Belle des champs
3 novembre 2024Vincent, 47 ans, Montpellier fait une rencontre en plein champ des plus agréable. La voisine vient à sa rencontre et lui offre une fellation.
J’ai rencontré Caro un après-midi. Elle est la fille de mes voisins, entre vingt et vingt-cinq ans, je ne connais pas son âge exact. Avec elle, j’ai partagé une histoire de sexe amateur que j’aimerais vous partager.
Un cadeau de la voisine
J’étais en train de débroussailler le champ au-dessus de chez moi lorsqu’elle s’est approchée avec un verre d’eau fraîche et nous avons discuté. J’étais en sueur, torse nu, elle m’a dit que je devais avoir chaud et elle a glissé sa main sur mon torse. Il ne m’en a pas fallu plus pour bander. Cela n’a pas échappé à Caro qui s’est accroupie immédiatement devant moi pour ouvrir ma braguette et extraire ma pine de mon slip ! J’ai voulu l’en empêcher, j’étais à la fois gêné et bouleversé par cette jeune beauté. L’excitation a pris le dessus, j’ai fini par me laisser faire.
Alors que je déplaçais mon portable qui me gênait dans ma poche, la belle a minaudé que « c’était son kiff, que je pouvais prendre des photos, que ça l’excitait grave ! » et qu’elle pourrait les montrer aux copines à la rentrée. Je n’y avais pas pensé, mais j’ai bandé de plus belle et elle a retiré ses lunettes pour mieux s’enfoncer ma queue au fond de la gorge, le nez blotti dans mon nombril. Pas farouche la môme … et expérimentée visiblement !
Caro salivait puis aspirait tout, créant un anneau de fraîcheur autour de ma bite. Elle enfouissait tout très loin en elle, ressortait la hampe pour jouer avec mon gland, stoppait son pompage pour me branler tout en me regardant dans les yeux pour me demander si j’aimais ça ou pour me dire que je pouvais éjaculer dans sa bouche, qu’elle adorait le goût du « sper-sper » en général. Non seulement je me suis fait tailler une des meilleures pipes de ma vie, mais en plus j’ai appris du vocabulaire de djeuns !
Cela dit, pas le temps de m’appesantir sur le côté pédagogique de cette fellation, Caro y allait bon train, balançant sa tête d’avant en arrière en accélérant le rythme ainsi que la pression de ses lèvres qui chatouillaient mon scrotum, frôlaient ma colonne ou l’enserraient en fonction de son bon vouloir. Sa technique de virtuose était telle, malgré son jeune âge, qu’elle a réussi à me faire monter, monter, monter à plusieurs reprises puis redescendre aussitôt et elle a recommencé ce petit manège, digne des pires montagnes russes, un nombre de fois hallucinant !
Une jeune amante gourmande
Entre la chaleur et l’inconfort de notre couche improvisée, j’étais à l’agonie. Ma queue était raide à n’en plus pouvoir, je ne débandais pas, mais je n’arrivais pas à jouir non plus. Le sourire mi-excité, mi-goguenard de cette amante providentielle me faisait pencher tantôt vers le lâcher-prise, tantôt vers l’envie de lui administrer une correction qu’elle ne serait pas près d’oublier. C’était sans compter son appétit pour le sexe et toutes ses déviances.
Je lui ai filé une bonne fessée, n’en pouvant plus de ce choix cornélien. Non seulement elle a ri, mais elle a tortillé son joli petit cul tout en mettant ses beaux nibards bien pleins à l’air ! Deux grosses poires veloutées et à l’arrondi oblongue comme j’aime. Je n’ai eu qu’à allonger mon bras et ma main est venue enserrer un de ces délicieux globes charnus. La mamelle était lourde, dense, pleine, elle bougeait au rythme du taillage réglementaire en cours.
Elle-même se les prenait à pleine main, invitation muette à ce que j’en fasse autant, que je les pelote, que je les malaxe, que je les malmène. Plus je les pétrissais dans mes mains nerveuses, plus Caro gémissait et me pompait avec toujours plus d’entrain. Plus je les pressais, plus elle aventurait ses doigts sur mes couilles, le long de ma raie ou dans son jean dont elle avait défait le zip. À travers les crans de la fermeture éclair, je pouvais voir la pilosité d’une broussaille encore drue et juvénile.
Je n’ai humé l’odeur de sa chatte en chaleur qu’un peu plus tard, lorsqu’elle s’est départie de son pantalon. La touffe pubienne était en effet bien garnie, la fente vaginale, plus sombre que je ne l’aurais cru, brillait d’une mouille aux volutes d’épices et d’océan primordial. Caro tortillait son petit cul pour finir de se mettre à poil tout en continuant de m’avaler le chibre sur toute sa longueur.
Je n’ai pas eu le temps de prévenir, lorsqu’elle s’est glissé un doigt dans la chatte mon foutre est parti tout seul, deux ou trois giclées puissantes qui ont empli la bouche de cette jeune femme aux talents sexuels déjà bien affirmés. Elle m’a de nouveau fixé, a ouvert les lèvres afin de me montrer la flaque de sperme qui stagnait autour de sa langue, puis elle a dégluti, buvant toute ma semence avec un sourire carnivore qui me donne encore des frissons aujourd’hui ! Je l’ai baisée tout l’été, la dépucelant même du petit trou …
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