Duo, définition et moitié de quatuor !
11 septembre 2025Claudia, 38 ans, Marne-la-Coquette
Les vacances c’est fait pour se reposer, bronzer, profiter de la vie, se baigner et … baiser ! Enfin, c’est ma conception de la chose ! Voici mon histoire de sexe amateur. La première semaine de mes congés d’été, depuis cinq ans maintenant, je pars non pas avec Théo, mon mari, mais avec Erwan, le compagnon de Cristina qui, elle, part avec Théo. Vous n’avez rien compris ? Je résume, nous sommes deux couples, je pars avec le mec de ma meilleure amie et elle, avec mon époux ! Bizarre, me direz-vous ? Bien au contraire, lorsque nous nous réunissons tous, l’amour est au rendez-vous et, côté libido, tout le monde est au max ! Cette année, nous avons introduit deux nouveautés, on a pris des photos de nos exploits sexuels et, surtout, nous écrivons notre aventure avec Théo.
Voyage et échange
Cela a commencé dès le vol Paris-Nice, Erwan était intenable, j’ai dû le branler discrètement sur son siège tant il bandait dur. Vous auriez vu ma tête quand j’ai été me laver les mains pleines de sperme aux toilettes, j’avais l’impression que tout l’avion me dévisageait, d’autant que lorsqu’Erwan gicle, c’est toujours l’inondation. Dès la porte de notre chambre d’hôtel, les doigts puissants de mon amant ont relevé ma jupe et baissé ma culotte. J’ai fait mine de protester pour la forme, mais j’avais une furieuse envie qu’il me prenne là, debout, à la hussarde. Je n’ai pas été déçue, malgré son éjaculation toute récente, le beau celte m’a pénétrée d’un grand coup de sabre ! Sa bite était dure comme du marbre et brûlante, tel un fer rougi. Ma chatte était trempée depuis notre descente d’avion, ma fente s’est écartée, mon vagin s’est dilaté sur le champ et j’ai gémi longuement, un sentiment de délivrance parcourant tout mon corps.
Comme toujours pour notre premier « choc », Erwan m’a raconté ce qu’il imaginait que Théo était en train de faire à Cristina, qu’elle devait le sucer avec ses lèvres ourlées, le branler vivement avant de lui offrir son cul ou sa cramouille. J’ai joui avec ces images, un orgasme si fort que j’en suis tombée à genoux pour recevoir les jets de foutre sur mon visage et mes lunettes. Après avoir été prendre une douche et avoir enfin rangé les vêtements dans les armoires, nous sommes allés dîner et avons terminé cette première nuit dans un club libertin de la côté d’Azur où Erwan m’a partagée avec deux autres hommes qui m’ont prise par tous les trous et dont j’ai avalé les jus crémeux.
Le lendemain matin, comme tous les jours suivants, nous avons dégusté le petit déjeuner au lit, volontairement dénudés. Mon ami bandant fortement, les deux premiers grooms ont été un peu affolés, le troisième, lui, a répondu favorablement à la proposition d’Erwan, et m’a bouffé la chatte jusqu’à la délivrance, puis je lui ai pompé le dard pour en récolter tout le miel qu’il a lâché dans ma bouche. La plage, le bronzage et un bon repas plus tard, nous avons regagné la chambre après avoir été acheter des bas résille et un porte-jarretelles. Pomponnée, vêtue de cette lingerie, j’ai allumé Erwan en me caressant et en me masturbant sur notre couche. Je voulais le remercier de m’avoir offert ce bel ensemble sexy et, pour ce faire, j’ai décidé de lui donner, une fois n’est pas coutume, mon petit trou bien ouvert pour qu’il puisse me sodomiser.
Le mini sextoy que j’avais emporté avec moi m’a été fort utile, je l’ai enduit de salive et introduit doucement dans mon fondement serré. Le flash a crépité plusieurs fois, je savais que la scène plaisait énormément à mon amant, j’ai donc insisté et commencé à faire des va-et-vient dans mon anneau afin de l’assouplir et le préparer à la grosse bite d’Erwan. Il m’a poussé à poursuivre mon exhibition, sa queue était titanesque, toute veinée, et son pubis rasé de près renforçait cette impression de gigantisme. J’en avais l’eau à la bouche et ma petite cramouille dégoulinait également. À quatre pattes, je lui ai donné ce qu’il voulait, ouvrant mes fesses et mobilisant mon périnée pour faire bâiller mon sexe et mon anus.
Après une courte pipe, en mode gorge profonde tout de même, et un cunni express lui aussi, je me suis offerte à Erwan en levrette. Ce dernier a d’abord opté pour une pénétration classique, se frayant un passage dans mon vagin étroit. Il a glissé une main sous mon ventre et a massé mon bourgeon, je suis venue en un éclair. J’étais encore en train de jouir que ce petit salaud en a profité pour me la mettre bien loin dans le cul. J’ai adoré, j’ai même eu un second orgasme avant qu’il ne se libère dans mon rectum !
Je suis en train de lire le témoignage de Théo … Dieu que c’est chaud, je m’en vais lui tailler une bonne pipe !
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