Une pêche bien juteuse
20 août 2020Samuel, 41 ans, est accro à Anna, sa belle blonde pulpeuse. Il l’emmène camper au bord d’un lac pour profiter d’elle et de son cul au maximum.
Retrouvez ici toutes nos histoires de sexe.
J’ai aimé Anna tout de suite, le jour où je l’ai rencontrée chez des amis. Elle a eu raison de mes habitudes de célibataire, ma belle aux formes généreuses ! Son cul, surtout, m’a fasciné : dodu et lisse comme une pêche. J’adore aussi son mignon minois aux yeux très clairs, encadré de belles boucles blondes… Mais notre vie sexuelle a mis un moment à décoller. Voici comment j’ai franchi la montagne de la timidité qui nous séparait. Je suis à l’aise avec le cul (comprendre : j’adore ça). Mais Anna, elle, était beaucoup plus réservée, complexée même par son corps voluptueux.
La faute sans doute aux pubs montrant des brindilles sans intérêt, mais auxquelles les femmes veulent ressembler… Pour briser la glace (nous étions alors ensemble depuis deux mois), j’ai amené Anna là où je me sens le mieux : dans les Pyrénées, où je fais souvent de la randonnée, pour une semaine de vacances sous le doux soleil de juin. Le deuxième jour, après avoir crapahuté comme des dingues, nous avons bivouaqué au bord d’un lac dominant la vallée. Là, la température est enfin montée.
Il devait être autour de 16 h et la chaleur était encore bien présente. Notre tente était dressée et Anna, suite à l’effort de la marche et de notre installation, était en sueur.
Son tee-shirt blanc lui collait à la poitrine, dessinant ses gros nichons à la perfection. Son short kaki lui faisait un cul de rêve, encore plus rond et appétissant qu’à l’accoutumée. Quant à sa bouche gourmande, elle perlait de gouttes salées. Alors, moi aussi, j’ai dressé la tente : allongé dans l’herbe à côté de ma chérie, j’ai baissé mon short et j’ai laissé une belle gaule hisser les voiles sous le soleil !
J’ai fermé les yeux et penché la tête en arrière, profitant de l’instant. On n’entendait que le léger clapotis du lac et la respiration haletante d’Anna. Mais je savais qu’elle ne reprenait pas son souffle : c’était ma queue qui la mettait dans cet état. Les yeux toujours clos, j’ai senti qu’elle se penchait vers mon entrejambe qui s’offrait à elle. Sa bouche tremblante est alors venue se poser sur mon gland… puis sur le milieu de ma tige… et elle m’a avalé tout entier ! J’ai gémi, enchanté de cette ardeur soudaine. Quelle pipe, mes amis ! Un mélange de mordillage, de pompage et de caresses de roustons à en devenir fou. J’ai passé mes mains dans les boucles folles de mon adorée. Elle était en nage et ça n’allait pas s’arranger.
BOUTIQUE SEXY – SÉLECTION interstron.ru
Après m’avoir pompé au maximum, je l’ai écartée gentiment puis je l’ai incitée à se déshabiller. J’ai également fait tomber mes sapes et, nus comme la nature, nous avons plongé dans l’eau du lac. Elle était fraîche et légère. Nous étions enchantés comme deux gamins, libres et fous de désir.
Quand je me suis rapproché d’Anna, ma bite a durci de nouveau. On aurait dit Vénus sortant des eaux. Je l’ai retournée pour admirer les gouttelettes roulant le long de son gros cul juteux. La tête me tournait, tellement elle était appétissante… Je me suis accroupis dans l’eau et j’ai plongé le nez dans cette sphère parfaite, dégustant son petit trou moelleux.
Mes doigts ont ensuite pris le relais de ma langue. Anna, tremblante de plaisir, a crié tandis que mon index se glissait en elle. Ma verge a gonflé de plus belle… L’eau, la sueur et le plaisir ont été le parfait mélange lubrifiant : en quelques minutes, j’ai pu enfoncer deux doigts dans le cul de ma blonde. J’ai travaillé Anna plusieurs minutes, puis je me suis redressé et je l’ai serrée contre moi. Mon gland s’est mis à palpiter au contact de ses fesses et quand elle a murmuré : « Prends-moi », je n’ai eu qu’à le coller contre son œil serré… Il a été comme aspiré. Là, à moitié immergé dans le lac, j’ai lentement sodomisé ma chérie. Elle gémissait sans retenue, le soleil illuminant ses formes et faisant fondre ses complexes.
Agrippé à son derche géant, j’ai alors accéléré le rythme. Les minutes s’égrenaient et j’avais la sensation que mon sexe gonflait de plus en plus… Une impression confirmée par Anna, qui a couiné : « Chéri, elle est trop grosse… Tu vas me faire jouir ! » Chaud comme jamais, j’ai tout donné, assénant les derniers coups de boutoir à ce cul prodigieux. C’est là que ma blonde a joui dans un hurlement, retombant à quatre pattes dans l’eau. J’en ai profité pour l’attraper par les hanches et imprimer une dernière saillie. Mon sperme a jailli, les lampées étant immédiatement avalées par le tréfonds d’Anna. Une bouche n’aurait pas mieux fait !
Depuis, c’est la love story totale : un an de sexe et de passion. Mon Anna, ton cul est mon Everest et mon cœur est tout à toi !