À 70 ans, Patrick garde la trique
11 août 2020Patrick, 70 ans, se retrouve en soirée libertine. Il va permettre à une femme d’accomplir son ultime fantasme : un plan à 3 avec 2 hommes pour elle.
Je vous écris pour vous raconter la toute dernière histoire de sexe de ma vie érotique. Mes 70 ans ne m’empêchent pas d’en vivre encore de belles ! Malgré mon âge, je porte beau, j’ai toujours une belle chevelure et je plais à ces dames.
Récemment, j’ai même été invité par une amie à une soirée libertine chez un particulier. Coins câlins, lumières tamisées, couples, plus tous jeunes, dansant joue contre joue… L’ambiance était émoustillante. Je m’étais habillé entièrement en noir et je parcourais les pièces du bel appartement en fumant une cigarette. C’est là que je suis tombé sur un couple, la soixantaine, dont la femme était particulièrement alléchante. Elle m’a regardé de loin et a lancé un coup d’œil entendu à son mari.
La dame était assise sur les genoux du monsieur. Tandis qu’elle lui caressait le torse à travers sa chemise, il pelotait son large cul, engoncé dans une jupe en cuir. L’homme a fait pivoter sa femme face à moi. Il a passé les mains autour d’elle et a déboutonné son chemisier en me regardant pour me faire découvrir sa poitrine. Elle avait de beaux seins pleins, qui remplissaient un joli soutien-gorge de dentelle ! C’était une très belle femme. Le couple, visiblement très complice, me fixait. La dame s’appelait Colette. Elle m’a dit : « Tu veux toucher ? Vas-y ! » Je me suis approché et j’ai caressé son sein du bout des doigts. « Tu veux qu’il te touche ma chérie ? » a demandé l’homme, qui s’appelait Denis. Elle a acquiescé sans me quitter des yeux.
Alors qu’elle était toujours assise sur son époux, celui-ci a remonté tant bien que mal sa jupe sur ses hanches, découvrant ses porte-jarretelles et son absence de culotte, sa fente humide. Elle était à califourchon sur lui, mais dos à son visage et, pendant qu’il tenait sa jupe remontée, il m’invitait à explorer sa chatte tandis que sa belle écartait largement les cuisses de part et d’autre de ses genoux. Comme une bête à quatre jambes. Nous étions dans un coin sombre d’une chambre et j’avais bien envie de me laisser tenter. J’ai caressé l’entrejambe humide et poilue. Le mari mordillait le cou de Colette et son oreille, la serrait contre lui par la taille pendant que, penché sur elle, je cherchais son clitoris pour le stimuler tout en la doigtant de temps à autre. La femme gémissait.
J’ai compris que son homme voulait réaliser un de ses fantasmes, qu’elle ait deux beaux mâles pour s’occuper d’elle. Denis s’est relevé et lui a bandé les yeux. Colette était désormais assise à sa place sur la chaise. Nous devions nous occuper d’elle sans qu’elle ne sache plus quelle queue ni quelle main appartenait à qui. Elle assise, nous à la hauteur de son visage, nous avons sorti nos sexes qu’elle s’est mise à branler ensemble, puis à sucer tour à tour. Ses mains et sa bouche coulissaient délicieusement sur nous. J’étais heureux d’avoir trouvé d’aussi excitants partenaires de jeux ! Colette crachait sur nos glands et répandait le liquide avec sa bouche qui nous tétait assidûment, un coup l’un, un coup l’autre. Je bandais très fort et j’étais heureux, à 70 ans, d’aider à réaliser le fantasme d’une femme libérée.
Celle-ci s’est à son tour soumise à nos caresses. Nos quatre mains étaient partout. L’homme l’a allongée sur la moquette pour plonger sa tête entre ses cuisses afin de la lécher. Elle le tenait par les cheveux tout en se faisant ainsi caresser. Je me suis accroupi sur sa tête pour qu’elle continue de me sucer. Elle gémissait tout en me faisant sa pipe et j’adorais les vibrations de sa bouche sur mon pieu. Je lui baisais la bouche, jusqu’à ce que son mari la retourne sur la moquette et la prenne, tête face au sol. Colette criait de plaisir pendant qu’il labourait sa chatte dans un claquement répété. Les jolies mains de Colette tenaient la moquette sous l’intensité de la baise. Quelle vision incroyable ! L’homme désirant et beau, la femme en feu, la puissance de leur coït. J’étais un voyeur heureux… et actif ! « Je vous veux tous les deux », a-t-elle exigé, toujours au sol, les yeux bandés. Elle s’est mise à quatre pattes et j’ai recommencé à lui baiser la bouche pendant que Denis la prenait en levrette.
Chacun de ses mouvements augmentait la caresse de sa bouche. Je voyais son corps bouger, son cul trembler et se faire prendre, ses porte-jarretelles danser sur ses cuisses et ses seins trembloter dans leur gaine de dentelle. Elle était bandante, mon Dieu ! Ce genre de moment méritait bien qu’on vive vieux. Colette s’est mise à se branler le clito d’un doigt pendant que Denis donnait tout derrière elle et qu’elle-même rendait ses derniers efforts en m’aspirant la bite. Puis elle a joui en se branlant très fort et elle a lâché ma queue en criant son plaisir pendant que j’éjaculais sur sa bouche et son menton. Elle en avait partout, la coquine ! Quelle avidité !
Quand elle a enlevé son bandeau, elle m’a vu et m’a dit qu’elle avait bien senti qu’il s’agissait là, dans sa bouche, d’une bite différente de celle de son mari. C’est seulement alors que nous avons fait connaissance au sens le plus communément admis du terme et nous sommes tous les trois devenus amis.
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Gilbert
Hummmm toutes mes félicitations. J’aimerais bien vivre cette expérience. J’ai 58ans de l’île de la Réinterstron.ru et très ouvert à tous. Bravo à vous trois. Gilbert