lui. Après ce moment de volupté, je lui fis la bise, lui disant à demain. Et durant les 4 jours qui suivirent, nous fîmes l’amour avec passion. Nous prîmes aussi le temps de parler durant ses pauses café et, tout en me complimentant, il me dit avoir des amis qui aimeraient me connaître. Je vais y réfléchir, mais pourquoi pas, le soir, lorsque personne ne peut voir les allées et venues de mes invités ?

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La veuve très joyeuse

« Quelques minutes plus tard, c’était reparti, elle en voulait plus, elle réclamait une pénétration anale. Je n’avais jamais fait ça avant, alors elle s’est mise à quatre pattes et a guidé ma bite qui avait immédiatement regonflé à cette proposition. Je l’ai pénétrée avec précaution, elle hurlait de joie, je n’ai pas mis longtemps à remplir une nouvelle capote en lui disant que si elle le voulait, je pouvais la baiser jusqu’à minuit. » Jérémy, 30 ans.

Le fantasme de l’hôtesse

« Elle s’est retrouvée à poil en dix secondes, et les mecs aussi. Elle branlait l’un, suçait l’autre pendant que le proprio la prenait en levrette. Elle gueulait tellement c’était bon. Quant à moi, je jouais le voyeur. Ma récompense arriverait après. Elle s’est retrouvée couverte de sperme et l’un des gars lui a lancé un défi : se mettre le levier de vitesses dans la foune, et elle l’a fait ! Quelle salope ! » Michel, 49 ans.

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