Cornes … de gazelle
25 octobre 2025
Cocue, mais pas vaincue ! Mon mari a cru qu’il pouvait visser des cornes sur sa gazelle, fort bien, qu’il reçoive ici les ruades adultérines de son épouse infortunée ! Voici mon histoire de sexe érotique.
le bras armé de ma vengeance
Joël, un ami commun, n’a pas été difficile à convaincre, en vérité, il n’attendait que cela ! Dès notre première rencontre, j’ai su que je ne le laissais pas indifférent. Lorsque j’ai surpris son regard posé sur mon décolleté, j’ai bien compris qu’il voyait en moi une possible amante. Vous auriez vu sa tête lorsque je lui ai dit que je savais pour toi et que … je savais qu’il savait. Le décroché de sa mâchoire quand j’ai rajouté qu’il serait le bras armé de ma vengeance, il n’a plus rien pigé. Nous étions chez lui et il m’a regardée, incrédule, me dénuder lentement, vêtement après vêtement, jusqu’à me retrouver dans le plus simple appareil, attendant qu’il se décide à faire quelque chose. Comme il était statufié, j’ai pris l’initiative en m’agenouillant devant lui et je l’ai déshabillé en entreprenant de sortir sa queue, un long tube déjà en parfaite érection et, bonne surprise, totalement épilé.
J’ai pris l’objet de ma convoitise en bouche juste après avoir demandé à Joël de bien vouloir me prendre en photo en pleine action, je désirais des preuves tangibles de mon « forfait » ! Encore plus excité par ma requête que par la pipe en cours, il s’est rué sur son portable et a commencé à me mitrailler. Sa bite était vraiment plus longue que celle de mon mari, toute droite et presque fraîche. Je me suis régalée à l’avaler aussi loin que je le pouvais et, malgré ma poitrine plutôt menue, je l’ai invité à venir loger son bel engin entre mes seins pour une branlette espagnole. La fellation est une de mes pratiques favorites et Joël semblait apprécier mes talents de tailleuse de pipe, mais il voulait me goûter également. Quelle femme refuserait un cunnilingus ? Je lui ai donc offert ma chatte, allongée, les jambes écartées, mes doigts faisant saillir mon clito et allant visiter en caresses circulaires mes orifices déjà trempés de mouille.
Il s’est appliqué. Avec lenteur, il est venu déposer des baisers sur ma vulve, je l’entendais respirer avec force, son regard allant de mes seins bandés à mon visage envahi par le désir pour finir sur mon sexe et mon anus que je lui offrais sans compter. Il n’a d’ailleurs pas rechigné lorsque je lui ai demandé de descendre sur mon petit trou, laissant même pénétrer sa langue dans mon petit puits serré.
Partie adultère
Enfin, il a pris la direction des opérations. Il a écarté mes jambes et les a remontées le plus haut possible. J’ai senti ma fleur s’épanouir à cet instant, puis, au seul contact de son gland, j’ai été électrisé, cela faisait bien quinze ans que je n’avais pas goûté aux délices d’une autre queue que celle de mon félon de mari. Joël m’a fixé, comme s’il me demandait une dernière fois l’autorisation pour commettre l’irréparable. Je l’ai saisi par les hanches et l’ai attiré vers moi, son pieu s’enfonçant, par la même, au plus profond de mon vagin dilaté de désir. Ma cyprine a allégrement lubrifié la pénétration de toute la colonne de chair, son dard effilé allait loin en moi et venait titiller mon col, quelle sensation ! Cette fois-ci, Joël était lancé et plus rien ne le stoppait dans son désir de moi. Ses doigts se sont aventurés sur mes seins, ma bouche, il me donnait à sucer son pouce, j’ai adoré cela, puis il l’a dirigé vers mon anus, j’ai fait « oui » de la tête et il a logé son doigt dans mon sphincter avant de lui imprimer des gestes circulaires qui m’ont fait totalement décoller.
Il me burinait à fond. Svelte, sa silhouette ne m’écrasait pas comme celle de mon époux, je penchais la tête pour mieux voir son dard entrer et sortir frénétiquement de ma chatte. Il s’est alors enquis de savoir si j’aimais la levrette et, sans un mot, je me suis retournée pour lui donner satisfaction. Sa bite allait encore plus loin en moi, surtout lorsque je cambrais les reins. Un vrai bonheur ce Joël, excellent choix ! Son pouce a repris le chemin de mon petit trou. Je lui ai annoncé qu’il pouvait me la mettre là aussi, il y a eu un léger temps d’arrêt, je l’imaginais, derrière moi, en train de se demander s’il avait bien entendu ce que je venais de dire. J’ai souligné mon assentiment en saisissant mes petites fesses à pleines mains et j’ai poussé sur mon anus, aussitôt, Joël est sorti de moi et a enfilé sa longue tige dans mon orifice ténu. J’ai glissé deux doigts dans mon vagin et me suis touché le clitoris avec mon pouce. La sodomie a pris une allure de chevauchée fantastique et j’ai joui dans un cri libérateur. Joël s’est masturbé au-dessus de moi et a éjaculé un sperme brûlant sur mon ventre, un sourire béat aux lèvres.
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