Une granny encore bien verte

La rédaction 9 avril 2021

Suzanne, 72 ans, se redécouvre une deuxième vie sexuelle… au troisième âge ! Et c’est dans les bras d’Hakim, 35 ans, qu’elle s’offrira une seconde jeunesse.

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Bonjour,

Voici mon histoire de sexe. Moi c’est Suzy ! En vrai Suzanne mais j’ai toujours détesté mon prénom. Je suis ce qu’on appelle communément dans les pays anglosaxons, une granny. En français dans le texte, une grand-mère, et même une arrière-grand-mère depuis quelques mois. J’ai soixante-douze printemps et je vous garantis que je croque la vie par tous les bouts. Plaquée par mon mari à l’âge de soixante ans, il a préféré convoler avec sa secrétaire de vingt ans sa cadette. J’ai vécu une grosse année de dépression pour finir par me rendre compte que je plaisais encore beaucoup aux hommes, que j’étais encore drôlement bien foutue pour mon âge avec ma taille 36 de jeune fille et que rien ne m’empêchait d’accepter de temps en temps une invitation au restaurant .. et pas que !

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Mes débuts sur les sites de rencontre

J’ai commencé par accepter des rendez-vous avec des amis proches, des personnes de ma génération. Mais j’ai vite vu les limites de ces « incartades ». Tout d’abord ces messieurs connaissaient mon ex-mari, et outre la saveur amère d’une vengeance ridicule, ils passaient leur temps à me parler de Jacques. Ressasser le passé ? Très peu pour moi.

Et mes petites filles, avec qui j’ai un lien très fort et une liberté de ton absolu, m’ont parlé des sites de rencontre. Jamais je ne me serais imaginée m’inscrire sur une application de type « agence matrimoniale » alors sur une à caractère libertin ! C’est pourtant ce que j’ai fait !

J’ai pris quelques semaines pour ma familiariser avec les différentes fonctionnalités, j’ai appris le vocabulaire (pour une béotienne je vous jure que c’est du boulot) et je me suis lancée. J’ai pris des selfies, j’ai importé tout cela, j’ai rédigé un petit texte tout en décidant d’être le plus honnête possible.

« Jeune (dans sa tête) femme de 70 ans, plus flétrie par son divorce que par les années, bien dans sa tête et bien dans son corps, cherche à s’offrir à toutes sortes de découvertes. Retraitée donc disponible, je peux recevoir et me déplacer. »

Bien persuadée, face aux bombasses que j’avais repérées, de n’avoir aucune chance, j’ai mis mes photos en accès libres (sans qu’on ne puisse m’identifier) et j’ai commencé à discuter de-ci de-là.

En une semaine mon profil avait enregistré plus de 12 000 vues et j’avais un nombre de messages incroyable. N’étant pas une « morte de faim », encore une expression que j’ai glanée lors de ma semaine de découverte, j’ai épluché plusieurs centaines de fiches, des couples, des hommes seuls, des jeunes, des vieux, des noirs, des blancs, des beurs ! Bref, un panel représentatif de notre population masculine.

Je me suis vite imposé des règles devant l’affluence des demandes, photos des attributs de ces messieurs en première ligne, next, langage sms, fautes d’orthographe, next, les poilus (chacun ses limites après tout) next et les « je peux rencontrer en semaine, de 5 à 7 » idem !

Il m’est resté une bonne cinquantaine de postulants et est arrivé le jour fatidique où j’ai accepté un premier rendez-vous. Il se prénommait Hakim. Jamais je ne me serais vue, dans ma jeunesse, sortir avec un maghrébin. Issue d’une famille chrétienne conservatrice, je ne pouvais convoler en justes noces qu’avec un bon catholique, on a vu ce que cela a donné !

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Ma rencontre coquine avec Hakim

Je le trouvais beau comme un dieu, sportif, élégant, mince et élancé, il avait tout pour me plaire du haut de ses … trente-cinq ans ! Lui adorait les femmes d’âge mûr et j’ai eu beau l’avertir que j’avais moi-même légèrement dépassé cette « limite », il me trouvait « bandante à mourir » sur mes photos et voulait absolument me faire jouir encore et encore. Je n’ai pas été déçue !

Je lui ai donné rendez-vous chez moi un samedi après-midi, j’avais prévenu une amie compréhensive habitant dans mon immeuble et j’ai gardé mon téléphone à porté de main pour appeler au-secours au cas où les choses tourneraient mal, et j’ai failli annuler cent fois. Dans quoi m’étais-je embarquée ? Ne fallait-il pas être complètement folle pour se lancer dans … la sonnette a retenti, stoppant net mes auto-admonestation.

Un dernier regard dans le miroir, j’avais opté pour un tenue noire très courte mettant en valeur et mes jambes longilignes et ma « Fontanel » au blanc étincelant, un body très échancré venait compléter le tout. Je me suis trouvée belle, j’ai pris une grande inspiration et suis allée ouvrir. Mes derniers pas avant de basculer dans le monde du libertinage ? J’allais vite le savoir.

Hakim se tenait sur le seuil, presque intimidé, un bouquet de fleurs à la main. Il était habillé sobrement d’une veste noire et d’un pantalon en jean gris anthracite, une chemise blanche s’ouvrait sur un torse bronzé et imberbe. Ses yeux noirs se sont mis à briller dès qu’il m’a vue, je l’ai invité à rentrer et à ôter sa veste. J’avais à la fois une boule au ventre et des papillons agitaient ce dernier, quelle divine sensation que de sentir le désir vous retourner ainsi les sangs !

Nous sommes restés un moment, là, à ne pas trop bien quoi nous dire, finalement nous avons esquissé tous les deux ensemble un mouvement pour nous faire la bise et nos lèvres se sont trouvées toute proche. Et pourquoi pas se lancer dans le grand bain sans précaution liminaires ? J’ai osé, il a reçu mon baiser en y répondant avec fougue. Au diable les fleurs, au diable les convenances, au diable les palabres inutiles. Hakim a poussé son avantage et a refermé la porte derrière lui sans cesser de m’embrasser, sa langue est venue goûter la mienne, je l’ai enlacé et je me suis abandonnée à ses bras.

J’ai attrapé sa main, le bouquet est tombé par terre dans l’entrée, je l’ai entraîné jusqu’à ma chambre. Il a juste eu le temps de dire « Tu es belle ! » et nous nous sommes jetés sur mon lit.

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Jouir d’Hakim

La fougue d’un adolescent, la délicatesse d’un jeune homme … le sexe d’un mâle puissant et généreux. Il s’est déshabillé en me faisant comprendre qu’il avait envie que j’en fasse de même. La lumière crue du jour m’a fait douter et puis zut ! Il avait vu mon corps et avait affiché une farouche volonté de me rencontrer. Je me suis mise à nue et il s’est rué sur moi tel un puma souple et sauvage.

Son ambition n’avait qu’un but, me faire jouir ! Quel amant ! Mais quel amant ! Sa peau était délicieuse, ses caresses vicieuses mais tellement plaisantes. Il me dévorait des yeux, s’ébahissait sur la tenue de mes seins, de mes fesses (de mon cul, répétait-il en boucle). Il m’a mangée de longues minutes, taquinant mon bouton de rose, léchant ma fente comme s’il s’était agit d’une glace ou de je ne sais quelle gourmandise, glissant jusqu’à mon anus qui n’avait jamais connu pareille caresse. Une heure durant il ne m’a pas pénétrée, donnant libre cours aux jeux de langue, de doigts, agitant son gland sur mon clitoris et m’amenant aux portes de l’extase pour mieux arrêter lorsque j’étais sur le point de céder. Jamais on ne m’avait fait cela, aussi longtemps, aussi bien. Jamais je n’avais eu de partenaire au sexe circoncis, quelle beauté.

J’ai enfin eu le droit de m’occuper de lui, les perles de rosée qui coulaient de sa queue m’attiraient comme des diamants. Je l’ai sucé comme j’avais toujours sucé mon mari, du bout des lèvres. Il m’a guidé pour venir faire buter son fruit à l’intérieur de ma joue puis m’a doucement invitée à le prendre de plus en plus profondément dans ma gorge. Je n’ai pu « avaler » que la moitié de sa belle tige mais il a eu l’air d’apprécier.

Enfin il a sorti des préservatifs, le moment était venu, ma chatte était trempée comme elle ne l’avait plus été depuis fort longtemps. Il m’a demandé en quelle position je préférais qu’il me prenne, je lui ai laissé le choix de armes. La levrette était, de toutes les façons, un accord parfait de nos deux désirs.

Il a placé son membre roide sur ma fente gluante, je sentais mon sexe, fort, puissant, des parfums musqués de la brune que j’avais été emplissait la pièce, la sueur d’Hakim s’y mêlait. Il a attrapé mes fesses et s’est planté en moi d’un coup. J’en ai eu le souffle coupé, il m’a demandé de me caresser le clito, chose que, là non plus, je n’avais jamais fait devant mon époux. Je sentais son regard sur mon sexe ouvert et ma masturbation et cela m’a excitée davantage.

Il a commencé à me prendre, lentement, faisant sortir sa queue entièrement de moi pour mieux me pénétrer jusqu’à la garde de nouveau. Il a accéléré pour finir par faire tressauter mes beaux nibards en tous sens ! J’ai joui à en perdre haleine. J’ai même dû lui empoigner les testicules pour qu’il cesse ses va-et-vient, tout cela était trop d’un coup pour moi.

Il m’a donné une grande claque sur les fesses, ça aussi, je n’avais jamais testé … piquant mais pas désagréable. Et sans me demander, il a posé son gland sur mon petit trou mais sans me pénétrer. La sodomie ? Mon Dieu, pour moi c’était un pêché mortel … mais Hakim m’avait tellement de bien. Pourquoi pas finalement.

Mon immobilité a fait acte d’autorisation, il m’a invitée à m’écarter les fesses pour faire saillir mon « trou de balle » comme il l’a appelé. J’étais rouge de honte, j’étais trempée d’excitation.

« Je … je suis ta pute, ta petite pute que tu vas enculer comme une salope ? »

Je n’en revenais pas d’avoir dit cela à voix haute et pourtant !

« Je savais que tu étais une belle petite salope ! » m’a répondu Hakim et pour ponctuer sa phrase, il m’a enculée de toute la longueur de sa queue !

Je n’ai pas joui de cette première pénétration anale mais j’ai trouvé cela plutôt agréable, mon amant m’a demandé de me doigter et j’ai senti sa queue de l’autre côté aller et venir dans mon fondement. Quelques minutes de ce traitement et il est sorti de moi en me criant de me retourner, je l’ai vu, rouge, les yeux presque révulser « Suce-moi ! Vite ! »

Je n’ai pas réfléchi, je me suis jeté sur son bâton écarlate et à peine mes lèvres autour de son gland j’ai senti les premières giclées de sperme. Il a joui intégralement dans ma bouche et pour la première fois de ma vie (oui, encore !) j’ai avalé la semence d’un homme. Quel délice !

Depuis Hakim m’a fait vivre maintes jouissances et maintes expériences. J’ai gouté aux femmes et le week-end prochain il vient avec un de ses amis ! Je vais connaître mon premier trio !

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