Angèle en gel

La rédaction 24 janvier 2025

Anicet et moi travaillons dans une société pharmaceutique qui développe une gamme complète de produits sexy, dont une ligne de lubrifiants intimes. Il n’est pas toujours facile d’aborder le sujet avec les clients que nous sommes amenés à rencontrer en binôme, aussi l’humour a souvent notre préférence pour présenter nos tubes de gel. Mais rien ne vaut un passage au banc d’essais ! Nous formions Angèle et plaisantions en jouant avec le lub , et c’est elle qui nous a proposé de passer aux travaux pratiques ! Voici notre histoire de sexe amateur.

travaux pratiques à trois

J’ai suggéré une séance sexe-photo et nous sommes allés dans la maison de mes parents. Angèle s’est foutue à poil en une seconde chrono, ne prenant même pas le temps d’ôter ses chaussettes et s’est ruée sur nos queues. Nos pénis étaient un peu similaires avec Anicet, longs et fins avec un gland bien dessiné, le sien émergeait d’une touffe rousse contrairement à mon pubis, presque entièrement rasé. J’ai pris des clichés avec mon téléphone, les autres avec mon boîtier en mode automatique sur le trépied ! Angèle était une affamée de la bite et une experte en pipe ! Elle nous a filé une trique d’enfer à Anicet et moi, nous pompant alternativement, branlant celui dont elle ne s’occupait pas avec la bouche. Elle a d’ailleurs continué tout en nous demandant de la prendre à tour de rôle.

C’est Anicet qui a « pris » le premier tour, installant notre amante commune en levrette et lui administrant une fessée très sèche qui a claqué l’air de la chambre ! Angèle mouillait sévèrement, sa cyprine sentait fort, une liqueur de vraie brune qui venait chatouiller mes naseaux alors qu’elle me travaillait toujours le gland et les couilles avec ses lèvres affamées. Elle n’avait clairement pas besoin qu’on lui lubrifie le con, malgré tout, les travaux pratiques ayant été le prétexte à cette partie fine, elle s’est tartiné la fente avec un gel retardateur d’éjaculation ! La longue pine d’Anicet s’est alors enfoncée, l’onguent se répartissant sur son gland et sa hampe qui a disparu toute entière dans le vagin visiblement étroit à l’extrême. Je ne pensais vraiment pas que son frêle gabarit lui permette de libérer la puissance à laquelle j’ai assisté !

Les mains sur les haches de la belle brune, ses hanches se sont mises à danser frénétiquement, la tige de chair sortant et entrant en rythme, martelant la vulve qui encaissait sans broncher, seuls les gémissements d’Angèle donnaient une idée du déchaînement qui se déroulait plus bas, elle a fermé les yeux, serré très fort ma queue et est partie dans un orgasme qui lui a déchiré les cordes vocales. Cette fille, assez banale au demeurant, recélait une énergie sexuelle hors du commun, son minou dégoulinait de son jus et de lubrifiant, elle s’est tournée vers moi et m’a demandé de la baiser fort tandis qu’elle attirait Anicet à califourchon au-dessus de sa poitrine pour le sucer à nouveau, prenant garde à bien lécher ses mucosités parfumées sur toute la hampe gonflée.

Partie à trois et sodomie

J’ai, à mon tour, donné tout ce que j’avais pour porter Angèle a un second orgasme, mon bassin claquait fort sur ses fesses, je voyais son trou du cul s’épanouir de plus en plus, j’ai tenté d’y poser un pouce, rien, aucune réaction négative, j’ai alors enfoncé la pulpe du doigt et ai forcé doucement l’anneau. L’intérieur du sphincter était soyeux, très lisse et ne présentait aucune résistance à la pénétration, le gel et la cyprine aidant, je me suis retrouvé avec mes phalanges totalement fichées dans l’anus apprivoisé. Elle s’est mise à couiner et à remuer dans tous les sens, puis ses jambes ont été prises de tremblement et elle a joui comme je n’ai jamais vu jouir une femme !

La suite n’a été qu’un échange de partenaires, Anicet et moi nous relayant entre les cuisses de notre amante commune, elle nous a épuisés, nos glands étaient rougis tant nous la limions comme des forcenés, heureusement le lubrifiant était là et il nous a bien été utile quand elle nous a offert le Graal que nous attendions secrètement : la sodomiser. Nous y sommes allés doucement, mais cette porte avait visiblement l’habitude d’être empruntée, nos pieux lui ont perforé l’œillet avec facilité, Angèle appréciait réellement de se faire enculer, j’ai fini par demandé si une double lui ferait plaisir, elle a accepté avec enthousiasme ! Nous n’avions jamais croisé femme avec un tel appétit sexuel et qui voyait, dans cette activité surmenée et intime des corps, une activité aussi physique que réjouissante !

Nous avons juté quasi en même temps, Anicet dans sa chatte, moi dans son cul !

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